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Coeur et âme...
Ecrire livre un cœur et une âme en motsMots livret de pensées souvent secrètes
Secrètes lettres alors en besoin d’écriture
Ecriture délivrance de peines opacifiées
Opacifiées souffrances en soi enfuies
Enfuies en intimes peurs dormantes
Intimes mises en scène de tessons de vie
Vie barbelée de désespoirs fulgurants
Fulgurants instants en deuil d’avant
Avant bafoué dans confiance éventrée
Eventrée par conspirateurs aimés
Aimés malgré épreuves infligées
Infligées dans l’isoloir d’une vie abimée
Abimée en silence érigé par l’échec
Echec déboutant le savoir partager
Partager au-delà de ses doutes ancrés
Ancrés dans le marécage de son cœur
Cœur en perdition dans ses blessures
Blessures contractuelles avec l’amour
Amour pourtant souhaité espéré appelé
Appelé à faire respirer un cœur une âme
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Commentaires
Nous semblons faire le même usage des mots l’ami.
Nous semblons avoir compris lequel en faire surtout.
D’évidence nous connaissons les limites de cet exercice intime.
D’évidence nous devrions ne pas nous heurter sur ce sujet ou thème.
En effet, je ne me soulage de plus rien là…
En effet, je témoigne seulement d’autres vécus…
@mitié, bonne soirée Sumadrad, @ Marc de Metz.
Mes blessures je les ai considérées comme inguérissables.
Puis j’ai compris qu’elles devaient ne plus l’être… jamais !
Je garde le goût d’en parler pour me dire qu’elles sont guéries.
Oui, mon blog est un parfait exutoire de mes tourments d’avant.
Merci pour ce très beau commentaire qui me touche beaucoup.
Bonne journée à toi Régis.
@mitié de Metz, Marc.
Tu te livres ici, coeur et âme... et c'est très touchant !
Il existe des blessures inguérissables, ancrées dans le nid de l'âme, et notre coeur se plaît, en exutoire, de les encrer, aidé de notre plume, sur nos parchemins, nos blogs, nos pages blanches...
Bonne journée à toi. Amitiés. BizzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzzBonsoir Solange, parmi les 140 commentaires auxquels je peux enfin commencer à répondre ce mardi 14 avril après une semaine de retard bien involontaire du à beaucoup de travail au boulot, donc moins de temps pour mon blog en fin d’après-midi, puis des Fêtes de Pâques loin de Metz, je trouve le tien et je t’en remercie mon amie même très tardivement.
Je laisse mon cœur respirer, il le fait sans plus souffrir…
Je t’embrasse Solange, @ bientôt, Marc de Metz.
Merci mon amie Bigornette, de cette plume. Je suis fasciné par ta disponibilité dans ce manque de temps que tu ne cesses toi aussi, comme moi, de dénoncer insuffisant pour tout faire. Je ne sais pas quand je vais pouvoir relayer cette plume, je ne manque pas de belles plumes dans mes amitiés ici, mais j’ai envie de me trouver ce temps pour le faire. Je te remercie de tes mots et je te souhaite une douce soirée en compagnie du temps que tu sauras y consacrer… Je t’embrasse, Marc.
Lili, avoir ton cœur et ton âme et ta force et ton courage te donne le droit d’envoyer au diable ta modestie et ta pudeur… Je ne sais pas répondre à ta question puisque parfois je cherche mon cœur et surtout mon âme… Lorsque je sens battre mon cœur et que je ressens la plénitude de mon âme, je suis apaisé ! Je t’embrasse, bonne et douce soirée mon amie Lili. Marc.
peu d'humains ont une âme au sens viscéral du mot
certains ont un coeur, au sens littéral du mot
certains ont une âmes au sens littéral du mot
pour une fois je ne vais pas faire dans la modestie, qui est mon amie depuis longtemps
mais j'ai un coeur et une âme au sens véritable des mots
qui peut dire la même chose ???
bisous
LiliFlorence, je ressens plus que c’est un cri de mémoire plus qu’un cri de de mon cœur là en ce moment. J’ai besoin de parler de ce sur quoi j’ai été capable de me raisonner et de me sentir libre. Je t’embrasse, Marc.
Malou, de bien beaux mots que les tiens, si proches de ma démarche en ce genre d’écriture viscérale. Je suis beaucoup de tout cela, sauf que je ne suis plus du tout un père asphyxié. Je suis au contraire au-delà de tout inconfort de n’être plus père sauf dans mes souvenirs. Mais je te remercie de ces mots. Ils me sont précieux. Je t’embrasse, Marc. @ bientôt.
Loïc, malgré tous mes mots, malgré tout ce que je sais être en fidélité à mes mots et bien je n’ai pas eu la chance ni que mes parents me ressemblent, ni surtout que mes enfants acceptent encore de me ressembler un peu. Sans doute est-ce pour cela que j’aime écrire et que j’ai besoin d’écrire… Amicalement, de Metz, Marc.
Nest-ce pas ??
Amicalement. LoicBlessures-cicatrices jamais complètement refermées. Mise en mots si nécessaires! Espoir toujours renouvelé d'une remise en lien. Suffocation de l'âme! Amour! besoin d'oxygène pour un père asphyxié! Besoin d'un air léger, porteur de filiale tendresse, calfeutrée, emprisonnée, encagée par tant d'incompréhension. En recherche de clés, un jour, cage s'ouvrira!
Empathiquement toi, Marc. Malou
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une âme qui rencontre une autre âme ....qui comme la sienne souffrir en silence est apparemment calme...le coeur à ses secrets que l'âme sait souvent cacher....mais l'esprit fait dans l'écriture une thérapie qui soulage les blessures....soulager est-ce vraiment le mot?....je ne le crois pas....seulement l'expression qui donne une information....pour éviter de sombrer dans l'abnégation.....que le coeur est incapable d'asumer seul......que cette journée te soit douce ......sincérement mon amitié à toi ami....
sumadrad.c