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Amie qu'entre soirées et nuits messines... / Anadiplose
Soirées sont moments intimes pour nous pour moi
Moi je ne suis pas qu’ami dans des heures noires
Noires comme ces nuits alors en refuge chez nous
Nous y sommes téléphone qu’en extrême urgence
Urgence seule autorise intrusion dans nos soirées
Soirées pour vie personnelle intime sans extérieur
Extérieur assumé aimé partagé en heures de jours
Jours sans jamais d’appel de toi qui préfère la nuit
Nuit amie pour toi difficile et pour nous en quiétude
Quiétude convoitée organisée protégée pour vivre
Vivre quelques heures que pour nous moi lui nous
Nous entre souper et sommeil voulons vous oublier
Oublier pour ne plus nous oublier et pensez à rien
Rien de ce qui peine dérange perturbe nos journées
Journées confrontés à bonheur malheur maladie vie
Vie la tienne souvent exigeante d’une longue écoute
Ecoute en chantiers de solutions jamais suffisantes
Suffisantes amie elles seraient hors ces nocturnes
Nocturnes détresses qui te font nous vouloir amis
Amis que nous ne sommes pour toi jamais en jour
Jour aucun sans jamais aucun appel de toi espéré
Espéré alors mais redouté dans nos heures intimes
Intimes nous souhaitons rester dans nos soirées
Soirées souvent partagées avec nos intimes amis
Amis alors en vouloir trouver du temps rencontre
Rencontre prévue improvisée pour vivre en amitié
Amitié amie n’est pas mot se déclinant qu’en nuits
Nuits pour nous deux confinés à l’abri des autres
Autres que nous aimons avoir amis dans journées
Journées ou elles eux aiment partager notre amitié
Amitié oui mais pas dans tes très tardives heures
Heures pour toujours à nous sauf urgence extrême
Extrême signifie en ultime recours à tes détresses
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Commentaires
Inutile là de me lire entre les lignes l’ami, entre ces mots là. Ces mots sont à l’intention de ces amis(es) que nous pouvons avoir et qui n’ont comme temps pour l’amitié que celui qu’ils t’imposent uniquement en soirée pour « vomir » leurs tergiversations perpétuelles sur leur vie !
Je me suis là libéré en mots d’une intention que j’ai de ne plus permettre à quiconque de ne m’apprécier comme « ami » qu’en heures nocturnes et de n’avoir jamais envie de me voir lorsqu’il fait jour, beau que la vie est belle !
J’ai déjà été vampirisé par ces personnes qui ne faisaient appel à mon amitié que pour que je les écoutes pendant des heures en soirée et qui en plus n’appelaient que tardivement…
J’espère te rassurer car je crois que tu ne pouvais pas comprendre ma démarche avant que je
Nous sommes le dimanche 20 décembre 2009.
En cliquant sur le choix « commentaires sans réponse »…
Avec effarement je trouve celui-ci qui date d’une éternité.
Il fait partie de ceux restés sans réponse que là je trouve.
J’en suis navré et je m’empresse de le déplorer.
Vraiment désolé de l’avoir laissé sans réponse.
Je fais le choix d’utiliser un « copier/coller » pour lui répondre enfin.
Je me sais en train de reprendre contact avec certains d’entre vous.
Je me sais faire une réponse à certains jamais perdu de vue…
Je te souhaite de très belles fêtes de Noël et de fin d’année 2009.
@micalement, Marc de Metz.
Merci amie Violette. Depuis ce texte, cette amie d’ici, qui n’avait du temps qu’en fin de soirée pour de l’amitié et que téléphonique et bien nous l’avons perdue. Nous le regrettons mais nous avons retrouvé depuis des soirées plus sereines et que nous passons comme nous les aimons : calmement, entre nous, loin de cette vie trop souvent désastreuse et douloureuse pour beaucoup… Je t’embrasse, bonne soirée. Marc.
Bigornette, de cette lamentable et moche épisode dans ta vie, je n’ai comme éléments ceux lus sur ton blog. Je n’ai pas eu envie ni besoin d’aller sur les autres blogs en particuliers ceux desquels sont arrivées ces odieuses attaques tellement incongrues dans nos blogs. Enfin, c’est ce que je ressens. Je ne suis pas étonné que des Architectes d’intercoeurs soient venus te soutenir et t’apporter un peu de réconforts car beaucoup sont d’exceptionnelles « belles » personnes. Encore ravi Bigornette que tu aies compris même si c’est encore très dur que nous te voulons parmi nous et que nous sommes nombreux à le vouloir. Je t’embrasse très fort. @ bientôt, amitié, Marc.
Amie qu'entre soirées et nuits messines... / Anadiplose
Bonsoir Scoodydu41,
Merci de ce commentaire duquel je vais retenir « que ce n’est que quelques fois je te déroute par mon écriture». Comme tu ne me dis pas en quoi, et bien c’est à mon tour de me sentir là dérouté… Je suis preneur de tes sentiments sur parfois mon écriture. Bonne fin de soirée et bonne nuit. Amicalement, Marc de Metz.
je dois t'avouer que quelquefois ta façon d'écrire me déroute un peu comme pour ce texte. A+Je ne crains pas d’être oublié Ptitsa mon amie, juste je ne le souhaite pas… Je crois qu’une amie écrevissée par notre soleil n’est pas une amie à perdre. Je t’embrasse et je te souhaite une fin de journée ombrée… et douce. @ bientôt, Marc de Metz.
Galathée, comment me mettre dans cette réponse que je te fais dans des mots beaux et tristes mots comme le sont les tiens ? Je suis abasourdi par ton aisance dans cet exercice, sans en ignorer je le crois l’origine. Je te découvre, si je ne me trompe pas, dans une recherche d’un présent qui efface assez des passés pour ne pas rendre l’avenir aussi torturé que tes temps proches. Je peux me tromper, mais j’ose le traduire ainsi après avoir fait une lecture appliquée de tes mots. Tu es Galatée une architecte d’intercoeurs et cela me touche terriblement. J’aimerai, je te le dis, que nous gardions contact, à ta seule convenance car c’est toi qui seule peut décider de répondre à cette demande de ma part. Amicalement, sincèrement, Marc de Metz.
Ainsi, tu crains que je ne t'oublie ? Mais voyons , Marc, je le risque d'autant moins que ton dernier commentaire est d'une concision qui me laisse bouche bée. Et puis, tu oublies que tu m'as donné plein de travail à faire... bisous et bonne journée à MVV sous le soleil ! Ta "tendrement écrevissée" (merci pour cette adorable formule...) :)
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même en sachant ce que je sais ....
même si tu ne m'a rien dis exprés...
rien de plus que ce que mon coeur ressens
tu connais ce qui me touche au présent
on se connais mieux que ce que l'on croit
te lire reste toujours avec tes mots : l'émoi
l'amitié mon ami ne connais pas la nuit
elle est seulement ce temps qui passe et s'enfuit
mais toi comme moi avoir besoin de ce silence
celui qui en soirée seul tolére sa présence
du soir à la nuit intimes moments présents
j'aime l'expression de ces beaux sentiments
faut te lire entre les lignes pour te suivre
c'est toujours moment intense à vivre
ami....amitiés....douce journée
sumadrad.c b