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Le coeur écritoire / Plage (1968)...
Etendus sur les galets douloureux
Nous contemplons la mer heureux
L’onde déchaînée crie sa colère
Contre sa rivale la terre
Et le soleil implacable sans remords
Tout au long de l’été torture nos corps
Ecrit à Nice durant l’été 1968
L’été de mes quatorze ans
Retrouvé à Metz par hasard en mars 2009
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Commentaires
Je n’ai jamais rien connu de plus inconfortable que les galets de Nice pour passer des heures au soleil… C’est une punition permanente que de se vouloir profiter de la plage lorsque les galets sont les pires ennemis de notre confort… Cela dure depuis des siècles. @mitié Loic, bonne soirée à toi, ici, comme la journée, elle sera estivale et c’est du bonheur. Marc.
C’est très agréable de recevoir ce coucou de Franche-Comté et je t’en remercie beaucoup. Justement c’est dans ta région que nous passons les Fêtes de Pâques, à Vesoul. Bonnes Fêtes de Pâques et encore merci de cette visite et de l’avoir signé par ce sympathique commentaire. @micalement, Marc de Metz.
C’était une autre vie, une vie à Nice si différente de celle que j’ai connue depuis mon arrivée ici à Metz… Ce fut un déchirement de quitter Nice, heureusement que Metz est une ville exceptionnelle car autrement j’y aurais été très très malheureux d’y vivre si loin de la mer. Je t’embrasse Solange, @ bientôt, Marc de Metz.
C'est juste un petit signe en passant sur votre blog .
Bonne soirée !
Françoise !
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Je me sens obligé Bataillou et même forcé de rappeler ici, sous ton amical commentaire que cela peut être hyper dangereux pour la peau… Je t’embrasse, @mitié, Marc de Metz.