-
Echec et pleurs / Lui...
Pleurs sur l’échiquier dévasté de notre idyllePleutre je suis depuis un lendemain sans toi
Je te rêve jouet dans mes plaisirs en chantier
Confondu je crie mon amour pour toi perdue
Survivre en cases noires dans ma vie ravagée
Artisan sans devenir dans bonheur décombres
Solitude diaphane en évanescence désespérée
Je me veux digne de ton pardon et venir à toi
Amour en cruelle instance de caresses sur toi
Main désespérément vidée de ton corps adoré
Creusée en berceau pour accueillir ton amour
Détresse de mon cœur avide d’envie de t’aimer
Tu m’ignores dans désespérance d’être oublié
Homme démuni dans mes nuits sans sommeil
Main naufragée dans l’oubli impossible de toi
Pitié pardonne moi mes errances reviens moi
En cette vie sans toi je me sais être clandestin
J’ai peur des nuits à venir privé de tes souffles
Respiration d’après la jouissance de ton corps
Je pleure sur l’échiquier encombré de ton vide
J’ai eu envie d’écrire ce poème après avoir découvert une invitation à participer à un « défi ». Si vous deviez vouloir en savoir plus, je ne peux que vous y inviter vous qui aimez écrire et qui aimez les jeux d’écriture à en avoir qu'envie. je vous propose de découvrir
Les parchemins de Bigorphéa
simplement en cliquant sur ce nom…
Si vous deviez avoir envie de lire :
Echec et pleurs / Elle
je vous invite à cliquez simplement sur ce tableau...
-
Commentaires
Mon cœur a été déchiré par toute mes familles : celle de ma naissance et celle que j’ai faite ensuite…
J’ai accepté cela et je me suis habitué à ce vide total et surement définitif.
Je suis plein de ces vides qui m’ont été imposés depuis la début de mon adolescence. Mais ces vides m’ont donné une vraie place dans MA vie, la mienne et cela je me l’accorde avec sagesse et même bonheur…
Il est peut-être possible que je sache alors traduire ces vides avec des mots…
Je crois même que « j’aime » ces vides car ils me remplissent de moi et de cette vie qui est la mienne, la personnelle, l’intime, la sociale, l’amicale.
Merci pour ce commentaire, merci, encore…
@mitié de Metz, Marc.
Bonne soirée à toi.
Marc, C'est BEAU ! comme tu sais mettre en mots ce vide qui fut le tien... comme il touche, comme on le ressent.. ! Qu'un être de ma famille parte loin de mon amour ; il déchirera mon coeur, et laissera en moi ce vide, cette petite mort que tu décris...
J’ai en une autre époque, vécu des années durant dans la détresse la plus intime après une rupture que j’ai moi imposé à l’autre au bout d’une relation abominable. Je suis, près de 30 ans plus tard, redevenu heureux depuis longtemps mais je n’ai jamais rien oublié ! Merci Chantal pour ce commentaire. J’ai appris à ne plus souffrir de l’basence et j’ai appris à renoncer sans m’infliger des punitions, le tout en une grosse vingtaine d’années ! Parfois, j’ai besoin ici de mettre mes états d’âme en mots ! @mitié de Metz. Bonne soirée à toi. Marc de Metz.
Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.
En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…
Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.
J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
Je fais le choix d’utiliser un « copier/coller » pour lui répondre enfin.
Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.
Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.
En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…
Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.
J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
Je fais le choix d’utiliser un « copier/coller » pour lui répondre enfin.
Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.
Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.
En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…
Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.
J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
Je fais le choix d’utiliser un « copier/coller » pour lui répondre enfin.
Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.
Bonjour Corinne, nous manquons tous de temps et c’est notre principal problème lorsque l’on a un blog et des blogs amis et d’autres blogs à découvrir car ils le méritent… Je parle beaucoup de ce temps car il me manque en permanence. Une vis sans case noire serait tellement plus belles : belle utopie en fait. Bonne journée, je t’embrasse, @mitié de Metz.
Ton texte est magnifique, tu nous le démontres encore une fois
C'est dommage que nous sommes toujours obligés de passer par les cases noires, mais souvent un échec nous rend forcément triste et il est très difficile de surmonter cette souffrance
Je te fais de gros bisousPuis-je te proposer de te relever très vite et de prendre ta plume ou ton clavier pour simplement écrire comme simplement le fait le « Maître »… Juste mettre ses émotions en mots… Bonne soirée, je t’embrasse, merci pour ce commentaire Eva, il me fait très plaisir car j’ai aimé écrire ce texte. Marc de Metz.
Merci, moi j’en trouve des mots pour te dire combien je suis touché par les tiens ! Je te remercie de ta visite et surtout d’en avoir laissé cette trace. Amicalement, Marc et peut-être @ bientôt ?
magnifique ! j'en perd les mots ...Ces mots en échiquier et d’autres en pagode : ils sont dessinés de la sorte pour les inscrire dans l’univers de ce que je tente d’exprimer. Ce n’est pas de l’imagination, c’est tout simplement une lecture appliquée de mes mots dans leur ensemble. J’y suis très sensible. Merci, Amicalement, Marc.
C'est étrange, mais la disposition des strophes paraît représenter les cases d'un échiquier.
Il m'avait semblé que dans le poème sur les JO en Chine, les vers du poème étaient eux aussi disposés de telle manière que l'on pouvait visualiser la forme d'une pagode.
Est-ce volontaire de votre part ou simplement le fruit de mon imagination?
Bien à vous
KatherineBonjour Scoodydu41, je ne sais pas si je devais être pardonné, je sais, j’espère que je suis dans une harmonieuse relation en ce moment avec toutes et tous ceux avec qui j’ai plaisir à échanger sur Overblog, et je suis ravi de ton commentaire car tu fais partie de ces personnes. Merci, bonne journée et @ très bientôt. Marc.
je trouve ton texte vraiment réussi, j'espère qu'elle t'a pardonné
Bonjour, cette simplicité et ce jeu de mots me font très plaisir. Ravi de trouver ce commentaire sous ce poème. Merci encore, amicalement, Marc de Metz.Bonsoir bonnard, merci de ces précisions, mais alors que dois-je faire de ta demande d’appartenir aux architectes d’intercoeurs. Je reste ravi de t’y avoir référencé mais si tu ne fais plus vivre ce blog, cela me fait être perplexe… Je te souhaite une bonne semaine. Si je devais avoir voulu supprimer quelque chose en double sur mon blog dans un billet, j’aurais supprimé le billet et je l’aurais refait : peut-être que cela aurait suffit ? Amicalement, Marc.
Merci Dominique, pour ce BRAVO… je sentais moi, de mon côté insatisfait (un peu) après ce poème… j’y ai mis fin en la faisant parler «Elle», sur un thème identique. J’ai enfin envie d’écrire sur d’autres sujet que moi. Cela devient passionnant et très enrichissant. Je t’embrasse très fort. @ bientôt, je suis en train de répondre à ces très beaux commentaires que par manque de temps j’ai du délaisser. Marc.
Bonjour Liza, je ne peux adoucir mon impuissance à t’aider qu’en justement réussir à te toucher par mes mots que j’aime écrire. Ils me sont eux autorisés par la simple maturité de mes sentiments et ma sage décision de ne plus me laisser dépasser que par mon avenir. J’ai plongé mille dix trois fois au moins… replongé trente douze vingt fois encore plus douloureusement plus mort que la fois d’avant… Il me serait tellement agréable de savoir te convaincre que la pire erreur dans une vie c’est de s’y sentir l’unique responsable de tous ses échecs… C’est impossible car je sais bien qu’elle démence il faut avoir vaincu pour alors accepter de vivre sans ses tortionnaires… Je pense à toi Liza, je te confie à ton désespoir que pour que tu arrives très vite à le priver de tes souffrances, même les plus indicibles. Je t’embrasse Liza. Marc, @ très vite.
Merci Monsieur Chevalier, sachez ami que pour moi c’est toujours tellement agréable de trouver ces commentaires comme le votre là. J’aime écrire… Je me suis amusé à doubler ce poème en la faisant, sur un thème très proche, « elle » parler ! Il est très agréable vraiment de se savoir apprécié. MERCI. @ bientôt, sûr pour moi.
Ce beau poème empêchera quiconque de dire..."Echec et Marc" ! Bon dimanche, bien amicalement.
Merci Mimi, merci d'avoir aimé ce nouveau poème qui a été écrit grâce à mes mains sur ce clavier que j'aime de plus en plus… ? Ne t'en veux surtout pas de manquer de temps puisque c'est pour une très belle raison. Je te souhaite, je vous souhaite un merveilleux séjour en Camargue et aussi en belle Provence. Je t'embrasse, @ bientôt et surtout faites bonnes routes dans les deux sens… Re-bises, amitiés, Marc de Metz…
Merci Colette, et moi comme d'hab, je suis très heureux de ton passage et de ton commentaire. Bonne et douce fin de semaine à toi et aux tiens. Amitiés, de Metz, Marc. Bonjour aux bretons et à Mimi. @ Bientôt.
Très émouvant ... Tout comme ce très très beau message que tu m'as offert et qui m'a bouleversée, Marc . Ta sensibilité est telle ... Je suis très touchée par le fait que l'un de mes mots ait suscité en toi une telle prise de conscience . Pour chacun de tes mots à toi, si riches d'un ressenti profond, je te dis un immense merci, de tout coeur . J'essaie de remonter mais j'ai replongé . Je tiens tant bien que mal . Bisous . Lizabonsoir marc c'est vraiment émouvant de lire ce texte, je l'ai trouvé superbe. c'est toujours un plaisir de te lire. ^ bonsoir amitiésCoucou mon petit Marc, J'allais te demander comment tu allé, mais après avoir lu ce magnifique poème, écrit de ta petite main, avec ton grand coeur, que tu vas très bien. Je t'ai un peu délaissé, mais je suis en plein préparatifs de départ. Nous partons samedi pour la provence et la camargue, faire le plein de soleil avant l'été. C'est notre récompense après notre arrêt du tabac.... Nous faisons des photos, et je t'en envoies promis! Je t'embrasse très fort @ bientôt je repasse te faire un bisou avant de partir tendres pensées
Que BRAVO à vous deux… surtout à vous deux… Continuez SVP à nous bigornauter de très beaux défis, j’ai attrapé le virus alors encore MERCI. Amicalement, Marc.
Non, je t’en prie, surtout pas de sac à main, peut-être alors une simple cartouchière que je te propose de transformer en « motchière » pour disposer alors d’assez de mots, toi mercenaire en écriture pour dégainer très longtemps et avec talents d’autres mots. Merci de ton passage et de ton commentaire. Amicalement, Marc de Metz. @ bientôt. Pas de sac à main… au pire d’un mieux alors et seulement juste un « sac à mots »…
Merci Marianne d’avoir laissé ici trace de votre lecture de mon commentaire. A mon tour de vous souhaiter de très belles heures dans votre vie et dans votre écriture. Amicalement, de Metz, Marc. @ bientôt…
Bonjour Liza, dans ce très beau commentaire, tu me livres un mot et c’est un cadeau pour moi en me parlant de ton « hyperconscience… » J’avais besoin d’un mot capable de mieux me comprendre, tu me l’offres. MERCI Liza. Je te regrette pouvoir être certaine de référencer tes angoisses d’adultes à ta toute petite enfance… Là je peux prendre plus que jamais la mesure de tes temps passés, présents de souffrance. J’ai eu une enfance RADIEUSE, exceptionnelle en affection, en amour, en confiance dans ma famille. Je vivais en liberté, j’étais heureux, choyé et protégé… Je suis un chanceux alors et je le sais… Je me suis vu dépouillé de tout cela qu’à partir de mes douze ans… Je sais prendre maintenant soin de moi Liza, en m’affirmant ENFIN dans une simple conclusion que de n’être pas aimé dans mes familles ne me désigne plus à mes seuls yeux comme indigne de ma vie personnelle, intime, amoureuse, amicale, sociale, professionnelle et même citoyenne… Je te souhaite de trouver Liza et vite de l’apaisement. Je t’embrasse, amicalement, Marc de Metz. @ bientôt. MERCI.
Bonjour Violette, je vais devoir cesser de me raconter à toi, tu en sais bien trop sur moi déjà… Je t’adore, merci, Marc.
Bonjour Malou, Merci, un grand MERCI pour tes mots qui auront fabriqué ce très agréable commentaire. Je commence à me croire, à me savoir, à me vouloir capable de justement mettre en écriture d’autres mots que mes mots-maux pour reprendre la belle formule de mon amie Violette… Je suis très touché que vos commentaires me racontent, me fassent me désigner enfin comme l’un des vôtres, vous qui me surprenez par vos talents et surtout un charisme que j’ai envie et besoin de croire universel. Je nous aime dans ces amitiés scripturales. Bonne journée Malou… @ bientôt, bises, Marc.
Merci Fabrice-mercenaire-de-l’écriture de ton commentaire. Je te lis, je clique sur ton adresse de blog, là… je découvre un texte en autoportrait d’une pour moi époustouflante qualité et aussi et je vais me permettre de le dire… résonance personnelle voire intime pour moi. Qui sait écrire… dis-tu sait jeter de l’encre sur la misère des autres… Je te remercie de ces mots, je te remercie de ton commentaire, je te remercie de m’avoir permis de te lire, je te remercie d’encre ma journée aussi efficacement et habilement… Je te remercie de m’avoir fait te rencontrer toi que je considère être architecte d’intercoeurs. Bonne journée à toi… Amicalement de Metz, Marc.
Les architectes d’intercoeurs
http://capmetz57.over-blog.com/pages/Les_membres_des_Architectes_dintercoeurs-432180.html
Amoureuse des mots, je suis sous le charme des tiens, Marc. Quelle poésie poignante! Nous vibrons avec toi, notre coeur se brise avec le tien tant nous nous sentons en empathie. Je t'embrasse. MalouEchec et pleurs...
Bonjour Lmvie,J'ai été alerté de cette disparition par Ptitsa en fin de semaine dernière. Je lui ai dit que nous n'avions qu'une alternative : l'imaginer aller très bien et avoir fermé son blog ou le simple contraire.
Je ne suis sur Overblog que depuis début janvier et j'avoue que je n'avais encore jamais imaginé la disparition d'un blog et plus encore d'être alors dans l'espectative la plus complète... et inconfortable.
Je viens de me rendre compte que nous sommes démunis totalement.
Je viens de prendre conscience qu'il me faudrait alors peut-être aussi garder trace d'une adresse de messagerie en plus de celle de l'adresse des blogs amis.
Je crois que je vais m'y mettre à les relever.
Je te souhaite une bonne journée, Marc.
Je t'embrasse. @ bientôt.
Très beau et très poignant . Merci de tout coeur pour tes mots, Marc . Tu sais, moi ... à l'âge de 2 ans j'avais déjà des angoisses d'adultes . Comme si j'avais cette hyperconscience, déjà . Bisous Marc, prends soin de toi .
Ajouter un commentaire
Félicitations pour ton texte, tellement évocateur du drame face à l'absence, la perte, de l'autre...
Je vis ce vide depuis décembre...quel écho d'incompréhension, sans Lui, la partie est pat et la partie nulle...
Je réapprends à vivre dans l'obscurité cachée du chagrin et dans la clarté de l'espoir.
Merci Marc pour ce clin d'oeil innocent !