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Au revoir mon fils...
Au revoir mon filsAdieu fils aimé va dans ce monde sur mes traces sans regret
Je te sais moi aller vers d’autres rêves de vie sans nous loin
Ta mère pleurera dans sa maison elle s’arrêtera je promets
C’est une vie sans toi triste mais dont je vais prendre soin
Je te regarde t’échapper de la terre pour aller tes aventures
Nostalgie j’ai de ma propre fuite vers ces mondes fabuleux
Temps passé dans des moments parfois pleurés car si durs
Marin avant pécheur pour satisfaire votre vie je suis heureux
Navire en partance en habits de soleil mon garçon je te confie
Départ sans moi alors je prierai pour un périple sans malheur
Fier le cœur en amour je le sais armer pour revenir de l’infini
Cette grève est sa maison et je le laisse partir sans moi heureux
Horizons encore mystérieux pour lui au delà des nuages dorés
Sans peur je les ai bravé en compagnie d’autres hommes forts
Ce soir fils je demanderai pardon à ta mère de t’avoir raconté
Ma vie belle dans ces années partagée entre liberté et fraternité
Ce poème est une réponse à un merveilleux jeu d’écriture que nous propose depuis peu le blog « Poésia ». Je vous invite, vous les joueurs de mots à cliquer sur sa bannière pour découvrir les modalités de ce superbe et sympathique exercice.
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Commentaires
Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.
En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…
Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.
J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
Je fais le choix d’utiliser un « copier/coller » pour lui répondre enfin.
Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.
Tu es vraiment, comme moi, un félé de ton blog.. On a déjà tant de points commun.
Je t'embrasse Marc NettoueA ce « c’est pas mal du tout », je dis un très grand merci et je te souhaite une bonne journée de samedi. Amicalement, Marc.
Bravo Marc pour ce poème. Toujours aussi brillant. Du coup, tu m'as donné envie de me frotter à ce jeu d'écriture, en toute modestie (voir mon blog). Vraiment aussi très touchée par Dông Phong. L'absence de ses enfants, le départ de l'un d'entr'eux dans "l'autre monde" est évènement de la vie si cruel que je voudrais t'offrir, Dông Phong toute ma fraternelle compassion! Je sais que cela fait du bien ces marques de sympathie. Alors je te les prodigue sans compter. A bientôt de te lire sur ton site si sensible! A bientôt aussi à toi Marc, ami de la blogosphère dont je ne conte plus les talents et surtout l'attention portée à chacun. Amitiés Malou
Dông Phong, en quelques mots, je peux savoir le retentissement sur toi de ce poème que j’ai écrit aujourd’hui. Je suis d’ici, de loin, simplement très touché d’être, je l’imagine dans ces quelques mots. un ami d’écriture qui aura ce soir remué bien involontairement tes tristes souvenirs. Ce mot concernant ton épouse d’inconsolable me permet lui de prendre la mesure de son amour pour ses fils. Nos vies sont bien trop souvent faites du vide de ce que nous aimons. Je ne sais pas quel est le bout du monde qui donne du travail à votre fils, mais je vous souhaite de réussir de temps à autre à le voir. Je pense là à toi. J’ai vu ce que tu as consacré ce jour aux architectes d’intercoeurs. Je sais maintenant ne pas m’être trompé en imaginant que tu pouvais être mon aîné de quelques toutes petites années. Tu ne pouvais que l’être toi si appliqué dans tes traductions et si attentif aux autres. Je suis vraiment et sincèrement ravi de notre rencontre. @ bientôt, amicalement de Metz, Marc.
Cher Marc, Ce poème me touche au coeur, car j'ai un fils qui est parti dans l'autre monde, et un autre qui vit actuellement à l'autre bout du monde car il n'y a pas de travail pour lui en France. Et ma femme est inconsolable. Bonne soirée, bien amicalement. PS: j'ai publié ce matin sur mon blog un poème pour saluer les Architectes d'Intercoeurs et te remercier.
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Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.
En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…
Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.
J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
Je fais le choix d’utiliser un « copier/coller » pour lui répondre enfin.
Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.