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Metz, le coeur écritoire / Le miroir (1971)
Le MiroirUn miroir c’est quelque chose de neutreQui vous montre à vous tel que vous êtesDe fer de bois de velours ou de feutreMais vous devez vous y reconnaîtreLes autres ne peuvent voir plus profondQue l’image que vous y présentezMais vous même sincèrement au fondVous savez tout car vous vous connaissezCe que le miroir cache aux autresA vous il ne peut que révélerTous vos défauts car vous êtes votreDès le premier jour où vous êtes né
Marc, écrit à Metz le 24 mars 1971
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Commentaires
Je n’aime pas, plus ce que me montre le mien, mais je lui reconnais le mérite de ne pas me mentir, ce que je déteste, mais que j’accepte… enfin, je crois ! @mitié de Metz, je t’embrasse, bonne semaine. Marc.
c'est su je me connais mais je n'aprécie pas toujours ce que je vois dans le miroir.
il y a des jours où j'aimerais qu'il me mente.
bisous et bonne journée
J’été déjà alors devenu trop « grand ».
Je me souviens alors être en pleine et terrible révolte.
J’étais en guerre ouverte contre mes parents.
J’y étais isolé, perdu dans mes réflexions, blessé et meurtri.
Je m’y suis involontairement muri sans le vouloir vraiment.
J’ignorai combien cela allait me coûter dans la vie.
Mais je ne renie rien car c’était déjà ma vérité…
@mitié de Metz, Marc. Bonne fin de semaine à toi.
Bonsoir Dominique, tes billets sur la Corse, ses traditions et ses coutumes m’enchantent. Merci. J’ai écrit ce poème lorsque déjà à 17 ans je me complaisais dans des mots qui alors me servaient à attendre mon futur. Celui-ci est mon passé aujourd’hui… Je t’embrasse. Bonne nuit.
Abassourdine, merci de citer Cocteau à l’orée de mon poème d’ado. J’aime la poésie et l’art de ce très grand artiste. Bises Marc. @ Bientôt.
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Bravo marc !