• Dans les rues de décembre…



     

     

     

    Décembre je traverse des jours dans un bientôt Noël

    Celui qui nous fait ici semaines en vitrines belles

    Je traverse préparatifs d’un Noël qui en ville s’invite

    Celui dans odeurs de pain d’épices et de cannelle

     

    Je croise dans Metz des regards que plus tristes

    Ceux qui me trafiquent toujours le cœur à l’envers

    Je croise des hommes qui au froid rude résistent

    Ceux solitaires en bord de nos rues vissés par terre

     

    Je passe dans une ville sous des fleuves de lumière

    Celle qui pâlit dès que tombée sur toute leur misère

    Je passe silencieux près d’eux sans attitude cavalière

    Celle qui rendrait leur peu de vie encore plus amère

     

    Près des plis de leur frusques un seul compagnon

    Celui qui inspire trop souvent la peur aux braves gens

    Chien couché pour avoir moins froid sur un fin carton

    Celui qui la nuit venue finira précaire abri d’indigents

     

    Les croiser ravive un sentiment confus jamais lointain

    Celui secret qui me fera ne jamais être leur ennemi

    Je n’ignore plus que la vie peut jouer tour bien vilain

    Celui qui m’imposerait d’espérer les avoir pour amis


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  • Commentaires

    14
    Agnès
    Dimanche 5 Mai 2013 à 21:37
    Agnès
    Mais la solitude n'est pas que sur les pavés gris et humides de la rue, en levant les yeux vers les lumières il y a aussi derrière certains rideaux tirés des personnes qui auront froid dans le coeur à Noêl, et aussi le 31 et encore à Pâques et encore cet été  ... ils n'iront pas respirer les odeurs de pains d'épices et de vins chauds  de ces marchés magiques ...la solitude n'est pas toujours visible, elle sait souvent se faire discrète, elle ne gâche pas la joie des autres, hélas ou tant mieux ... ces autres qui profitent de la lumière ne doivent pas culpabiliser de leur joie au coeur, c'est un instant volé qu'il faut déguster car le bonheur n'est pas si facile à attraper et il lui arrive même souvent de poser des lapins ... qui sait ce que sera demain ...quand le bonheur nous fait l'honneur d'être là il ne faut pas le bouder mais le fêter ! Pardon pour ces pensées tristes mais tu as raison Marc de parler de la misère du coeur c'est une maladie grave dont un des remèdes est la "Pommade d'Amour" , tu fais partie des prescripteurs,  avec tes mots et tes regards tu soulages chaque jour bien des "bobos" ...
    Agnès.
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    13
    gavroche
    Dimanche 5 Mai 2013 à 21:37
    gavroche
    il est triste de voir qu'il y a de plus en plus d'indigent
    malgres les aides apportees la misere est là
     bon dimanche
    12
    Dimanche 20 Décembre 2009 à 20:33
    Marc de Metz

    Ce soir, c’est celui du dimanche 20 décembre 2009.

    En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…

    Fonction que je n’avais jamais pensé à utiliser…

    J’ai découvert que j’avais des centaines de commentaires sans réponse !

    J’ai pu, en utilisant un « copier-coller » répondre à chacun.

    J’ai décidé de le faire autant par amitié que par correction envers chacun de vous.

    Là, je trouve des commentaires de décembre eux aussi laissés sans réponse.

    Je me trouve « impardonnable » que celui-ci, le tien, fasse partie de ces oubliés

    En te remerciant de me l’avoir laissé, je t’envoie cette réponse « spéciale ».

    Pardon qu’elle soit si tardive et pardon pour sa forme.

    Heureusement que je sais depuis lui avoir répondu à des centaines d’autres : ouf !

    @micalement, Marc de Metz.

    Bonne soirée, très belles et joyeuses fêtes de Noël.

    11
    Dimanche 20 Décembre 2009 à 20:33
    Marc de Metz

    Ce soir, c’est celui du dimanche 20 décembre 2009.

    En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…

    Fonction que je n’avais jamais pensé à utiliser…

    J’ai découvert que j’avais des centaines de commentaires sans réponse !

    J’ai pu, en utilisant un « copier-coller » répondre à chacun.

    J’ai décidé de le faire autant par amitié que par correction envers chacun de vous.

    Là, je trouve des commentaires de décembre eux aussi laissés sans réponse.

    Je me trouve « impardonnable » que celui-ci, le tien, fasse partie de ces oubliés

    En te remerciant de me l’avoir laissé, je t’envoie cette réponse « spéciale ».

    Pardon qu’elle soit si tardive et pardon pour sa forme.

    Heureusement que je sais depuis lui avoir répondu à des centaines d’autres : ouf !

    @micalement, Marc de Metz.

    Bonne soirée, très belles et joyeuses fêtes de Noël.

    10
    Dimanche 20 Décembre 2009 à 20:31
    Marc de Metz

    Ce soir, c’est celui du dimanche 20 décembre 2009.

    En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…

    Fonction que je n’avais jamais pensé à utiliser…

    J’ai découvert que j’avais des centaines de commentaires sans réponse !

    J’ai pu, en utilisant un « copier-coller » répondre à chacun.

    J’ai décidé de le faire autant par amitié que par correction envers chacun de vous.

    Là, je trouve des commentaires de décembre eux aussi laissés sans réponse.

    Je me trouve « impardonnable » que celui-ci, le tien, fasse partie de ces oubliés

    En te remerciant de me l’avoir laissé, je t’envoie cette réponse « spéciale ».

    Pardon qu’elle soit si tardive et pardon pour sa forme.

    Heureusement que je sais depuis lui avoir répondu à des centaines d’autres : ouf !

    @micalement, Marc de Metz.

    Bonne soirée, très belles et joyeuses fêtes de Noël.

    9
    Dimanche 20 Décembre 2009 à 20:31
    Marc de Metz

    Ce soir, c’est celui du dimanche 20 décembre 2009.

    En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…

    Fonction que je n’avais jamais pensé à utiliser…

    J’ai découvert que j’avais des centaines de commentaires sans réponse !

    J’ai pu, en utilisant un « copier-coller » répondre à chacun.

    J’ai décidé de le faire autant par amitié que par correction envers chacun de vous.

    Là, je trouve des commentaires de décembre eux aussi laissés sans réponse.

    Je me trouve « impardonnable » que celui-ci, le tien, fasse partie de ces oubliés

    En te remerciant de me l’avoir laissé, je t’envoie cette réponse « spéciale ».

    Pardon qu’elle soit si tardive et pardon pour sa forme.

    Heureusement que je sais depuis lui avoir répondu à des centaines d’autres : ouf !

    @micalement, Marc de Metz.

    Bonne soirée, très belles et joyeuses fêtes de Noël.

    8
    Dimanche 20 Décembre 2009 à 20:31
    Marc de Metz

    Ce soir, c’est celui du dimanche 20 décembre 2009.

    En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…

    Fonction que je n’avais jamais pensé à utiliser…

    J’ai découvert que j’avais des centaines de commentaires sans réponse !

    J’ai pu, en utilisant un « copier-coller » répondre à chacun.

    J’ai décidé de le faire autant par amitié que par correction envers chacun de vous.

    Là, je trouve des commentaires de décembre eux aussi laissés sans réponse.

    Je me trouve « impardonnable » que celui-ci, le tien, fasse partie de ces oubliés

    En te remerciant de me l’avoir laissé, je t’envoie cette réponse « spéciale ».

    Pardon qu’elle soit si tardive et pardon pour sa forme.

    Heureusement que je sais depuis lui avoir répondu à des centaines d’autres : ouf !

    @micalement, Marc de Metz.

    Bonne soirée, très belles et joyeuses fêtes de Noël.

    7
    Dimanche 20 Décembre 2009 à 20:30
    Marc de Metz

    Ce soir, c’est celui du dimanche 20 décembre 2009.

    En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…

    Fonction que je n’avais jamais pensé à utiliser…

    J’ai découvert que j’avais des centaines de commentaires sans réponse !

    J’ai pu, en utilisant un « copier-coller » répondre à chacun.

    J’ai décidé de le faire autant par amitié que par correction envers chacun de vous.

    Là, je trouve des commentaires de décembre eux aussi laissés sans réponse.

    Je me trouve « impardonnable » que celui-ci, le tien, fasse partie de ces oubliés

    En te remerciant de me l’avoir laissé, je t’envoie cette réponse « spéciale ».

    Pardon qu’elle soit si tardive et pardon pour sa forme.

    Heureusement que je sais depuis lui avoir répondu à des centaines d’autres : ouf !

    @micalement, Marc de Metz.

    Bonne soirée, très belles et joyeuses fêtes de Noël.

    6
    Dimanche 20 Décembre 2009 à 17:11
    Marc de Metz

    Je ne cesse de penser à elles et eux.

    Ils sont là, par des températures polaires…

    Assis sur des couvertures dans le froid.

    Je tente bien modestement de les aider…

    Leur présence : C’est la pire, pour moi, des horreurs urbaines.

    J’ai honte !

    Bonne fin de journée Covix.

    @mitié, Marc de Metz.

    Joyeux Noël l’ami.

    5
    Vendredi 18 Décembre 2009 à 18:48
    C'est poignant, et en effet grand est le nombre de laissé pour compte au bord de nos trotoirs,
    @mitié
     
    4
    Mardi 8 Décembre 2009 à 01:22
    Solange
    Triste en effet et chaque année il y en a de plus en plus.
    3
    Lundi 7 Décembre 2009 à 23:55
    fanfan
    c'est vrai qu'ils ne faut pas les oublier tous ces gens ; on se sent un peu fautif d'avoir un toit  quand on les voit là dans le froid ;   tu rends bien tout cela par tes mots chantants, bises
    2
    Dimanche 6 Décembre 2009 à 10:28
    mary-pascale
    et ils sont de plus en plus jeunes à errer dans la misère! Il y a même des gens qui travaillent à Paris dans l'administration française et qui n'atant pas de logis, dorment dans la rue! proprement scandaleux!
    Je me rappelle que lorsque j'étais enfant (j'ai 54 ans) les vagabonds étaient rare et punissables; c'était un choix de vie, alors que maintenant, les rues regorgent de ces victimes d'un système écroulé.
    bon dimanche, quand même et joyeux St nicolas, Marc! bisousssss
    1
    Dimanche 6 Décembre 2009 à 08:39
    aubert59
    c'est vrai qu'en ces temps de fêtes, ils ne faut pas les oublier et ils auront la vie encore plus dure rien qu'à l'idée de se retrouver seuls avant leur compagnon le chien et ils serontloin d'être autour d'une bonne table
    et ils faut rendre un grand hommage à tous ceux qui ont pris la décision de les aider malgré parfois leur refus
    bises
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