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Craintes : jamais invitées toujours présentes...
Mes craintes sont inquiétantes comme les tiennes
Tes craintes ne me sont pas familières comme les miennes
Tes craintes je peux les multiplier ou diviser par cent
Nos craintes nous ne cessons toi et moi de les redouter
Mes craintes sont pesantes comme le sont les tiennes
Tes craintes sont troublantes comme les miennes
Tes craintes je ne m’y suppose alors point indécent
Nos craintes nous savons toi et moi les étouffer
Mes craintes sont avouables ou pas comme les tiennes
Tes craintes sont envahissantes comme les miennes
Tes craintes en les découvrant dans le noir je descends
Nos craintes nous devrions toi et moi savoir les refuser
Mes craintes sont légitimes ou pas comme les tiennes
Tes craintes sont différentes je le sais des miennes
Tes craintes sont celles que jamais je ne ressens
Nos craintes nous savons toi et moi les détester
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Commentaires
comme toute émotion : les écouter et les apprivoiser...les comprendres...peut être
joli texte de partage, merci.
Bonne soirée.
J’ai découvert ton blog en suivant son lien.
Bonjour, oui, sans crainte il est possible de croquer la vie.
Je sais aussi que des craintes peuvent être contagieuses.
J’aime bien ton commentaire, @mitié de Metz, bonne journée.
Merci de cette visite entre voisins plus près de Metz que de Nancy.
Donc, après avoir lu ton commentaire, je peux imaginer que ces craintes sont les mêmes partout. Merci Solange pour ce commentaire, @mitié de Metz où il fait très froid, j’ai comme crainte que cela dure maintenant quelques longs mois. Marc de Metz.
Te lire, me permet de supposer avoir alors, pas trop mal traduit ce que peuvent nous inspirer nos craintes intimes et celles que nous connaissons des autres… Bonne journée, Je t’embrasse de Metz où, l’automne n’est plus indien, du tout. Marc. @ bientôt.
sur ton blog je suis venu, .
Je suis venu et j’ai vu !
Je suis venu et j’ai vu et j’ai lu !
Cette information sur Metz y est a ta façon rendue.
@micalement Marc de Metz.
Je découvre ton blog et je passe en voisine car plus proche de Metz que de Nancy. nos craintes sont humaines mais attention à ce qu'elles ne deviennent pas contagieuses, sans crainte on croque la vie à pleine dents, bonne journée, @mitiés
Nos craintes sont toujours emplifiées quand nous sommes fatigués. J'aime ton texte il dit bien ce qu'on ressent à ces moments-là.
hélas nous sommes envahis sans cesse de crainte et chacun a les siennes et le vosin ne veut pas des nôtres comme nous nous ne voulons pas des siennes mais en parler peut parfois aider et s'aider c'est bon et fraternel
bises
Ce commentaire, de toi, me touche beaucoup…
Merci amie, je t’embrasse très fort.
Bonne soirée dans votre maison de là-bas.
@mitié de Metz, Marc. @ bientôt ?
Je crois que nous pensons la même chose des craintes, celles qui nous submergent parfois en permanence… Je crois qu’elles réussissent à gâcher beaucoup de vies. Bonne soirée ami, @mitié de Metz, Marc. Bonne soirée.
Je n’ai, en le lisant, ton commentaire, aucun doute : nous parlons bien des mêmes craintes, si banales, quelconques tant que pas vécues par soi et en même temps si insupportables pour soi… C’est plus que de la liberté pour moi : c’est viscéral ! Bonne soirée, à vous deux, je t’embrasse Violette, Marc de Metz.
Il est très possible, probable que tu rencontres Chronique lors de ton séjour de novembre… Il est dans l’air de mon temps, de notre temps qu’elle soit des nôtres cette semaine là…
Les craintes dans n'importe quel domaine sont omniprésentes dans nos vies, seule différe la manière de les vivre, chacun avec sa singularité, là est la liberté.
Je t'embrasse ami Marc
Violette
hélas ces craintes sont et font parties de nos vies , savoir les atténuer pas simple , mais rien que d'en parler c'est déja une preuve qu'il faut lutter , et aussi se calmer
amitiés
sumadrad
Très beau texte
très juste
qui émeut
qui exorcise aussi...
Merci d'écrire, toi, ce que nous ressentons, nous.
Je nous sais toutes et tous avoir des craintes.
Nous ne vivons jamais sans elles.
Elles sont envahissantes, parfois pesantes, souvent stressantes.
@mitié de Metz, Marc. Bon lundi à toi l’ami.
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Merci de considérer ces mots comme un partage car s’en est un pour moi. Je en suis pas certain que l’on puisse apprivoiser ses craintes, au mieux les relativiser et laisser au temps la possibilité de les rendre inutiles… Bonne soirée, @micalement de Metz, merci pour ce commentaire.