-
Des nouveaux enfants sans Noël...
Ici jours dans mes pensées sans répit d’émotions
Femmes hommes enfants par vie des rues abîmés
Nuits glaciales dans des heures qu'en soustraction
Leur misère se lit toujours dans des yeux détournés
Noël arrive mais pour eux sans la joie en promesse
Ils sont locataires de tristes vies étriquées en pauvreté
Ce peuple nous regarde passer devant sa détresse
Parfois des yeux implorant croisent les nôtres pressés
Ici aussi sa misère et sa détresse sont en addition
En soustraction sont les préparatifs des fêtes à venir
J’ai en tête leurs réalités qui m’accablent d’émotions
Trop d’autres que moi n’ont point de Noël en devenir
Pourtant malgré cette conscience je vais vers Noël
Je dépose plus de pièces auprès de ces vies assises
Assises en contrebas de murs près de nos poubelles
Parfois s’y plonge une main rapide jamais indécise
Noël ne sera pas encore cette année joie universelle
Pour beaucoup arrive le premier dans des privations
De nouveaux enfants pauvres seront privés de Noël
Avec tous les anciens leur peine sera en cohabitation
« Le paparazzi de Metz / Le voleur de photos…Marseille : une Bonne Mère veille sur vous et nous... »
-
Commentaires
Je veux te rassure car ce n’est pas en dédiant ces quelques mots à ces enfants que je prends toute la misère du Monde sur mon dos. Je suis impuissant confronté à cette pauvreté qui touche de plus en plus de personnes. Je ne suis pas le responsable, lui se pavane à la télé en affirmant qu’il fait un max pendant qu’il se fait construire un pentagone français à plus de 3 milliards d’euros pendant qu’il taxe tous les jours les salariés. Ces 3 milliards ne sont pas une goutte d’eau dans la mer de la misère en France et pourtant il ose maintenir ce chantier inutile et méprisant de la réalité économique qui anéantit des milliers de familles chaque semaine. Je te souhaite une bonne soirée. @micalement, Marc de Metz.
Je ne me sens qu’impuissant, mais au moins je peux leur dédier ces quelques mots à ces enfants avant ce Noël qui arrive. Je te remercie Paquerette de ton commentaire qui est solidaire avec ces enfants trop malmenés par la misère de leurs parents. Bonne soirée, @mitié de Metz, Marc. Bises.
Bonsoir Renée. Aucune de tes confidences, aucun de tes aveux, aucun de tes constats ne me fait douter de ton grand cœur et de ta solidarité avec les personnes qui vivent dans la misère. Je perçois bien tout ce trafic autour de la pauvreté et je devine les abus de celles et de ceux qui décident de s’en servir pour commettre des infractions ou des agressions.
Je n’ignore pas que Marseille est envahie d’une faune dangereuse et que cela est en train de pourrir la vie de vous ses habitants. Metz n’est pas dans la situation de Marseille car elle n’est pas un port et n’abrite pas d’immenses populations désœuvrées, envahissantes voir inquiétantes. Bien entendu nous côtoyons aussi des miséreux français ou pas et nous hébergeons des réfugies ou pas des pays de l’Est parmi les plus mal nantis.
Je ne me donne que l’obligation de n’être pas indifférent et d’être prudent. Parfois je dépose une ou deux pièces, mais sans que ce ne soit jamais une réponse à un quémandage dans la rue. Je te comprends et je te garde l’intégralité de mon amitié après avoir lu tes confidences. Tu as raison de penser que les associations sont plus à même que nous d’aider qui doit l’être. Bonne soirée à vous deux, @mitié de Metz. Je t’embrasse, merci pour ce commentaire solidaire au-delà de tout ce qu’il contient de parfaitement légitime. Marc de Metz. @mitié à vous deux.
Pardon de n’être plus présent sur ton blog, mais ici ma vie professionnelle a changée et j’ai une nouvelle façon de vivre car je passe bien plus de temps au bureau, ce qui en soit ne me pose qu’un problème, celui de n’avoir que moins de temps pour ce qui se passe ici sur OB et ici dans ma vie hors du boulot. Je tache au fil des semaines de retrouver une façon d’être plus présent, mais c’est difficile. Vivement ma retraite mais l’autre à Paris n’arrête pas de l’éloigner alors que je cotise depuis plus de 40 ans !
Tant mieux Marielle si dans votre village vous n’avez pas de mendiants surtout avec des enfants à charge. Pourtant la misère est maintenant réputée être pire dans les villages car dans les villes il y a Dieu merci des associations qui la soulage et qui permettent de sauver des vies en naufrage. Je vous espère n’être jamais alors confronté à ce que nous percevons ici en ville de cette misère et Metz n’est pas épargnée. Bonne soirée Marielle, @mitié de Metz. Je t’embrasse, Marc. Merci pour ce commentaire solidaire.
Oui, Mireille, aucun enfant… Il y en a tant pourtant… Plus encore au bout de cette année si terrible pour les « modestes et petits » ici en France. Dire qu’à l’entendre, celui qui prétend nous défendre depuis plus de quatre ans, tout va bien sous le ciel de France et ce qui ne va pas, ce n’est jamais de sa faute et que sans lui nous serions tous dans la misère ! Bonne soirée, @mitié de Metz, Marc. Bises Mireille du Sablon !
Bonjour Marc,
Nul enfant ne devrait avoir à souffrir de la misère, qu'il soit d'ici ou d'ailleurs!
Nul parent ne devrait être en détresse de vie!
Belle journée, le soleil est là!
Gros bisous de Mireille du Sablon
Bonjour Marc,
Belle et émouvante page que toi, au grand coeur, tu as écrite.
Dans notre village nous n'avons pas de mendiants à notre porte
mais je suis consciente de la misère de pauvres enfants
encore plus cette année, privés des joies de Noël et c'est très attristant.
Merci de ce beau texte, pour que chacun ne l'oublie...
Je t'embrasse , amitié du Berry. Marielle.
Joli texte empli de triste réalité, je pense à ces enfants ainsi qu'à tous ceux qui sont emplis de souffrance à Noel
bises
C' est un fort beau poème que tu as écrit là , mais hélas la main tendue
vers tous ces pauvres gens je n' y arrive plus , trop de mendiants , trop
d' étrangers agressifs qui arrivent chez nous , Marseille est devenue la
poubelle de l' Europe , tout le monde y débarque et veux sa place au
soleil sans faire aucun effort , ils ont tous des droits mais jamais de
devoir , on en peut plus , attaques de toutes sorts faite par ces soii-disants
mendiants qui n' attendent qu' une minute d' inatention de notre part
pour nous sauter dessus (je sais de quoi je parle car je me suis faite
agressée 2 fois) alors je ne veux plus entendre parler de charité bien
ordonnée , mais je continue malgré tout à aider des organismes qui
je le pense son installé pour gèrer tout ça et surtout nourrir et non
entretenir avec de l' argent tout ce beau monde .
Ha mon cher Marc ne me crois pas sans coeur car le mien est beaucoup
trop grand au contraire et je me fais souvent pigeonner à cause de ça .
Mais bon je suis sûre que dieu me le rendra un jour ? ha ha ha , enfin
j' espère , la foi sauve l' homme ne dit on pas ? ...
Bisous mon ami et toutes mes excuses pour mes absences mais je n' ai
que deux malheureux bras . A bientôt j' espère quand même . Je te
souhaite de bonnes fêtes dans notre beau METZ ...
Renée (mamiekéké).
oui , c'est certain... mais prendre la misère du monde sur ton dos ne fait pas plus avancer les choses... chacun agit a son échelle... pour essayer de limiter mais c'est une goutte d'eau dans la mer tu le sais... bonne journee
Ajouter un commentaire
Ecrire pour eux, pour, au moins, ne pas les oublier…
Ils sont là, tout près de nous dans une terrible détresse.
J’imagine que ce qui se prépare pour Noël doit l’amplifier mille fois.
Merci de ta solidarité envers eux Covix. @mitié, Marc de Metz.