• Ecrire défait ce désordre...

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    Novembre je pense donc j’existe

    Envers et contre moi et contre tous

     

    Penser quand je ne suis que soucieux

    C’est me priver de forces pour vivre

    Pour être heureux pour aimer la vie

    Pour être aimer par la vie

     

    Tristes pensées mettent le cœur en lambeaux

    Ces réflexions sont maintenant mes ennemies

    Alors je dois je veux définitivement

    Refuser mêmes souffrances dans présent

     

    Je me donne ainsi des forces

    Pour vivre pour être heureux

    Pour aimer la vie et être aimer par elle

    Ces pensées sont des amies bienvenues

     

    Elles mettent le cœur en habits de soirée

    Ces réflexions sont mes amies

    Je laisse le présent libérer le passé

    Je pense donc j’existe

     

    Envers et contre moi et contre tous

    Je suis plus heureux libéré serein apaisé

    Ecrire défait le désordre mes pensées

    Raconte que je suis là au-delà d’anciennes

     

     

     

     

    « Metz / Magie bleue.....Metz : Place des Charrons en Outre-Seille... »
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  • Commentaires

    14
    Mireille
    Dimanche 5 Mai 2013 à 23:12
    Mireille

    bonjour Marc,

    ....se servir du passé pour ne plus vouloir vivre ou re-vivre certains jours ...les vivre autrement ... bientôt,nous allons ajouter une année (......) alors,

    VIVE la VIE !

    je t'embrasse,

    Mireille

    13
    gavroche
    Dimanche 5 Mai 2013 à 23:12
    gavroche

    bonjour les actes des hommes sont les meilleurs interpretes

    de leurs pensees "John Locke"

    penser est facile mais agir est difficile

    et mettre ses pensees en action est la chose la plus difficile au monde "Goethe"

    et c'est pour cela que:

      j'ai decidee d'etre heureuse c'est meilleur pour la sante "Voltaire" sans (e)

    bonne journee  amities

    12
    Mercredi 3 Novembre 2010 à 17:21
    Marc de Metz

     

     

    Je n’ai jamais tenu de journal intime que quelques mois lorsque je vivais dans ma famille. Je viens de faire les frais récemment d’un « je te dis cela car tout est bon à dire à un ami  et que tu es mon ami»… Je n’ai pas polémiqué car je permets à tout le monde d’avoir sa vision des choses et même de celles de ma vie et je préserve ainsi ce qui pour moi doit l’être. Je ne me sers moi de mots qui peuvent déranger et même blesser en ne les réservant qu’à celle ou à celui auxquels je les adresse directement et en privé et le plus souvent, j’ai même appris à les taire car mes mots savent tuer… parfois. @mitié de Metz, Marc, je t’embrasse, bonne soirée à vous deux.

    11
    Mercredi 3 Novembre 2010 à 09:46
    Violette Dame mauve

    Ecrire permet de se libérer du poids des pensées négatives voilà pourquoi je tiens un journal depuis si longtemps. Tout n'est pas toujours bon à dire, même à son meilleur ami alors je l'écris dans ce cahier intime qui libère mon âme et me permet de vivre pleinement le passé. Ce n'est pas de l'oubli mais juste un moyen de mieux vivre sans se préoccuper des petis et gros tracas.

    Je t'embrasse ami Marc

    Violette

    10
    Mercredi 3 Novembre 2010 à 08:53
    Marc de Metz

     

     

    Moi, j’ai appris à accepter mes passés sans plus prétendre les effacer de ma mémoire mais en ne leur permettant plus de fragiliser ni mon présent ni cet avenir qui peut être le mien… Je crois qu’ils sont dans notre histoire à chacun mais qu’adulte « mature » il ne faut plus les laisser être plus important que ce que nous vivons dans le présent… Oui, tout va bien mieux lorsque l’on s’accepte capable d’apprécier ce qui est agréable dans la vie. Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc.

     

     

    9
    Mardi 2 Novembre 2010 à 23:30
    flipperine

    une bien belle vérité que l'on devrait arriver à appliquer tous, mais il faut d'abord comprendre que le passé avec ses mauvais souvenirs est terminé, qu'on ne doit pas revenir dessus, qu'il faut tenter de l'oublier et se consacrer au moment présent, et savourer les bons moments qui passent, tout va si vite pour se retourner du mauvais côté

    bises

    8
    Mardi 2 Novembre 2010 à 15:18
    Marc de Metz

     

     

    Je ne vais rien avoir de plus que toi à écrire sous ton commentaire que tu déposes sous mes mots. Je me déclare, je me dessine, je me situe pour moi surtout, pour qu’au bout de mes mots en les lisant je trouve une autre résonnance à ma vérité la plus intime.

    Merci de ce commentaire Sumadrad, il me plait.

    @mitié de Metz, Marc.

     

    7
    Mardi 2 Novembre 2010 à 15:08
    Marc de Metz

     

     

    Une autre année bientôt…

    Oui encore une, une de plus…

    Je pense qu’elles ne soustraient rien mais de la à les laisser additionner tout : hors de question pour moi. J’ai « donné » et je me dois un peu, beaucoup de cette vie qu’il me faut avoir enfin avec mon seul libre-arbitre pour m’y savoir exister légitimement.

    Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc. @mitié, à vous deux.

     

    6
    Mardi 2 Novembre 2010 à 15:02
    Marc de Metz

     

     

    Je ne suis aucun de ses grands hommes mais juste un humain avec sa propre expérience de la vie et qui pour rien au Monde ne souhaite subir les mêmes désordres que ceux de ses passés… Cet ordre dont je parle n’est qu’intime. Il ne se découvre par les autres que dans certaines de mes relations…Pour moi l’écriture est un bouclier, un rempart, une protection. @mitié de Metz, Marc

    5
    Mardi 2 Novembre 2010 à 14:51
    Marc de Metz

     

     

    Si ce que j’écris te rappelle celui que tu lisais il y a deux ans, je peux supposer ne pas m’être encore trop « perdu » dans ces milliers de mots que j’ai publiés sur ce blog depuis. Cela me rassure Malou. Je n’arrive pas à changé et je ne me sais qu’un tout petit peu plus âgé et n’avoir encore rien oublié de mes passés que je ne laisse plus jamais trop me blesser. Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc.

    4
    Mardi 2 Novembre 2010 à 14:42
    Marc de Metz

     

     

    J’ai appris à le faire, ce fut difficile, lorsque je m’impose dans cet état d’esprit, souvent encore cela déconcerte ceux qui peuvent en être témoins ou « victime » car je n’ai plus beaucoup de place dans ma vie pour y subir ce qui me blesse voire me met en colère… Je ressens que : j’ai donné ! »… @mitié Covix, Marc de Metz.

    3
    Mardi 2 Novembre 2010 à 13:28

    c'est l'expression d'un mal être qu'exister , mais penser c'est déjà être , le dire c'est exister !! ce maudire ce n'est pas un mal , çà fait rebondir et réagir !! mais on n'éfface rien , on le met dans un coin !! de temps à autre à résurgir , pas plaisir !! on ne peut pas vivre sans passé , mais on vois trés mal son avenir , même si on ne se retourne pas !! pas mieux !! on a toujours notre ombre sous nos pas !! même si on se lave les pieds , l'empreinte ne s'efface jamais !!(excuse moi cette comparaison) ! mais tes mots sont une raison !! ils éclairent ton horizon du moins je le souhaite !! pour que le bleu revienne dans tes yeux !! tu es donc tu penses et ces pensées.............!!...je préfére ne citer personne tu es celui dont le coeur résonne........

    amitiés

    sumadrad

    2
    Mardi 2 Novembre 2010 à 10:47
    Malou

    "Ecrire défait le désordre de mes pensées" ah ! mon ami retrouvé que ces paroles me parlent....je viens d'écrire un article sur la fête des morts qui m'a bien diverti, c'est un hommage à mon père à ma façon. Ton texte à toi me touche  beaucoup et me rappelle nos échanges d'il  y a deux ans. Heureuse d'être de nouveau en tes lignes. Bises salines

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    1
    Mardi 2 Novembre 2010 à 09:59

    Dérouler le fil des pensées, bânir celles qui nous tortures pour passer à celles de la vie, de l'amour au sens noble, à l'avenir, même sous un ciel plombé d'automne le soleil du printemps rayonne.

    Bonne journée

    @mitié

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