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Je veux être partout qu'en présent "déblessé" !
Ne plus souffrir de m’attendre revenir dans
certains de mes temps passés
Croisières quotidiennes dans jamais
d’escales à l’espoir dédiées
Plus souffrir et accepter que nul retour
ne soit plus convoqué
Effacer dans mon sillage cicatrice d’une vie
en dérive accablée
Peines clandestines dans des heures à
survivre décalé
Avec moi seul pour unique et invaincu
compagnon initié
Randonnées dans mes contrées
en tristesse insoupçonnée
Passage obligé pour me savoir depuis
vers un futur invité
Je ne me veux plus être partout
qu’en présent déblessé
Entrelacs entre moments d’hier et
d’aujourd’hui colmatés
Tensions initiées par refus de ne pas
m’accepter digne d’être aimé
Passerelles inconstruites entre mes vies
encore inachevées
Sans plus jamais m’y laisser
par mes peurs enfermer
Pour m’accepter enfin imparfait auprès
de par qui je suis aimé
Ami d’intimité ou amis d’amitié
par eux rarement rejeté
Je ne pardonne à aucun de mes
provocateurs d’hostilités
Je leur abandonne mes passés
trop longtemps chavirés
Pour mettre fin à une attente en durée indéfinie
inconvenante pour un homme blessé
Je vis maintenant hors des murs de silence
construits par qui ne m’a plus aimé
Vie sans eux vie sans autre envie que celle
de laisser derrière moi des vies de moi amputées
Leur absence ne remplira jamais mon futur
dans d’autres souffrances par ces mêmes eux imposées
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Commentaires
Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.
En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…
Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.
J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
Je fais le choix d’utiliser un « copier/coller » pour lui répondre enfin.
Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.
Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.
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Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.
J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
Je fais le choix d’utiliser un « copier/coller » pour lui répondre enfin.
Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.
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Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
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J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
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Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.
Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.
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Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.
J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
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Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.
Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.
En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…
Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.
J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
Je fais le choix d’utiliser un « copier/coller » pour lui répondre enfin.
Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.
Je ne pense pas qu’être heureux interdise de parler de souffrances anciennes. Bien au contraire. Pour moi, être heureux permet de parler de soi lorsque qu’on ne l’a pas été avant… ce n’est alors plus un plaidoyer mais un constat et un bilan de vie… Etre heureux ne fait pas disparaître les vies d’avant… @micalement, Marc de Metz.
Je crois qu’en fait, une fois que quelqu’un réussit à me rendre malheureux et à me donner l’impression que je ne suis pas traité comme je le traite, là je suis incapable de pardonner et je ne le fais jamais car la « magie » est saccagée entre lui ou elle est moi. Je sais comme toi que ce n’est pas charitable mais il s’agit bien de survivre dans ce monde sans permettre à quiconque de m’infliger d’autres déceptions ou tourments : j’ai beaucoup donné ! Je t’embrasse Corinne, @mitié, bonne soirée à toi. Marc de Metz.
Pour parfaire mes renoncements les plus définitifs j’ai besoin d’écrire ces mots et sans doute que j’en écrirai encore d’autres Domino. Je ne souffre plus de tout cela, mais je n’oublie pas car je ne veux pas me renier dans tout ce qui a compté pour moi car il n’est pas possible de m’oublier être père mais j’ai appris à vivre et même bien vivre sans avoir le droit de l’être. C’est grâce à mes amis(es) que je me sais indigne d’être indigne de mes enfants. Je t’embrasse, @mitié, Marc, merci pour ce commentaire mon amie. Marc de Metz.
mais ils restent les amis ,les vrais .
bonne nuit Marc gros bisous
Je sais que la rancune, n'est pas bien mais pourquoi souffrir pour des personnes qui font du mal
Je n'accepte pas d'avoir étais trahie
bisous
Pour moi le plus dur et le plus incompréhensible aura été de me demander : POURQUOI ? Je sais ne jamais avoir démérité de mes enfants mais plus encore je sais avoir attendu pour rien, avoir pardonné pour rien, souffert comme un damné encore pour rien… Alors, le moins dur maintenant c’est de ne plus être capable d’imaginer revoir un jour mes enfants car là je suis serein puisque j’ai appris à me protéger par mes renoncements. Merci de ton commentaire, merci. Je t’embrasse, @mitié.
...qu'est-ce qui est le plus dure ?...Souffrire en silence, pardonner ou oublier ? ...à ta lecture c'est l'absence...émouvant...poignant...Bonsoir, parce que je suis capable depuis le début de cette année de mettre en mots ce que j’ai vécu, je ne suis plus déboussolé au point où j’ai pu l’être durant des années terribles. Je te remercie d’être venue à la rencontre de mes mots et je tes souhaite un très beau succès dans ta nouvelle aventure ici sur Over-Blog. Bonne soirée à toi et bienvenue parmi-nous toutes et tous. @ bientôt. Marc.
Florence, je viens te déposer très vite après avoir trouvé ce commentaire milles bisous plus un énorme de chez ENORME, celui pour être pardonné de manquer de temps pour relayer comme il se doit cette belle chaîne de bisous.
Depuis ce matin j’en reçois quelques milliers (bon ok quelques dizaines).
Mais comme je me suis juré promis de le faire aujourd’hui… je suis en train de finir (enfin) d’envoyer des réponses à un TRES grand nombre de commentaires restés pourtant en souffrance que depuis deux PETITS jours. Je te mille bisous et je te souhaite une très belle fin de journée, sans ce gris et lourds nuages comme ici à Metz.
@ bientôt, Marc.
Ton attitude est saine, on ne peut continuer à souffrir indéfiniment. La vie est belle, et les amis sont là.Vivre avec les joies qu'on a à sa portée, est la sagesse même.Toute mon amitié, Marc de Metz
Tu as des bisous spéciaux à distribuer à ceux que tu aimes, en commentaire sur leur blog.C'est la Guerre des BisousMerci Florence, je crois que bien de nos mots racontent à d’autres ce qu’eux savent déjà… Je l’ai souvent remarqué… Merci pour ce commentaire il me touche et me fait plaisir. Je t’embrasse, à bientôt. Marc.
Oui, Marc, tu as raison, fermer ces cicatrices béantes, surtout quand on essaie de les oublier. Alors, ne pas les cacher ? Mais ensuite ? ... Le propre de la souffrance est de se nourrir d'elle-même, je suis contente que tu aies su dépasser la tienne. Tu en as même fait une qualité qui t'ouvre aux autres. Sois fier de ce que tu es devenu. Je t'embrasse très fort mon ami.
Rares sont ceux qui n'ont pas derrière eux des blessures non guéries ,à jamais béantes...apprendre à vivre avec est ma devise...mais c'est parfois si difficile...J'espère que tu as trouvés un équilibre avec ce blog qui t'occupe beaucoup, et dans ta vie personnelle...bonne journée...bisous..
Oui, j'espère bien qu'à force de l'écrire, ce passé, tu finiras par t'en "déblesser" définitivement. Dans ton com' de ce matin, j'ai deviné MVF mais MVV, je sèche... tu m'aides ? Bisous sur tes cicatrices, mon ami de palier.
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je suis trop heureux A Dumas
il serait plaisant que vous le soyez heureux dans votre esprit
bonnejournee