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Instant d'année : Paris en vadrouille au cœur d'une immense minorité…
Marcheurs défilantChars exotiques
Podium des fiertés exposées d’une immense minorité
Spectateurs applaudissant
Grimages esthétiques
Fleuve humain éclaboussant Paris solidaire de sa fierté
CRS canalisant
Foule monolithique
Mille visages sans regard suivent le long défilé chamarré
Peuple photographiant
Technologie numérique
Archive d’une fête dans Paris trop pauvrement ensoleillé
Mouvements bousculant
Ambiance frénétique
Foule file indienne pour forcer un fin passage la délivrant
Bruit assourdissant
Musique chaotique
Sons d’aujourd’hui absents de mes souvenirs d’antan
Décompte bouleversant
Mémoire asthénique
Amis d’avant emportés à jamais par la maladie odieuse
Esprit chavirant
Sentiment inique
Sans eux je suis ici ce jour en solitude pourtant joyeuse
CRS stationnant
Foule identique
Bruit fabriqué par la présence d’un immense nombre
Souvenirs refluant
Émotion antique
Mémoire mienne dans cette fête restée en pénombre
Jour désopilant
Ambiance comique
Gestion d’instants partagés dans des solidarités festives
Retour éreintant
Nocturne emblématique
Contrevenante à nos habitudes dans ses heures tardives
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Commentaires
Vraiment désolé de ce très grand retard dans cette réponse à ton commentaire. C’est ici l’été et je suis plus que jamais occupé ailleurs que je ne peux l’être sur mon clavier… Mes amis(es) ne veulent pas que je leur refuse aussi ma compagnie l’été, à cause de ce blog, de vous…
Sujet qui me touche aussi Fabienne et je sais que tu le sais bien. Merci pour ce commentaire là. Il me fait très plaisir car il n’attire pas beaucoup les commentaires… Je t’embrasse, @mitié de notre Metz. Marc.
Vraiment désolé de ce très grand retard dans cette réponse à ton commentaire. C’est ici l’été et je suis plus que jamais occupé ailleurs que je ne peux l’être sur mon clavier… Mes amis(es) ne veulent pas que je leur refuse aussi ma compagnie l’été…
Tout ce que tu détestes dans Paris, moi je m’en accommoder car ce n’est jamais pour longtemps. Mais sans m’en rendre compte, je rentre à chaque fois complètement « fourbu ». Je crois même que c’est ce que tu détestes de Paris qui moi me fait apprécier d’y être un peu et surtout d’en revenir. Je t’embrasse, @mitié, Marc de Metz.
Soutien et compréhension
Paris unique, paris pour toujours paris vers où je retournerai un jour,je le sais.
Je t'embrasse
Bisous Marc et à Vendredi impatiemment!J'avoue que je suis bien contente de ne pas habiter dans Paris. j'ai fait ce choix il y a longtemps, pour mes enfants et je ne le regrette pas. j'aime la vie dans les rues mais pas les bousculades ni l'indifférence totale qui règne dans la capitale. Tout le monde court, sans un sourire, se bouscoulant les uns les autres pour arriver les premiers au métro, dans les bus, sur les places de parking... Tout est trop impersonnel.
Bonne journée
Bisous
Violette
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Vraiment désolé de ce très grand retard dans cette réponse à ton commentaire. C’est ici l’été et je suis plus que jamais occupé ailleurs que je ne peux l’être sur mon clavier… Mes amis(es) ne veulent pas que je leur refuse aussi ma compagnie l’été, à cause de ce blog, de vous…
Je sais aussi Lmvie que tu y reviendras et je te le souhaite pour la vie. Je ne fais qu’y passer, qu’aimer Paris le temps de mes séjours et revenir à Metz là où est ma vie dans une ville que je trouve même après Paris largement assez belle pour moi. Je t’embrasse, @mitié de Metz. Marc.