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Dès mars Metz flirte avec le printemps…
Hiver je t’invite à déserter ma ville aujourd’hui
J’ai patienté dans tes jeux en blanc des heures
S’il te plait à notre printemps ne fait aucun ennui
Laisse-le s’installer et me saturer de ses couleurs
Je veux du vert dans les arbres et dans les jardins
Du tendre pour me savoir revenu dans beaux jours
Je veux du vert autour de moi dans tous mes matins
J’ai envie qu’il se chamaille avec le soleil toujours
Toi hiver je te refuse en avril nous imposer revers
Je passe commande de mille verts pour des mois
Voici le catalogue sur lequel je choisis mes verts
J’y montre photos de ma ville dans jours sans toi
Hiver je t’invite à voir qu’en vert ma ville est belle
Personne ne t’aime en ennemi de cette beauté
Sans doute parfois tu t’y comporteras en rebelle
En Lorraine à toutes tes turpitudes sommes initiés
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Commentaires
21gavrocheDimanche 5 Mai 2013 à 23:49
qui sont tres beaux
j'espere que le printemps en tendra tes paroles
merci pour cette poesie
bon dimanche amitiesImparfait, il m’arrive parfois de découvrir que je n’ai pas répondu à tous mes commentaires… Ce soir j’en découvre bien plus que je ne pouvais le supposer et datant de plus d'un mois, sans doute une période très prise et m'yant tenu loin de mon blog… Celui-ci est l’un de ceux restés sans réponse… Avec mes excuses et avec amitié. Marc de Metz, le mercredi 28 avril.
Metz aspire a avoir du printemps dans ses avenues, rues, places, jardins et sur ses balcons. Metz est ville verte donc cette couleur lui est indispensable pur sortir de l’hiver et s’en aller vers les beaux jours. Merci pour ce commentaire rempli d’une poésie urbaine et des souvenirs de la Croatie. Je suppose qu’à chaque minute du temps qui passe des pensées partent vers quelqu’un dans le monde… @micalement, Marc de Metz.
Nous aurions ici beaucoup de mal à supporter que l’hiver, « bave » du mauvais temps sur notre printemps après celui que nous venons de vivre. Ce fut un rude et authentique hiver, il doit là céder sa place au printemps… J’espère être entendu, j’espère… Bonne journée Mirélie, je t’embrasse, Marc de Metz.
Il est un peut tôt pour que je passe ici une semaine dans les fleurs…
Elles ne seront installées, par milliers, dans nos parcs et jardins que d’ici quelques jours.
Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc.
Bonne semaine Escargotine.
Que ta ville est belle sous son vert manteau !
Que le soleil enfin l'emporte sur les froidures !
Que la douce chaleur vienne réchauffer nos coeurs gelés.
Un bel appel pour la venue du printemps
Bisous
Je me devais de sacrifier à ce « bonjour printemps » dans un article et je l’ai fait de cette façon là. Metz est encore si peu verte au bout de cet hiver authentique que nous venons de traverser. Je suis impatient de la revoir en vert et en fleurs. Merci pour ce commentaire qui me fait très plaisir. Puisse Monsieur l’Hiver m’entendre et surtout m’écouter… Marc de Metz. @mitié et bonne soirée à toi.
Je ne suis stipendié par personne pour parler de Metz et la montrer. J’aime le faire que pour cause de passion pour cette ville que j’aime et dont je suis très fier… J’ai eu besoin de me la retrouver dans ses verts car Metz est une ville-jardin, la deuxième ville verte de France après Dijon… J’ai eu envie de parler à l’hiver pour ne pas qu’il ose s’imposer trop au-delà de la date qui lui est accordée par notre calendrier… J’ai trop envie de vert partout dans la ville pour le laisser faire… Pourvu qu’il ne le fasse pas ! Je t’embrasse, @mitié de Metz et si un jour tu devais y venir… Marc.
Je viens d’arpenter Metz, durant cet hiver, sans plus y voir jamais aucune verdure dans nos rues. J’avais besoin, comme clin d’œil au printemps de la montrer avec du vert partout… Je veux ainsi montrer à l’hiver qu’il est inutile qu’il s’attarde trop car nous avons ici besoin de vert… J’aime le vert, mais non, je ne délaisse pas le bleu qui reste ma couleur, mais qui pour moi n’est pas celle du printemps. Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc.
bisesCe poème est sublime !!!!!!!!!!!
La lecture est elle-même une essence de chaleur, d'odeurs et de couleurs qui envahit mon environnement. J'en arrive à accepter Dame la Pluie en lui faisant remarquer qu'elle fait défaut dans tes lignes et que, tant mieux, la nature en a besoin.
Tes photos remplacent allègrement tout guide touristique et laissent nulle envie à me rendre dans ta région avec le Routard; crois-moi, en temps nécessaire, je me doterai de tes impressions.
Bravo Marc pour ces pures merveilles !
Merci d’être passée me rappeler que tu va partir eu service, quelques semaines des autres. Je te souhaite un très bon séjour auprès de ces populations qui ont besoin d’aide. Je te souhaite d’y trouver tout ce que tu cherches dans cette très belle et nouvelle « aventure ». Bonne absence Lmvie. @ bientôt, Marc de Metz. Je t’embrasse. Bon voyage.
Il nous a ici offert, avant ce samedi et ce dimanche gris…
Deux journées exceptionnelles d’un vrai et beau printemps.
Alors, nous y croyons… @mitié de Metz, Marc. Bonne fin de journée.
Ces photos sont une pure merveille pour la messine que je suis toujours de coeur. Toute cette verdure t'a t-elle inspiré pour la nouvelle présentation de la communauté Architectes d'Intercoeurs? délaisserais-tu le bleu habituel ? J'avoue que c'est une excellente composition.
Je t'embrasse
Bon dimanche
Violette.
Je vais à la rencontre d'un monde inconnu, de gens inconnus guidée par mon coeur
Je t'embrasse
le printemps s'installe
une fois l'hiver vraiment parti
otera son voile
bientôt j'espère
Bonheur pour moi que de revoir Metz, très vite en vert.
C’est alors une ville-jardin qui est dans ses plus beaux atouts.
Je tuerai l’hiver s’il devait oser trop trainer dans notre printemps !
Je t’embrasse, @mitié de Metz, Marc. Bonne journée à toi.
Ici aussi jours pluvieux mais avons eu cette semaine des vrais jours de printemps : alors nous nous y croyons à cette arrivée du printemps… Je t’embrasse, et là je viens te déranger dans des mots parlés… @ tout de suite. Marc de Metz.
;-)
Bisous civiques en ce dimanche pluvieux,
vivement l'été !!!!!!!
:-)
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Incidences
C'etait a une epoque ou, en ex-Yougoslavie, il etait courant qu'on vous lise votre avenir dans le marc de cafe sans vous demander si vous le souhaitez, par simple convivialite, et ou, par ailleurs, on ne portait pas de montre preferant, au besoin, s'en informer en passant.
Mais, on avait, plus d'une fois, la surprise d'obtenir pour toute reponse:
"-Netko misli na tebe!" ('Quelqu'un pense a toi').
Et cela sous-entendait que, sur le cadran de la montre de votre interlocuteur, n'apparaissait qu'une seule aiguille, l'autre s'etant effacee derriere la premiere.
Cliche 1: Un de ces instants, un dimanche de mars, en debut d'apres-midi, Metz, le cadran de l'horloge indique 13h06.
"- Mais alors, qui pensait a qui, ce jour-la?, s'interrogera-t-on.
- C'est la ville qui pensait au printemps, croit-on ententendre Marc nous confier."
Et au vu des cliches qui defilent, nous sommes tentes de le croire.