• Complainte automnale d'une bicyclette blessée...






    Que personne ne m’imagine avoir mérité cela

    J’ai été bicyclette de promenades joyeuses

    Avant je roulais fière vers d’autres beaux là-bas

    Maintenant je suis là en situation douloureuse

     

    Mauvaise rencontre j’ai faite en heure de minuit

    Je suis bicyclette violentée par nocturne vandale

    Inouïe fut la violence commise avant qu’il s'enfuit

    J’ai honte d’être autre victime d’actions infernales

     

    Les feuilles mortes veulent adoucir mon inconfort

    Je suis bicyclette victime d’un sordide individu

    En tapis elles me protègent du froid de dehors

    Tant d’humain sont déjà passés sans m’avoir vu

     

    Encore attachée je suis humiliée couchée à terre

    Je ne suis plus qu’une pauvre bicyclette outragée

    Je déteste le tortionnaire qui m’a laissée en misère

    Que personne ne m’ignore pleurer d’être blessée

     

     

     

    C’est Fuxy du terrier des renards qui nous propose de participer à un nouveau jeu d'écriture. Ce texte est celui de ma participation.

     

    Les règles sont très simples :

     

    - un texte inspiré de cette photo

    - un article sur notre blog avec notre texte

    - pas de limite de temps

    - envoyer notre texte en commentaire ou par mail au Terrier des renards

     

    Notre texte sera publié dans le terrier des renards, dans un article avec un lien vers notre blog.

     

    Une seule obligation pour les participants :

     

    citer et faire un lien vers le terrier des renards dans l'article concernant ce jeu sur notre blog.

     

    Le lien demandé par Fuxy est ici caché sous la photo de la bicyclette.

    Il vous dirigera vers l’article de ce jeu en écriture.


    « Sous son ciel d'automne le Centre Pompidou-Metz...En attendant un amour pour deux... »
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  • Commentaires

    10
    gavroche
    Lundi 6 Mai 2013 à 00:01
    gavroche
    triste constatation pour le proprietaire
    belle et triste poesie
     bon samedi
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    9
    Lundi 19 Octobre 2009 à 18:04
    Marc de Metz

     Je sais devoir considérer que le vandalisme est acte gratuit.

    C’est épouvantable ce que certains et certaines aiment vandaliser.

    Ils ne respectent rien. Tout ce qui n’est pas à eu est à casser.

    C’est l’une des plus navrantes et coûteuses dérives sociétales.

    Je t’embrasse, bonne soirée à toi, Marc de Metz.

     

    8
    Dimanche 18 Octobre 2009 à 23:12
    Marc de Metz

    Si tu es allée voir les renards, j’espère que tu écriras un texte.

    Cette photo m’a très vite inspirée. J’aime donner aux objets une histoire.

    Je t’embrasse Brigitte, bonne nuit à toi, Merci pour ce commentaire.

    @ bientôt, Marc de Metz.

    7
    Samedi 17 Octobre 2009 à 23:10
    Bonsoir Marc. Bravo pour ton joli poème ! La photo m'inspire, je vais aller voir les gentils renards... Bonne soirée et amitiés à toi,
    Brigitte
    6
    Samedi 17 Octobre 2009 à 18:28
    aubert59
    pauvre bicyclette, elle était pourtant bien utile à son propriétaire pourquoi détruite le bien d'autrun, une vengeance, un acte gratuit aujourd'hui c'est en avoir peur de laisser quelque chose dehors
    bises
    5
    Samedi 17 Octobre 2009 à 16:15
    Marc de Metz

    Bien sympathique de penser à lui ou à elle.

    J’avoue l’avoir fait aussi.

    J’avoue ne pas vouloir être à sa place.

    @micalement, de Metz, Marc.

    4
    Samedi 17 Octobre 2009 à 16:02
    Marc de Metz

    Je te remercie mon ami d’être venu de si loin.

    Tu es connu ici à Metz comme un vrai poète de la vie.

    Je vais moi te considérer comme un humaniste au grand cœur.

    Merci à toi de tant de compassion. Adieu mon ami.

    La bicyclette bleue.

    3
    Samedi 17 Octobre 2009 à 15:32
    Marc de Metz

    Moi aussi là ravi de te lire Sophie.

    Surtout dans un aussi chaleureux commentaire.

    Bon retour dans tes mots et dans les nôtres.

    @mitié de Metz, Marc.

    Bon dimanche après aujourd’hui.

    2
    Samedi 17 Octobre 2009 à 09:18
    Loic

    Triste fin pour un plaisir futile. Tristes souffrances pour des sensations inutiles. Triste monde illustré qui montre que le respect n’est pas toujours une attitude normale.

    Ton cri s’entend de loin, c’est pourquoi je suis venu… mais la laisse qui te contraint est trop forte pour que je te délivre, vélo bleu aux yeux pâles. Amitiés. Loic

    1
    Samedi 17 Octobre 2009 à 07:55
    sophie
    Pauvre bicyclette...Sa vie est terminée après de telles souffrances je suis triste.
    Ton poème est superbe.
    Je suis de retour parmi vous, ravie de te lire ce matin.
    Bon week-end Marc.
    Sophie
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