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FRESSON Metz est l'un de nos bonheurs ici à Metz...
Nous sommes, ce samedi soir, en train de passer un excellent moment avec notre ami Jacques. C’est lui qui s’est chargé du dessert, car nous deux sommes pas assez gourmands pour savoir choisir un bon gâteau (je pouffe de rire…). Ce somptueux dessert, fut une fois de plus un véritable bonheur… Je ne souhaite pas m’attarder pour ne pas faire trop de mal à vous tous les pas gourmands…
Je vous demande pardon de vous infliger, sans aucune vergogne, ce spectacle de la somptuosité de ce dessert... Quoique ?
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Commentaires
Heureusement que tu ne passes pas toi devant les vitrines de FRESSON…
Oui, je sais… ça fait mal de ne faire que voir et regarder…
Bonne soirée, @mitié de Metz.
"Fais-moi mal, Johnny, Johnny, Johnny
Envole-moi au ciel... zoum!"Sublissimes gâteaux! Ô rage, ô désespoir, ô gourmandise ennemie!
Merci de ne pas t’être fait mal en tombant sur mon blog et merci de m’avoir laissé ce commentaire qui me fait très plaisir. Je crois que si dans cette boutique l’on peut trouver des objets africains et bien je la connais car je suis client… Si c’est une autre alors je ferais attention une prochaine fois. Bonne fin de journée et merci encore. @micalement, Marc de Metz.
Bonsoir douce Violette,
Votre âge chère Violette se compte ici, au cœur de votre Lorraine aimée et regrettée, qu’en une différence de six secondes, de si jours, de si mois, de si belles années tout au plus et c’est mon dernier mot, permettez-le moi : VioPierre… Je me m’autorise Madame, à me rappeler à votre bon souvenir, en charge de mes provisoires cinquante quatre ans si bien entamés que ce n’est que par coquetterie que je m’interdis d’en faire déjà cinquante cinq. Je confie, contraint et forcé, ce travail à ces heures si engagées dans une course folle qui pourtant me privent cruellement du bonheur de combler un peu de notre différence.
Puis-je, avec votre aimable acceptation, me gausser de ne vous connaître que par votre délicieuse écriture ainsi que par votre si exquise voix, pourtant et je le déplore dénaturée par cette nouvelle qualité numérique des conversations téléphoniques. Ainsi Madame, je ne vous aime d’amitié que par une voix jeune et par des mots intemporels par leur hardiesse parfois, leur douceur souvent et le saveur permanente.
Sur ce magnifique portrait jpguisé que votre messager Internet à livré au cœur de ma messagerie, je ne trouve point de trace d’aucune soustraction à votre beauté. Moi, odieusement en chapeau de calvitie, en barbe échiquier où vous ne trouverez que quelques cases sombres trop parfaitement effacées par le temps, moi encore qu’en silhouette alourdie entre genoux et épaules, je me trouve madame indique de vos craquements quoi qu’en puisse être la secrète nature…
Je ne peux alors Madame, devoir ne vous tenir aucune rigueur de cette aveu puisque que nous allons devoir le mettre en confinement au plus secret d’Overblog. Puissions nous compter sur la discrétion de ces près d’un million de lecteurs potentiels pour garder une extrême discrétion sur notre affaire en amitié…
Mes souhaits d’une douce nuit en rêveries terminent cette missive électronique qui vous parviendra aussi vite que si vous étiez à mes côtés pour m’entendre vous avoir servi autan de coquines douceurs dans un verbiage que je me souhaite sans trop de faute…
Bonne nuit douce Violette.
Non Dominique, ce n’est sûrement pas charitable de vous faire envie… Je m’en excuse mais sans regretter que nous ayons ici à Metz une exceptionnelle pâtisserie. Je fais œuvre que d’information ! Promis. Je t’embrasse, Marc.
Je ne connais pas ce gâteau, mais il a l'air bien sympathique.... On en mangerait (lol) Crois tu que cela soit très charitable Marc, de nous tenter ainsi ? Moi tellement gourmande, que d'une boite de gâteaux je serais bien capable de ne laisser que la boite. J'en ai l'eau à la bouche ! Bises et Bon Dimanche des Rameaux. DominiqueFresson est l'un de nos bonheurs ici à Metz...
Et bien souhaitons-nous un jour, amie Violette de fressoner ici à Metz, en oubliant ce méchant diabète le temps de nous faire un plaisir de cette gourmandise que tant d'autres n'imaginent pas devoir être une folie pour des gourmandes et gourmands. Heureux nous qui sommes initiés, plus heureux nous deux qui sommes à moins de 400 mètres de chez FRESSON... Marc, le cruel... BIses.
Pauvre de nous alors, si tu es aussi gourmande que nous deux... Désolé de te torturer, QUOIQUE ? J'imagine que ton écran doit être propre si tu as léché ces photos. Juste une petite chose, il en reste deux morceaux, je suis seul ce dimanche, c'est moi seul qui vais me les déguster... Bon dimanche aussi à toi même sans cet extraordinaire choses qui est un gâteau à tomber par terre ! Marc, le cruel... LOL
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bon je vais continuer ma ballade sur vot blog .... bonne continuation !!!