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Metz / Le feu
A MetzUn stère de bois
Se la joue en marqueterie
Il s’ignore en ces heures avant hiver
Convoité par âtres urbains
En linceul d’étincelles
Passer de flammes à cendres
Parfois larmes pleurent sa mort
Vengeance jamais avouée
Quand ses fumées
Signent son agonie dans la maison
Vengeance jamais démasquée
Seul témoin le ramoneur
« Strasbourg : le courage y est valeur admirable...Le paparazzi de Metz / Le plongeur professionnel… »
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Commentaires
Bon Dimanche.Je crois que je vais voir alors le loisir de me compromettre dans d’autres poésies sur d’autres photos car là je suis ravi de ton commentaire mon amie Galatée. Je t’embrasse très très fort, Marc et bonnes heures... douces heures...
et la photo,
et ton texte.
Peu de mots, de belles métaphores,
douces et mélancoliques à la fois,
oui, j'aime.
Je t'embrasse,
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Merci pour ce que tu me dis.
Il m’arrive parfois de me compromettre dans une certaine poésie.
Je ne peux savoir que s’en est que si vous vous me le dites…
Merci de l’avoir là fait avec ces mots.
@mitié, Marc de Metz.