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    En samedi janvier

    Sous ciel ville mouillée

    Parapluies grands ouverts

    Saison en souffrances fraîcheur

    Jours en quête de chaleur

    Besoin de boissons chaudes

    Vie en fond de vêtements

    Heures chauffées

    Glacial janvier

    Journée en clarté laiteuse

    Temps en rêve de chaleur

     

    En samedi juillet

    Sous ciel ville assoiffée

    Parasols grands ouverts

    Saison en souffrances chaleur

    Jour en quête de fraîcheur

    Besoin de boissons fraiches

    Vie en surface de vêtements

    Heures climatisées

    Etouffant juillet

    Journée en clarté lumineuse

    Temps en rêve de fraîcheur

     

     

     

     

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    La mélancolie suinte le long de sa conscience

    Il a les sentiments en écheveaux emmêlés

    Sa raison colmate presque tous ses manques

    Elle travestit ses échecs dans l’oubli

    Elle lui impose des forces et des certitudes

    Elle muselle ses lassitudes et ses angoisses

    Elle cantonne sa tristesse dans des bas-fonds

    Donner le change le protège d’autres peines

    Il s’est défait de son cœur pour survivre encore

    Trop meurtri il ne l’emporte plus dans sa vie

    Il fait semblant dans ses nuits d’y trouver le repos

    Il fait semblant dans ses jours d’y aimer être

    Il fait semblant toujours de jouer à vivre

    Fatigué il conduit son corps auprès des autres

    Dans hier aujourd’hui et demain il est clandestin

    Au bord de ses nuits il s’engouffre dans un néant

    Son cœur son esprit sa conscience le libèrent

    Alors il se réconcilie avec lui et meurt pour la nuit

    Chaque matin il en revient pour recommencer

    Pour vivre dans son enveloppe d’homme

    Avec sa voix il utilise des mots pour leurrer

    Avec son regard il s’arrange pour cacher

    Avec ses gestes il fait mentir son corps

    Rencontrer qui il croise est une servitude

    Vivre en société implique cette contrainte

    Cela ne dure que le temps que lui décide

    Il ne laisse aucune place à l’improvisation

    Personne ne doit le savoir absent de lui

    Il est acteur au théâtre des faux semblants

    Personne ne doit pouvoir le percer à jour

    Il est dans la vie des autres hors la sienne

    Personne ne doit le savoir seul dans une survie

    Il est un homme blessé caché dans un corps

    Il n'est plus moi mais je ne l'oublie pas

       

     

     

     

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  • En Parler - Marc de Metz 19 01 2012

       

     

     

     

    Adolescent, la vie m’a imposé cette alternative :

    m’aimer ou me détester parmi les hommes !

    M’y détester a été suicidaire !

    Alors, j’ai appris à m’y tolérer !

    Depuis, ma tolérance y est mise à rude épreuve :

    l’intolérance m’y est imposée !

    Je déteste les intolérants !

      

     

     

     

    Pour moi :

    la liberté

    l’égalité

    la fraternité

    dictent une politique que je trouve digne de la France et du Monde…

    Pourquoi personne ne fait plus cette politique ?

     

     

     

     

    J’aime le bonheur des autres.

    Il est si différent du mien !

    Alors comment puis-je moi le reconnaître et l'aimer ?

    Je réfléchis…

     

     

     

     

    Je vis sans foi mais avec la loi.

    Je n’ai pas encore trouvé comment la refuser.

    Je suis un citoyen…

     

     

       

     

    La plus vitale de mes aspirations…

    De ne jamais perdre l’inspiration !

    Ce serait dramatique et insignifiant après…

    De ne devoir vivre que ma propre vie !

     

     

     

     

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    Je n’en aime aucun.

    Mais j’ai de la peine pour chacun.

    Mais qu’il est triste que leur parti les subisse.

    Aucun d’eux ne veut que sa guerre finisse.

     

    L’intérêt de la France là est réduit qu’au leur.

    Pendant ce temps grimacent leurs électeurs.

    Pendant ce temps la France se gausse d’eux.

    Pendant ce temps leurs discours sont vénéneux.

     

    Qu’il est bouleversant le mal qu’ils font à la politique.

    De la République ils s’ignorent être les comiques.

    Je ne les envie pas de jouer avec leur crédibilité.

    Il me font de la peine dans leur parti explosé.

     

    Ils n’y sont finalement que pathétiques.

    Ils s’y imposent d’une façon dramatique.

    Rassure-toi France ils sont dans l’opposition.

    Une majorité de ton peuple juge leurs actions.

     

     

     

     

     

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    Elles labourent mes souvenirs

    Elles me submergent d’émotions

    Elles me saturent de mélancolie

    Elles m’immergent dans mes secrets

    Elles me ramènent dans mes passés

    Elles m’infligent des peines et des joies

    Elles me rendent celui que j’ai été avant

    Elles me procurent centaines de frissons

    Elles me racontent des absences oubliées

    Elles me promènent dans d’intimes histoires

    Elles me livrent mille sentiments perdus

    Elles me rappellent ceux aimés et disparus

    Elles me basculent dans des années lointaines

    Elles me font fredonner pour retenir des larmes

    Elles me racontent ces différents moi que j’ai été

    Elles s’immiscent dans les parcelles de ma mémoire

    Elles m’investissent sans la moindre pudeur pour moi

    Elles me chavirent sans jamais vouloir me ménager

    Elles réussissent à me remettre dans des tristesses

    Je ne les subis jamais car c’est moi qui les invite

    J’accepte qu’elles existent et j’aime les écouter parfois

    Ce que je vous confie là est un secret jamais partagé

     

     

     

     

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    Sept heures un jour froid est là

    Il est collé à nos vitres

    Je fabrique du bruit pour le réveiller

    Lui travaille les samedis 

    Bonjour du matin

    Je lui réponds

    Il s’en va à son café

    Lui bouge s’apprête s’active

    Lui a un contrat à remplir

    Moi je serai à mon clavier

    J'y serai seul à nouveau

    Maître de ces heures à venir

    Séjour dans la solitude

    Elle est une amie

    Elle me sait heureux

    Je ne suis pas seul dans la vie

    C'est un jour en naissance

    Un de ces samedis que j’aime

    Long après une nuit tronquée

    Court toujours dans heures à venir

    Temps égoïste dans mes envies

    Partagées qu’avec moi

    Dans une solitude bienvenue

    Désertée d’obligations

    Paradis de ma liberté

    Jaime ces heurs sans autres

    Avant de lui le retrouver

    Dans un plus tard

     

     

     

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