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Le coeur écritoire / Elle et lui (1968)...
Parée de sa sauvage beauté
Sur la plage elle rêvait d’intimité
Avec le garçon qui a enflammé son cœur
Mais qui ne savait lui donner ce bonheur
Beau svelte dans l’écume éclaboussé
Pendant un court instant il l’a admiré
Et de sa démarche alourdie par l’amour
Il s’en est allé loin d’elle sans détour
Fier et hautain il la délaisse
Elle ne lui en veut pas il est aimé
Aimé bien petit mot pour montrer
Qu’un garçon par elle est adoré
Ecrit à Nice durant l’été 1968
L’été de mes quatorze ans
Retrouvé à Metz par hasard en mars 2009
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Commentaires
Il m’est plus facile de dire que ce qui est inné c’est mon besoin d’écrire, de peindre, de créer et de m’exprimer et je l’ai toujours fait… Le reste, ce ne peut être que de l’habilité… Merci Dany, je t’embrasse, Bonne nuit, douce nuit dans cette si belle Italie. Marc de Metz.
Merci Sarah Frane, je n’étais qu’adolescent mais j’avais besoin d’écrire car j’étais isolé dans ma famille où j’avais déjà été obligés de mettre mon amour pour mes parents au rebus de mon cœur… J’ai toujours écrit mais je n’ai presque rien gardé de ces écrits car c’était dans une autre vie et que souvent j’ai du faire du ménage pour ne pas avoir le sentiment de ne vivre que dans des mots… Je t’embrasse, je te souhaite une douce nuit, @ bientôt, Marc de Metz.
Merci Aubert59, j’ai toujours eu en moi ce besoin d’écrire et de créer et c’est de plus en plus pressant comme besoin au fur et à mesure que je partage tant de vos beaux mots ici sur vos blogs… Je sais que tu as fini de penser à ce texte sur la flamme bleue car il est écrit et l’est d’une merveilleuse façon qui me touche énormément. Merci, très vite je vais oublier ton texte. Bonne et douce soirée à toi. Je t’embrasse, Marc de Metz.
bisousc'est très beau,
l'adolescence se marie bien avec romantisme et poèmes,
j'ai pratiqué aussi à cet âge-là !!
belle journée, marc,
bisous
bises et à bientôt, je suis en train de penser à la flamme bleue
à bientôt
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J’aime te laisser la responsabilité de tes mots mon amie, je n’ai ramené de ces années d’écriture que très peu de poèmes et textes car ils ont tous été perdus égarés… Sauf et par miracle ceux que je peux publier. Bonne soirée à toi, je t’embrasse. Marc de Metz.