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Envers et contre des elles et des eux...
Je pense
Donc j’existe
Envers et contre elles et eux
Penser quand je suis malheureux
C’est me priver de forces
Pour vivre
Pour être heureux
Pour aimer la vie
Pour être aimer par la vie
Stop
Fin des pensées tristes
Elles ne sont que malvenues
Elles me mettent le cœur en lambeaux
Ces réflexions sont mes ennemies
Je me dois
Je me veux
Il me faut
Refuser que le passé stagne dans le présent
Je pense donc j’existe
Envers et contre elles et eux
Dorénavant
Il me faut
Je me veux
Je me dois
Accepter que lorsque je suis heureux
C’est là que je me donne des forces
Pour vivre
Pour être heureux
Pour aimer la vie
Pour être aimer par la vie
Ces pensées sont les bienvenues
Elles me mettent le cœur en habits de soirée
Ces réflexions sont mes amies
Je laisse enfin le présent libérer le passé
Je laisse alors le présent m’inviter dans l’avenir
Je pense donc j’existe
Envers et contre tous
Je me préfère heureux
Libéré
Serein
Apaisé
Joyeux
Envers et contre elles et eux
« Vingt de mes "autour" du Centre Pompidou Metz / 16...Vadim Korniloff expose aux Trinitaires à Metz... »
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Commentaires
Je suis si familier avec ces pensées qu’elles ne m’assaillent pas que lorsque je peux être triste. Je suis heureux, je suis entouré dans ma vie, j’y suis bien et le plus souvent j’y suis totalement détaché de ces souvenirs du passé. Même heureux, j’ai remarqué que je pense presque plus à ce lamentable gâchis voulu et orchestré par avant mes parents et depuis une douzaine d’années par mes filles… Merci, bon début de semaine à toi et bonne soirée aussi. Marc de Metz. @mitié.
Dans ma guerre intime, personnelle, dure et même destructrice j’ai passé des dizaines d’années.
Tout va tellement mieux depuis que je me suis accordé le droit de RENONCER…
Savoir accepter ses renoncements, c’est retrouver enfin une sérénité.
Une fois acquise, elle est définitive car elle m’a trop coûté durant trop d’années.
C’est plus facile pour moi car j’ai du apprendre DOULOUREUSEMENT à désaimer mes parents, très vite… Alors accepter de n’être plus aimé de mes enfants n’est pas pire car en plus je vis dans l’intime conviction que rien ne justifie leur rejet de moi sauf leur lamentable esprit… Je me suis aussi accordé le droit de reconnaître que je peux ne plus les aimer au bout de plus de dix ans de rupture. Je t’embrasse et je te souhaite d’arriver à ce que tu veux et très vite. Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc.
Je n’ai pas réussi à préserver cette journée pour moi…
Je rentre de ces heures passées ailleurs.
J’ai même rendu visite à « main sur ma figure » quelques minutes.
Il y avait un peu de monde autour de lui dans son exposition.
Je lui ai dit que tu allais lui envoyer les photos.
Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc. @ bientôt.
Bonjour Marc,
Je n'ai pas fait de commentaire hier car je ne voulais pas me précipiter ... mais ce matin, j'ai la même réponse qu'hier soir...
Je te préfère heureux, libéré, serein, apaisé, joyeux mais aussi moins fatigué. J'ose espérer que, comme tu me l'as promis hier sur le quai de la gare, tu vas profiter de cette journée de dimanche pour te reposer vraiment, car, là, tu en as vraiment besoin.
Je t'embrasse très très fort, Marc de Metz, je te remercie encore et encore pour ces deux jours passés ensemble. @bientôt dans nos mots écrits et/ou parlés.
Ton amie sincère, Domajj - Dame Coquelicot.
pour écrire ce poème et être dans cet état il t'a fallu combien de temps ?
je voudrais bien en être là moi je chemine encore pour me débarasser de toutes ces pensées négatives afin de vivre mieux, d'avoir une certaine liberté mais c'est dur car les évènements se suivent et si il y en a des bons hélas les mauvais viennent briser cette progression vers la sérénité
bises
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bonjour mots fort sympathiques
mais c'est quand on est triste que l'on pense le plus
quand on est heureux on n'a pas le temps
pour ne pas perdre ces bons moments
amities Marc bon samedi