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De Metz, j'oppose...
A une vie bousculée j’oppose une vie apaiséeA une vie apaisée j’oppose une vie trépidanteA une vie trépidante j’oppose une vie sereineA une vie sereine j’oppose une vie angoisséeA une vie angoissée j’oppose une vie rassuréeA une vie rassurée j’oppose une vie inquièteA une vie triste j’oppose une vie joyeuseA une vie joyeuse j’oppose une vie soucieuseA une vie soucieuse j’oppose une vie tranquilleA une vie tranquille j’oppose une vie trépidanteA une vie trépidante j’oppose une vie calmeA une vie calme j’oppose une vie bousculéeA une vie bousculée j’oppose une vie habituelleA une vie habituelle j’oppose une vie nouvelleA une vie nouvelle j’oppose une vie ancienneA une vie ancienne j’oppose une vie présenteA une vie présente j’oppose une vie futureA une vie future j’oppose une vie acceptéeA une vie acceptée j’oppose une vie projetéeA une vie projetée j’oppose une vie réelleA une vie réelle j’oppose une vie rêvéeA une vie rêvée j’oppose une vie réalitéA une vie réalité j’oppose une vie renoncéeA une vie renoncée j’oppose MA vie acceptée
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Commentaires
Enfin, grâce à toi Fanfan, je peux supposer ne pas m’être trompé de mots et avoir réussi en effet à décrire ce que je suis devenu au bout de ces années de renoncement et que tout cela me vide de ces passés terriblement douloureux dans de lointaines années en arrière… Je te remercie Fanfan de m’avoir laissé ce commentaire là qui me donne l’opportunité d’affirmer que oui j’adhère totalement à ton analyse de ma réalité. Je t’embrasse très très fort. @mitié, Marc.
Madame Nettoue, je suis bien incapable en fait de vous donner une explication rationnelle à ce que j’arrive à faire sur mon blog depuis le début de l’année. Ce que je peux dire c’est que je manque en permanence de temps pour y faire ce que j’aimerai. Je ne sais pas si je vis plusieurs vies en même temps, mais je sais avoir sacrifié bon nombres d’heures de sommeil depuis quelques mois. Je peux aussi partager avec toi ce constat : avoir un blog et souhaiter qu’il vive est une sinécure insoupçonnée de moi car si j’avais su… jamais je ne me serais fourvoyé dans ce blog ! Je suis en addiction totale. Mais c’est moi le seul fautif alors je ne désigne aucun autre coupable au fait que oui en effet je passe trop de temps sur ce blog et ce sans jamais réussir à y être à jour de mes réponses à vos commentaires. @mitié et j’ai encore la force de t’embrasser très fort. @ vite. Marc.
Bonjour Mina, je sourie car dans l'entête de mon blog il y a bien en évidence et depuis des mois cet espace pour me laisser un commentaire "Pour m'écrire..." je te le mets à disposition bien volontiers pour y laisser tout ce dont quoi tu aurais envie de parler...
Mes tableaux sont en effet dans des "pages" et ils n'y sont pas commentables, sauf que parfois je rajoute un article sur ma peinture et il y en a un aujourd'hui sur la page n° 2 "Vivre mes couleurs à Metz" c'est le dernier que j'ai publié qui a trait à mes tableaux.
Bonne journée Mina, @ bientôt, là je manque de temps car j'ai des affaires en amitié à honnorer. Amitié, @ bientôt. Marc de Metz.
P.S. : il n'y a aucun collage dans mes tableaux... aucun !
bonsoir Marc
Moi j'ai été regarder tes tableaux, entre autres. Malheureusement ils ne son pas commentables...
C'est du joli travail. Il y a du collage sur certains ?
A mon tour de proposer une petite chose pour le blog... Hé bien oui, j'ai lu, dans "correspondances"
Et donc, ce serait bien un petit module pour laisser un message si ce qu'on veut dire est "hors article".
J'en ai vu sur certains blogs. J'ai cherché ici, mais j'ai pas trouvé. S'il y en a un, il m'a échappé.
bonne soirée !
bisous
Lorsque je me retourne sur moi, je mesure « ce de nulle part d’où j’ai réussi à arriver ici là en train de vivre ma vie ! » Je n’y suis arrivé qu’à partir du moment où j’ai accepté de m’accorder le simple droit de ne plus aimer ceux de qui je ne me sais pas aimé ! Oui je peux affirmer mes « à cela » j’oppose mes « à moi ». Ils sont mes certitudes et ils me réparent de mes renoncements ! Merci de ce commentaire et merci de me lire Charlie. Amicalement, Marc. @ bientôt.
Tant de vies en une seule,
Tant de passages à faire,
Tu commences par bousculée, tu finis par acceptée
Le début et ta fin
Ta fin qui finit bien
La lutte est permanente, je le ressens ainsi
Pour pouvoir en vie arriver à grandir...
Merci MarcBonjour Alexandra, merci de ce tag : j'ADORRRRRRRRRRE être tagué ! J'aimerai recevoir par messagerie le texte de ce tag : cela me simplifierait la vie de tagué. Comme Minuimivie, je manque de temps mais je tacherai de ne pas casser cette chaîne... dès que j’en trouverai le temps. Je t'embrasse, Marc.
Coucou Marc,eh bien moi, je te propose un prix celui de brillant(e) weblog 2008, passe faire un tour sur ma page...
Bon, il semblerait que ce soit un prix pour brillante web log,mais qu'importe,pourquoi ne pas opposer brillant et brillante afin qu'ils se réunissent ensuite?
BisesJe sais là Lili, que oui tu as tout perçu de mes « j’oppose » ce qui ne me surprend absolument pas mais alors pas du tout. Merci mon amie merveilleuse Rebelle… Je t’embrasse, @ vite, Marc.
Merci Monsieur Chevalier, j’ai toujours besoin de répondre en fonction des commentaires que je trouve sous mes billets et sous ma poésie. Je considère que c’est une véritable opportunité de se connaître mieux et de partager mieux aussi. Merci à toi, amitiés de Metz, Marc et à bientôt Chevalier. Bon début de semaine aussi.
bonjour marc ton texte mais surtout ta réponse au commentaire de" Lmvie" me touche particulièrement. bonne journée amitiés
Du jour de leur naissance, au jour de leur rupture, j’ai eu avec mes deux filles une relation exceptionnelle, faite que de contraires de tout ce que j’avais subi d’absurde, d’arbitraire, d’insupportable de mes parents. Il ne me fallait surtout pas reproduire et imposer à mes filles ce qui moi m’avait tellement coûté… J’ai été je le sais, je le crois, je l’affirme un vrai, un bon, un super papa pour elles (DIXIT elles-mêmes…) Ensuite et chacune à l’âge de 26 ans elles ne m’ont plus trouvé que socialement incorrect dans leur vie de femme, de belle-fille surtout ! Cet apprentissage du rejet, du reniement, de mes renoncements, de ma paternité rejetée dure depuis 10 ans ! Je n’en souffre pas, plus ! Je n’ai jamais été qu’un père aimé, respecté, apprécié, légitime que tant qu’elles l’ont accepté ! Cette relation ne se construit jamais seul ! J’ai appris cela, accepté cela, assimilé cela ! J’ai évité mille bugs mais pas le plantage de mes répertoire filles, amour, affection, complicité… Le virus était trop pervers ! Amicalement, Marc. @ bientôt.
Les créateurs de nos bugs tu les connais bien évidemment...le plus dur c'est de ne pas les répéter de génération en génération et de "rompre" le cercle unfernal...travail lent, long et difficile mais possible. Que d'oppositions cher Marc, une vie apaisée, sereine, joyeuse, tranquille, nouvelle...utopique je crois, essayons d'apposer simplement quelques adjectifs de tes oppositions sans trop de cahos ni trop de résignation. Merci de tes passages et de tes commentaires si richesBonjour Mimi, j'ai pourtant, je le crois beaucoup de facilité à trouver des tas de mots pour dire des tas de choses, mais à cela Mimi, je n'ai envie que de dire MERCI... Ce réseau en amitiés si riches des vies de celles et ceux avec qui je les partage sans encore les connaître est un cadeau de plus en plus séduisant de la vie. MERCI Mimi, bonne journée à toi et au tiens même si notre printemps s'est fait la belle en HIVER. Sincèrement, à toi, Marc de Metz.
Bonjour Marc!! alors moi je dirais simplement, que A TA vie acceptée, j'appose MA vie magnifiée de ton amitié. Gros bisousJe veux bien accepter et volontiers que ce soit visible que je rentre de la belle capitale... Bises et surtout bonne fin de journée. Marc de Metz la grise glaciale et venteuse. Bises, à bien vite.
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Chacun peut se donner, doit se donner le droit d’opposer…
IL en va parfois de sa propre survie.
Il en va toujours d’une meilleure vie.
Il en va le droit d’avoir une place dans le Monde, avec le monde.
J’espère avoir compris ton commentaire car très dur à lire écrit en blanc.
@micalement, Marc de Metz.