• Il y a cinquante ans et moins, nous aussi étions des enfants...

       

     


     Notre enfance dans les années 50, 60, 70 voire 80...

       
     
    En regardant en arrière, c'est dur de croire qu'on puisse avoir réussi à survivre.
    Lorsque nous étions enfants, nous étions promenés en auto sans ceinture de sécurité ou airbags pour nous protéger.
    Nous adorions voyager devant sur les genoux de maman.
    Nous adorions tenir compagnie à papa qui conduisait, assis à sa droite.
     
    Nos chambres étaient peintes de magnifiques couleurs vibrantes au plomb.
    Il n'y avait pas de couvercle de sécurité sur les bouteilles de médicaments, ou de serrure de sécurité sur les armoires.
    Lorsque nous partions à bicyclette, on le faisait sans casque de sécurité, sans jambière et sans coudière.
    On allait même en ville en prenant un bus !
    Horreur ! nous buvions de l'eau directement au tuyau d'arrosage, jamais celle d'une bouteille d'eau minérale.
     
    Aucun de nous ne portait jamais de montre !
     
    On se faisait des petites voitures (caisse à savon) avec de vieux patins à roulettes. On se laissait aller dans les côtes pour s'apercevoir qu'on avait oublié de prévoir des freins.
    On se faisait tous des cabanes, on y vivait quasiment, on s'y réfugiait loin de nos parents et même frères et sœurs. Nous avions notre vie en dehors de la maison.
    Normal puisqu'on partait de la maison le matin et on y revenait souvent qu'au moment du repas de midi puis lorsque les lampadaires de la rue s'allumaient. Pendant les vacances nous avions même le droit de ressortir un peu mais sans nous éloigner alors.
    Aucun de nous ne portait jamais de montre !
     
    Imaginez donc ça : nous vivions sans téléphone portable ! Personne ne pouvait nous joindre de la journée et contrecarrer nos plans ! Nous savions nous tenir hors de portée de voix de nos mamans. C'est inouï !
    On jouait à des jeux dangereux et souvent on se faisait mal. Il y avait des accidents, il y avait des coupures et même des os cassés, mais personne n'était blâmé.
    Nous n'étions jamais immédiatement, ni automatiquement, emmenés aux URGENCES au moindre bobo ! Nous étions soignés pour les petits bobos avec de l'alcool à 90. Si c'était très grave, alors nous étions montrés au docteur.
     
    On se battait entre nous, on se faisait des bleus. Ce n'était pas un drame. On mangeait des gâteaux, du pain et du beurre et nous n'étions pas obèses. Il faut dire que nous jouions presque toujours à l'extérieur. On buvait souvent à quatre ou cinq au goulot d'une même bouteille. Il n'y a jamais eu de décès à cause de ça. On avait aussi le droit d'aller acheter des cigarettes pour nos parents. On dormait les jeudis matins et on allait à l'école les mercredis. Nous rêvions de la semaine des quatre jeudis !
     
     
    On se refilait des bandes dessinées, des livres, des livres pour plus grands aussi. On passait des heures à manger des bonbons, dont ces délicieux caramels qui étaient emballés individuellement et qui coûtaient 1 centime de Franc pièce. Nous étions fortunés dès-lors que nous avions en poche 1 à 2 francs.
     
    On n'avait pas de Nintendo 64, ni de Playstation ou de X Box. Nous n'avions pas les jeux vidéo et des dizaines voire des centaines de chaînes à la télévision. Nous vivions très bien sans les magnétoscopes, les baladeurs, des réfrigérateurs toujours remplis, les téléphones portables, le MP3, et les ordinateurs personnels, etc. !
     
    Mais, nous avions des tas d'amis et de copains. Si nous voulions les voir, tout ce qu'on avait à faire, c'était de sortir de chez nous et de nous rendre chez eux. Nous sonnions, juste pour prévenir que sous étions là. Nous avions alors le droit de les voir et de jouer avec eux. Imaginez donc cela et sans même avoir eu à demander la permission à nos parents. Nous goûtions chez nos copains, ils goûtaient chez nous ou nous goûtions là où nous étions en train de jouer.
     
    Comment faisait-on tout ça et sans ange gardien ?

    On inventait des jeux, avec des bâtons et des balles de tennis. On mangeait toutes sortes de choses. Contrairement à ce qu'on nous disait pour que nous soyons sages, rarement l'un de nous perdait un oeil ou était infecté ou était encore blessé sérieusement.
    Certains écoliers n'étaient pas aussi futés que les autres. Ils manquaient leur année scolaire et ils devaient recommencer une autre fois la même classe. Ils étaient des redoublants et ils en étaient très fiers !
     
    Les examens n'étaient pas ajustés pour compenser, quelle que fut la raison.
    Nos actions étaient les nôtres. Nous en supportions les conséquences.
    Personne pour nous cacher. L'idée de se faire protéger par nos parents si nous commettions une bêtise ou infraction était impensable. Nos parents étaient toujours du côté de l'autorité : c'est t'y pas effrayant pour les gosses de maintenant ?
     
    Ces générations ont produit les meilleurs preneurs de risques, solutionneurs et inventeurs. Les 40 dernières années ont été une explosion d'innovations et d'idées nouvelles.
    On avait la liberté, le succès, le sens de la responsabilité autant que celui de la défaite.

    Le plus important, c'est qu'on a appris à vivre avec tout ça !...
     

    Félicitations, si tu es de celles ou de ceux-là, tu es des nôtres ! Tu es définitivement de celles et ceux qui auront eu la chance de grandir heureux, téméraires, joueurs, avant que les avocats et nos gouvernements se mettent à réglementer toute notre vie cela qu'au non du "c'est pour votre et unique bien" !


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  • Commentaires

    20
    Dimanche 28 Novembre 2010 à 18:24
    Marc de Metz

     

     

    Si mon histoire dans ma famille ne me permet pas d’être fier de mes parents, de les avoir trouvés merveilleux longtemps, j’ai fini par les détester avant l’âge de quinze ans… J’ai toujours aimé avoir eu une vraie éducation parfois sévère qui me permet encore de savoir me débrouiller partout. J’ai eu deux filles, leur mère et moi avons aussi souhaité qu’elles sachent vivre en société et la respecter… Ce que je « déteste » le plus depuis toujours, c’est d’être confronté à un enfant qui ne soit pas poli, correct, respectueux envers les grandes personnes et qui fasse sa loi ! Je les fuis pour ne pas les… @mitié de Metz, Marc. Bonne soirée à toi.

    19
    Dimanche 28 Novembre 2010 à 18:04
    Marc de Metz

     

     

    Pour le moins, nous aurons été encore des enfants « normaux » avec des jeux « normaux » une vie « normale » d’enfant entre copains à l’extérieur et je sais que nous savons que nos enfants déjà n’ont pas eu la même enfance (dans les villes) et que tout cela est révolu (dommage). @micalement, Marc de Metz. Bonne soirée.

    18
    Samedi 27 Novembre 2010 à 20:48

    oui j'ai trainé les pieds avec des sabots !! mais je savais ce que valait le bois ou  du moins mes parents me l'on appris !! mais ils m'ont appris aussi le respect, la politesse, l'honneteté, la franchise,la valeur de l'argent ,mais c'était aussi des PARENTS dignes de ce nom !! bref.................nous avons étaient des enfants heureux et nous sommes fier de nos parents..........

    amitiés

    sumadrad.c

    17
    Samedi 27 Novembre 2010 à 12:40
    mamiecatou

    on a du se croiser !!! je reconnais ce texte !!

    sans blague , on est quand même des durs à cuire après avoir subi tout cela !!! VIVE LA VIE

    16
    Dimanche 27 Décembre 2009 à 10:12
    Marc de Metz

    J’ai eu une petite enfance parfaite et heureuse.

    C’est une période de ma vie exceptionnelle.

    A douze ans je suis devenu « grand »…

    Mes parents n’ont pas trop aimé… que je commence à penser…

    J’ai cessé de les aimer l’année de mes quinze ans.

    Cela a été ma réponse à leur désamour alors exprimé…

    J’ai reçu une éducation très stricte, celle d’alors !

    J’ai toujours ressenti qu’elle au moins avait été en fait une chance.

    Depuis qu’adulte je suis abasourdi par la nocivité du laxisme parental.

    Je parle de celui de trop de parents vis-à-vis de leurs enfants.

    Il est devenu incommensurable et préjudiciable pour ces enfants…

    Je n’apprécie que les enfants en même temps « enfants » et respectueux.

    Je veux dire par là ; capables d’être simplement à leur place d’enfant.

    Rien ne me semble plus dommageable (pour eux) que d’en faire des enfants ROIS !

    Bonne journée à toi, @mitié de Metz, Marc.

    15
    Samedi 26 Décembre 2009 à 20:37
    Ramu
    Malgré que fille unique,j'étais pas gatée,deux vetements par an,deux paires de chaussures,pas d'argent de poche,la télé n'existait pas(mon père s'est décidé que j'avais 16 ans),mais beaucoup de copains et beaucoup d'amitiè,la vraie.Aujourd'hui en faisant une promenade sur le lac,un couple avec un enfant de 6 ans environ nous a fait un peu rire,il était sur une poussette car il ne voulait pas marcher,mes enfants à cet age là ne faisaient pas d'histoires.Bonne soirée,Marc et merci pour ton gentil com.
    14
    Dimanche 20 Décembre 2009 à 20:07
    Marc de Metz

    Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.

     

    En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…

    Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.

    Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.

    J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.

    Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.

    Je fais le choix d’utiliser un « copier/coller » pour lui répondre enfin.

    Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.

    Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…

     

    Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.

    @micalement, Marc de Metz.

    13
    Dimanche 15 Mars 2009 à 19:24
    Marc de Metz

    Tous les enfants devenus parents diront comme les nôtres et comme nous que c’était mieux avant… Ce que je sais c’est que mes filles n’auront jamais quasiment rien fait de tout ce qui est rappelé dans ce texte alors je sais que leurs souvenirs sont totalement différents des miens. J’imagine que dans nos campagnes quelques enfants aiment jouer encore de cette façon là… Mais je n’en suis pas vraiment certain. Je t’embrasse Solange, @ bientôt. Marc, celui qui va passer trois jours à Paris à partir de demain, loin de son blog, pour le boulot. Mais j’ai pris mes dispositions pour que mon blog ne s’endorme pas…

    12
    Dimanche 15 Mars 2009 à 15:04
    Solange
    Ton récit de ce matin me rappelle de bons moments de mon enfance et je me demande si les jeunes d'aujourd'hui auront d'aussi bons souvenirs. Mais je me souviens que mon père disait que c'était bien mieux dans son jeune temps.
    11
    Dimanche 15 Mars 2009 à 10:41
    bonjour,marc
    Quel plaisir de lire ton billet de ce jour ,qui rejoint un peu celui que moi même j'ai écrit hier.
    Il est vrai que j'estime que notre génération des années 50,pour ma part je suis né en 52,est dans l'histoire de ce monde ,la plus belle génération,car nous avons eu énormement de chance.
    on à échappé a la guerre 40-45 et le boum des technologies nouvelles.
    Comme tu dis ,pour beaucoup d'entres-nous ,notre terrain de jeu etaient la rue,mais on étaient pas des voyoux,pas toujours des petits saints ,non plus.
    Néanmoins,j'ai toujours en mémoire ,le nom de mon premier proffesseur et les qautres mots situés au dessus du tableau noir
    respect,ordre,politesse,civisme.
    La lecture de ton bilet ,ma renvoyé dans les années60 ,merci quel bonheur
    10
    Jeudi 18 Décembre 2008 à 23:07
    Marc de Metz

    Bonsoir Francine, ton commentaire me fait sourire, me touche et me permet d’être certain que nous ne regrettons pas notre enfance si loin mais si présente dans nos souvenirs. Oui, nous avions d’autres jeux, d’autres plaisirs, d’autres joies et tant de tout cela nous le partagions à l’extérieur de nos maisons et appartements… Merci de ce très beau témoignage. @micalement, Marc de Metz. Bonnes Fêtes à venir…

     

    9
    Jeudi 18 Décembre 2008 à 20:19
    Francine Chauvet
    1952. Ouais ! le bonheur ! On portait les mêmes vêtements plusieurs jours, parce que il n'y avait qu'un seul salaire, celui de mon prof de père, et qu'il fallait partager avec le frère et la soeur. Mais qu'est-ce qu'on s'en fichait ! Nous étions dehors toute la journée, soit sur le pas de ma porte, dans le jardin, soit à la ferme de la copine.  On jouait dans le ruisseau, juste au-dessus de la cascade. On faisait un barrage au bord de la chute pour que l'eau monte et on exhibait fièrement nos mollets quand les sangsues les chopaient. Pas besoin de partir en vacances. Que nous étions heureux dans le Tarn ! On n'avait pas honte de dire que l'on était la fille du prof, chez qui on envoyait gratos les enfants en difficulté du village.
    Mon fils de 26 ans, est un enfant de la banlieue et il n'est pas heureux et moi j'ai perdu mon bonheur.
    Je crois que je vais savoir mieux m'adapter aux restrictions que lui.

    Néanmoins, le téléphone portable est bien utile quand on a rendez-vous, et que l'on ne trouve pas la personne qui vous attend. Ou quand on prévient le mari retraité qu'il peut se préparer à venir vous chercher à votre gare de banlieue. Par contre pour les employés le portable professionnel, c'est le fil à la patte.
    Internet, me permet d'écrire, d'apprendre, de communiquer, d'acheter sans bouger de la maison. On peut y faire des recherches pointues pour illustrer l'émission culturelle qu'on est en train de regarder.

    Voilà ! Voilà ! Bonne soirée !
    8
    Dimanche 5 Octobre 2008 à 13:54
    Marc de Metz

    Bonjour Nadine, c’est avec un réel plaisir et une immense connivence d’émotions que je réponds à ton commentaire sur mon article « Il y a cinquante ans et moins nous étions des enfants »… En te lisant je me suis imaginé en quelques secondes être redevenu moi aussi celui qui alors vivait une autre vie dans une autre époque. Nos enfants et les miennes sont presque plus adultes que moi… n’ont rien effacé dans leurs jeux et loisirs de ceux que nous savions tous vivre au temps des cabanes et des patins à roulettes et des bandes dessinées dont le souvenir ravive ma mémoire de tant de plaisirs. Je d »couvre ton blog et je le trouve très très agréable et si je devais avoir des chèvres miniatures, je prendrais contact avec ce couple. Tes vaches, si gracieuses me donne une irrésistible envie de manger du chocolat ! Merci de ta visite et merci de ta sympathie. @micalement, Marc de Metz.

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    7
    Dimanche 5 Octobre 2008 à 04:59
    nadine
    JE SUIS DES VÖTRES.Née en 1956 ,cinquième d'une lignée de sept enfants avec neveu et nièces et grands parents, vivant en plein air entourés d'animaux domestiques  ou sauvages.Nos jeudis beaucoup de mes amis classards s'en rappellent, corde à sauter, marelle,balançoire accrochée à un cerisier glissade avec un sac en plastique sur un champ pentu, course autour du circuit de l'escargot, jeu de lianes dans une cascade, grillées de châtaignes au genêts(cà prenait une demi-journéeJe n'oublierai jamais nos construction de cabanes à la tarzan.toujours loin d nos mamanqui commençait à s'inquiéter quand 6 heures approchait.Chants, danses comptines.récitations, tout était au menu! .Nos goûter c'était pas des MARS OU LIONS,mais des tartines de confiture, de roquefort et pâté fait maison et jus d'orange à volonté. Nos chères têtes étaient respectueuses de leurs aînés, nous formions un tout!!
    Je me garderai de critiquer la jeunesse actuelle, je répondrai seulement que mes deux enfants ont eu les mêmes jeux du mercredi , les mêmes moments de liberté et que leur santé n'en a été que meilleure!
    MERCI INFINIMENT MARC, pour ces fanuleux souvenirs qui font partie prenante des miens et de nos amis d'enfance.
    nadine
    6
    Mercredi 3 Septembre 2008 à 20:09
    Marc de Metz

    Je nous crois avoir su en profiter sans rien de ce qui meuble aujourd’hui les « faux » loisirs de nos enfants et des enfants de nos enfants. J’espère qu’en France des enfants savent encore jouer comme nous le faisions et déserter leur famille pour la journée, comme nous le faisions… Je commence à me dire combien j’ai été chanceux d’avoir vécu cette époque où nous n’étions heureux qu’à l’extérieur entre copains et copines…

    Bonne soirée Loic, @ demain pour la suite de ton article. Amitié de Metz, Marc.  

    5
    Mercredi 3 Septembre 2008 à 15:58
    loic-emmanuel

    Et même, on buvait du lait cru, chaud, venant d'être trait, délicieux...
    On ne parlait pas de chômage, on ne se posait pas de questions sur notre avenir, pour peu que nos études ne soient pas trop mal suivies !
    Oui, je fais partie de cette génération dont l'enfance, fut heureuse et (relativement) insouciante.
    Merci pour cette évocation.
    Amitiés. Loic

    4
    Vendredi 7 Mars 2008 à 13:56
    Marc de Metz
    Bonjour de Metz, je n'ignore pas que des parents sont en train de tacher de donner à leur enfant, à leurs enfants quelques vraies valeurs de vie. Elles leur sont indispensables pour les rendre capables de faire des choix qui feront ou pas des adultes heureux ou pas dans leur vie prochaines. Comme toi, je suis oui en effet terriblement dérangé pour ne pas dire choqué que des enfants soient laissés par leurs parents dans leur effronterie et leur insolence sans jamais y être sanctionnés. Je sais que ces enfants courent le risque majeur de ne pas savoir vivre ensuite dans une société qui elle ne saura pas les accepter aussi peu respectueux de la vie... IL est si difficile de les laisser être eux et d'en même temps leur imposer de l'être dans le respect des autres... Merci de ton long commentaire. Amitiés de Metz, Marc
    3
    Jeudi 6 Mars 2008 à 22:33
    eh oui nous avons connu une autre enfance....et cela peut sembler si lointain... Quant au reste pour les enfants d'aujourd'hui il appartient aux parents de leur faire découvrir autre chose que les jeux vidéos, la télé et l'ordi. Ah une journée dans lesbois à construire une cabane avec les moyens du bord... J'essaie d'apprendre au mien l'essentiel avant le superflu...C'est pas gagné tout le temps mais je reste vigilante! c'est mon côté vieille animatrice, etc... Quant aux effrontés et autres insolents cela m'énerve sans doute autant que toi Marc... Je vais m'empresser de faire lire ce texte à mes fils...d'ailleurs peut être faudrait il le lire à chaque collégien... en cours d'histoire!
    2
    Mercredi 13 Février 2008 à 19:33
    Marc et Bernard de M

    Bonsoir Violette, tu as oublié tellement de manquements, de mauvais comportements, de dysfonctionnements concernant les enfants d’aujourd’hui que je t’en remercie. Cela aurait bloqué tout Over Blog si nous devions avoir tenu (et j’ai hésité à le faire) à comparer les enfants que nous avons été et ceux d’aujourd’hui. Je ne suis sans aucun doute pas encore un vieux réactionnaire mais ce que je ne supporte absolument pas ce sont les enfants comme nous disons ici en Moselle : effrontés ! Ils me sont odieux surtout aux nerfs quand ils sont irrespectueux et grossiers ! Je les fuis ! <o:p></o:p>

    1
    Mercredi 13 Février 2008 à 19:03
    marinachili
    Un texte vibrant de "vérités vraies"! Nous nous amusions davantage que les "bambins" de maintenant toujours penchés sur un appareil électronique. mes petits-enfants, pour les plus âgés, ne connaissent que la technique, mangent avec un oeil sur la télé et sur le jeu à sauvegarder, n'écoutent que d'une oreille, font eux-mêmes leurs menus, etc... Difficile de dialoguer sans écarter la technologie...Je ne suis pas vieux jeu car je tapote journellement sur mon pc mais j'aime aussi un bon livre, peindre, sortir de la technologie... Merci pour cet article.
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