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Le coeur écritoire / Femme (1968)...
Femme amour singulier
Amour intarissable et irrégulier
Sentiments ancrés au fond d’un cœur
Espoirs tournés vers le bonheur
Parfois l’amour laisse des traces
La haine empreinte qui difficilement d’efface
Mais qui avec le temps sans amertume
S’atténue pour devenir de la rancune
Souvent la femme trouve son bonheur
Dans une vie simple qui s’écoule avec douceur
Et quand la mort intransigeante arrive
C’est un cœur comblé qu’elle entraine à la dérive
Ecrit à Nice durant l’été 1968
L’été de mes quatorze ans
Retrouvé à Metz par hasard en mars 2009
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Commentaires
ce qui me surprends, très agréablement, c'est de constater qu'à 14 ans tu possédais déjà la grâce de la galanterie. Tu analysais très justement et développais avec discernement la condition de la femme.. Quelle mâturité !
Je passe aussi bien entendu ce lundi 27avril dans ce commentaire pour te demander de bien vouloir encore m’excuser, Nadine de ne pas y avoir répondu en temps voulu ce que je regrette beaucoup… Entre celui-ci est le plus récent j’ai répondu à 400 commentaires dont les tiens plus récents… sans réussir encore à donner à une séquence d’une grosse trentaine de commentaires une réponse avant aujourd’hui. Bonne fin de journée Nadine. @mitié de Metz, Marc. Je ne voulais plus laisser ces commentaires sans réponse de ma part…
Une nouvelle fois aujourd’hui je passe ce lundi 27avril dans ce commentaire pour te demander à nouveau de bien vouloir m’excuser, Corinne de ne pas y avoir répondu en temps voulu ce que je regrette beaucoup… Entre celui-ci est le plus récent j’ai répondu à 400 commentaires dont les tiens plus récents… sans réussir encore à donner à une séquence d’une trentaine de commentaires une réponse avant aujourd’hui. Bonne fin de journée Corinne. @mitié de Metz, Marc, je t’embrasse. Désolé d’utiliser presque un copier/coller mais je tiens au moins à m’excuser et je dois là satisfaire environs 25 commentaires tellement en retard.
Quel talent, écrire en tel poème à 14 ans bravo
C'est vrai que nous trouvons notre bonheur dans des petits plaisirs de tout les jours, enfin ce n'est pas le cas de tout le monde, mais rien n'est plus vrai que la simplicité
bisous
Marc, ne crois pas que je ne vienne plus te lire, je suis fidèle aux architectes d'ntérieur, comme Dominique, liedich , et il me renvoient bien sûr dans ton univers généreux.C'est si bon!
nadine
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Puis-je te confier, Chantal, ce secret ? Je ne cesse de me demander ce qui peut m’avoir permis d’écrire cela alors que je n’avais encore jamais moi eu la moindre expérience de la vie ? Me découvrir ne pas m’être trompé, me trouble souvent… Mais je ne peux que reconnaître la « paternité » de ces mots… mots pour moi étranges mais dont je conserve le souvenir de la sincérité et celui du besoin de les écrire… Bonne soirée, je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc.