• Coeur et âme...





    Ecrire livre un cœur et une âme en mots

    Mots livret de pensées souvent secrètes

    Secrètes lettres alors en besoin d’écriture

    Ecriture délivrance de peines opacifiées

    Opacifiées souffrances en soi enfuies

    Enfuies en intimes peurs dormantes

    Intimes mises en scène de tessons de vie

    Vie barbelée de désespoirs fulgurants

    Fulgurants instants en deuil d’avant

    Avant bafoué dans confiance éventrée

    Eventrée par conspirateurs aimés

    Aimés malgré épreuves infligées

    Infligées dans l’isoloir d’une vie abimée

    Abimée en silence érigé par l’échec

    Echec déboutant le savoir partager

    Partager au-delà de ses doutes ancrés

    Ancrés dans le marécage de son cœur

    Cœur en perdition dans ses blessures

    Blessures contractuelles avec l’amour

    Amour pourtant souhaité espéré appelé

    Appelé à faire respirer un cœur une âme

     

     

     

     

    « L'Hôtel de Burtaigne à Metz...Senryû : Le vide... »
    Partager via Gmail Yahoo! Google Bookmarks Blogmarks

  • Commentaires

    16
    sumadrad
    Dimanche 5 Mai 2013 à 22:19

    une âme qui rencontre une autre âme ....qui comme la sienne souffrir en silence est apparemment calme...le coeur à ses secrets que l'âme sait souvent cacher....mais l'esprit fait dans l'écriture une thérapie  qui soulage les blessures....soulager est-ce vraiment le mot?....je ne le crois pas....seulement l'expression qui donne une information....pour éviter de sombrer dans l'abnégation.....que le coeur est incapable d'asumer seul......que cette journée te soit douce ......sincérement mon amitié à toi ami....
    sumadrad.c

    15
    Vendredi 24 Juin 2011 à 19:30
    Marc de Metz

     

     

    Nous semblons faire le même usage des mots l’ami.

    Nous semblons avoir compris lequel en faire surtout.

    D’évidence nous connaissons les limites de cet exercice intime.

    D’évidence nous devrions ne pas nous heurter sur ce sujet ou thème.

    En effet, je ne me soulage de plus rien là…

    En effet, je témoigne seulement d’autres vécus…

    @mitié, bonne soirée Sumadrad, @ Marc de Metz.

     

     

    14
    Mardi 3 Novembre 2009 à 15:44
    Marc de Metz

    Mes blessures je les ai considérées comme inguérissables.

    Puis j’ai compris qu’elles devaient ne plus l’être… jamais !

    Je garde le goût d’en parler pour me dire qu’elles sont guéries.

    Oui, mon blog est un parfait exutoire de mes tourments d’avant.

    Merci pour ce très beau commentaire qui me touche beaucoup.

    Bonne journée à toi Régis.

    @mitié de Metz, Marc.

    13
    Dimanche 1er Novembre 2009 à 12:18
    abeilles50
    Bonjour Marc,
    Tu te livres ici, coeur et âme... et c'est très touchant !
    Il existe des blessures inguérissables, ancrées dans le nid de l'âme, et notre coeur se plaît, en exutoire, de les encrer, aidé de notre plume, sur nos parchemins, nos blogs, nos pages blanches...
    Bonne journée à toi. Amitiés. Bizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzz
    12
    Mardi 14 Avril 2009 à 17:32
    Marc de Metz

    Bonsoir Solange, parmi les 140 commentaires auxquels je peux enfin commencer à répondre ce mardi 14 avril après une semaine de retard bien involontaire du à beaucoup de travail au boulot, donc moins de temps pour mon blog en fin d’après-midi, puis des Fêtes de Pâques loin de Metz, je trouve le tien et je t’en remercie mon amie même très tardivement.

    Je laisse mon cœur respirer, il le fait sans plus souffrir…

    Je t’embrasse Solange, @ bientôt, Marc de Metz.

    11
    Mardi 7 Avril 2009 à 15:55
    Solange
    Un poème lourd, je te le souhaite cet amour à faire respirer ton coeur.
    10
    Mercredi 27 Août 2008 à 19:26
    Marc de Metz

    Merci mon amie Bigornette, de cette plume. Je suis fasciné par ta disponibilité dans ce manque de temps que tu ne cesses toi aussi, comme moi, de dénoncer insuffisant pour tout faire. Je ne sais pas quand je vais pouvoir relayer cette plume, je ne manque pas de belles plumes dans mes amitiés ici, mais j’ai envie de me trouver ce temps pour le faire. Je te remercie de tes mots et je te souhaite une douce soirée en compagnie du temps que tu sauras y consacrer… Je t’embrasse, Marc. 

    9
    Mercredi 27 Août 2008 à 09:46
    le bigorneau
    "Une plume de poète" pour toi aujourd'hui sur mon blog...J'ai tenu à te distinguer dans la catégorie de mes poètes préférés......gros bisous et bonne journée...
    8
    Samedi 23 Août 2008 à 19:19
    Marc de Metz

    Lili, avoir ton cœur et ton âme et ta force et ton courage te donne le droit d’envoyer au diable ta modestie et ta pudeur… Je ne sais pas répondre à ta question puisque parfois je cherche mon cœur et surtout mon âme… Lorsque je sens battre mon cœur et que je ressens la plénitude de mon âme, je suis apaisé ! Je t’embrasse, bonne et douce soirée mon amie Lili. Marc.

    7
    Vendredi 22 Août 2008 à 19:47
    lili-la-rebelle
    tous les humains ont un coeur au sens viscéral du mot
    peu d'humains ont une âme au sens viscéral du mot
    certains ont un coeur, au sens littéral du mot
    certains ont une âmes au sens littéral du mot

    pour une fois je ne vais pas faire dans la modestie, qui est mon amie depuis longtemps
    mais j'ai un coeur et une âme au sens véritable des mots

    qui peut dire la même chose ???

    bisous
    Lili
    6
    Mercredi 20 Août 2008 à 23:55
    Marc de Metz

    Florence, je ressens plus que c’est un cri de mémoire plus qu’un cri de de mon cœur là en ce moment. J’ai besoin de parler de ce sur quoi j’ai été capable de me raisonner et de me sentir libre. Je t’embrasse, Marc.

    5
    Mercredi 20 Août 2008 à 23:45
    Marc de Metz

    Malou, de bien beaux mots que les tiens, si proches de ma démarche en ce genre d’écriture viscérale. Je suis beaucoup de tout cela, sauf que je ne suis plus du tout un père asphyxié. Je suis au contraire au-delà de tout inconfort de n’être plus père sauf dans mes souvenirs. Mais je te remercie de ces mots. Ils me sont précieux. Je t’embrasse, Marc. @ bientôt.

    4
    Mercredi 20 Août 2008 à 17:16
    Marc de Metz

    Loïc, malgré tous mes mots, malgré tout ce que je sais être en fidélité à mes mots et bien je n’ai pas eu la chance ni que mes parents me ressemblent, ni surtout que mes enfants acceptent encore de me ressembler un peu. Sans doute est-ce pour cela que j’aime écrire et que j’ai besoin d’écrire… Amicalement, de Metz, Marc.

    3
    Mercredi 20 Août 2008 à 16:35
    loic-emmanuel
    Quand l'âme est éprise du coeur et réciproquement, leurs enfants, les mots, faits avec amour, ne peuvent que ressembler à leurs parents !!
    Nest-ce pas ??
    Amicalement. Loic
    • Nom / Pseudo :

      E-mail (facultatif) :

      Site Web (facultatif) :

      Commentaire :


    2
    Mardi 19 Août 2008 à 19:36
    Malou
    Blessures-cicatrices jamais complètement refermées. Mise en mots si nécessaires! Espoir toujours renouvelé d'une remise en lien. Suffocation de l'âme! Amour! besoin d'oxygène pour un père asphyxié! Besoin d'un air léger, porteur de filiale tendresse, calfeutrée, emprisonnée, encagée par tant d'incompréhension. En recherche de clés, un jour, cage s'ouvrira!
    Empathiquement toi, Marc. Malou
    1
    Mardi 19 Août 2008 à 18:44
    Oh Marc, quel cri du coeur...
    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :