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Une photo, prise le long de la Seille dans le parc que cette rivière longe. Il porte le nom de « Parc de la seille » ou « Parc des jardins de la Seille ». Nous utilisons nous ici celui de « Parc de la Seille ».
Je vous invite à voyager dans cette photo, sans autre intention que celle de vous promener dans des ambiances différentes, alors que ce parc n’en manque pas sur les 20 hectares de sa superficie et le long des six kilomètres de ses allées.
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Surtout n’imaginez pas que ces photos sont prises dans la campagne de Metz. Elles sont prisent en ville, pas loin de son centre, le long des berges de la Seille. Si vous ne me croyez pas, j’espère que la présence du Centre Pompidou-Metz, vous convaincra de mon propos…
Les berges de la Seille longent à Metz le Parc de la Seille au-delà duquel se dresse le Centre Pompidou-Metz. Les berges sont à cet endroit traitées de façon à rester « sauvages ». Elles ont pour vocation d’être inondables dans ce secteur prévu à cet usage en cas de crue. Les inondations sont ainsi en permanence sous surveillance et cela permet la régulation des eaux avant qu’elles ne se jettent à quelques centaines de là, dans la Moselle.
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Lors des dernières journées du patrimoine, j’ai eu le plaisir de découvrir de l’intérieur le siège du Conseil Général de la Moselle. Si sa façade principale, construite en 1929, se présente dans un style néo-Louis XV et respecte l’harmonie des bâtiments alentours, son extension en 1983 par son style très contemporain le transforme parfois en paquebot de luxe puisqu’il a les pieds dans l’eau des bras de la Moselle.
Au loin, la colline de Sainte-Croix domine à cet endroit un ensemble de 221 logements sociaux, construits de 1959 à 1963, pour remplacer des immeubles insalubres. Les logements de Saint-Ferroy sont très prisés. Je suppose qu’il est facile, en voyant cette photo, de comprendre le pourquoi de cette réalité.
Cette extension ne nuit en aucune façon à l’architecture classique et française de l’Opéra-Théâtre, des bâtiments qui l’encadrent et de la Préfecture de la Moselle ses proches voisins. Comme pour la partie la plus ancienne, c’est la pierre jaune, safranée de la pierre de Jaumont qui habille l’ensemble.
Voici les jardins aménagés à la française. Ils ne sont pas libres d’accès mais ont peut les admirer au travers des grilles qui protègent cette administration départementale. Les bâtiments sur la droite, au dessus du pont Saint-Georges, sur la photo suivante, sont aussi à caractère social. Leurs fenêtres donnent sur le bras mort principal de la Moselle.
Ce bâtiment au bout des jardins est une « usine d’électricité ». En fait, il fait partie du Moulin des Thermes et celui-ci, d’une façon presque anecdotique, peut fournir de l’électricité et renforcer alors la production de celle de Metz…
Lors de cette visite, j'ai eu accès au dernier étage, celui qui semble être « de réception » car j’ai traversé des salons, une vaste salle à manger, un bar, des couloirs avant de pénétrer dans le bureau du Président du Conseil Général au même étage.
C’est au bout de ce couloir que travaille le Président. Son bureau est très chaleureux et son point de vue sur cette partie très verte de la ville est des plus agréables. Une grande partie de ce volume est à « ciel ouvert » grâce à la présence d’une grande verrière qui elle aussi m’a fait penser à la passerelle d’un paquebot.
Le bureau et son panorama au dessus des immeubles du Pontiffroy.
Le petit salon et son panorama sur le bras de la Moselle et la colline Sainte-Croix.
Puis j’ai été dirigé vers la fin de cette visite en empruntant un escalier au dessus de la cour d’honneur et de ses jardins à la française. C’était la première fois que je pouvais voir la salle Fabert d’en haut.
C’est la façade sur la rue de cette partie « neuve. Plus classique que les autres, elle est une parfaite transition vers les autres bâtiments des places de la Préfecture et de la Comédie.
Sans doute l’un des plus beaux points de vue sur le Conseil Général. Cette photo est prise depuis l’autre côté du bras de la Moselle, celui qui monte à l’assaut de la Colline Sainte-Croix en traversant les immeubles sociaux de Saint-Ferroy.
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Cet article je l’ai publié une première fois en août 2009. Je vous propose de le découvrir car depuis les visiteurs de ce blogs ne sont plus les mêmes.
Je republierai, parfois des articles parmi les plus anciens car je trouve dommage qu’un article semble « démodé » dès le lendemain de sa publication alors qu’il reste d’actualité comme celui-ci, car chaque année, la grande braderie de Metz fait ce show là en août.
La grande braderie est un évènement considérable ici. Je peux compter sur les doigts d’une main celles et ceux qui n’y vont pas, qui n’y passent pas au moins faire un tour. Je n’ai pas assez de doigts pour compter ceux et celles qui vivent cette journée comme l’une des plus extraordinaires de l’année…
Place Saint-Louis des chiffons qui chiffonnent les envies
Envies de tout et de rien sauf de revenir sans rien
Metz l’été est une sacrée bradeuse d’affaires
Affaires dites bonnes à faire par tous en août
Août est le mois de la grande braderie de Metz
Metz pour vendre s’encombre ses rues de tout
Place Saint-Jacques des assoiffés très chiffonnés
Chiffonnées les pieds souffreteux la mine défaite
Tout ce qui doit changer de mains est là convoité
Convoité des heures sous un soleil implacable d’été
Eté mis en parenthèses pour achats anticipés d’hiver
Hiver ici en blousons de cuir sous couettes épaisses
Rue Serpenoise des clientes en plein chiffonnage
Chiffonnage en addition de marmailles excitées
Epaisse foule qui déambule brayant ses trouvailles
Trouvailles de trésors inutiles mais là nécessaires
Nécessaires baratins des camelots avides de ventes
Ventes torturées par chaleur suffocante dans les rues
Rue des Clercs des chiffonniers cassent leurs prix
Prix bradés et sacrifiés au fil des heures de la journée
Rues avides de passants en passion de commerce
Commerce excitant pour aficionados de la dépense
Dépense mesurée pour les autres en mal de monnaie
Monnaie sonnante qui fait trébucher leur budget
Rue de la Tête d’Or des montagnes de vêtements
Vêtements jamais dans le besoin de maintenant
Budget en insouciance d’après quand oublié là
Là ne se vouloir qu’en champion de bonnes affaires
Affaires belles faites qu’en étant grisé par économie
Economie rarement avérée dans les jours suivants
En Chaplerue des chaussures des jupes des sacs
Sacs de plage avant l’hiver sac à main trop petit
Suivants seront aussi jours de rentrée des classes
Classes sont les camelots qui promettent l’Affaire
L’affaire faite le client exulte sa braderie est succès
Succès qui lui donnera d’autres envies de dépenses
Rue de la Doucette des trésors empilés en pyramides
Pyramides en plastique d’ailleurs et fruits terrassés par la chaleur
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Un jour une photo
Un de mes « Vu à Metz ».
Publié pour devenir un clin d’œil.
Avec vous aujourd’hui je le partage.
Il est l’image d’un instant de vie à Metz.
Invitation à partager une ou dix émotions.
J'espère que la voiture dans ce garage va bien.
Parfois le stationnement en ville peut rendre fou.
Stupide façon de se venger d'une restriction légitime.
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Ces photos sans légende sont toutes prises à Metz.
Elles me permettent de vous en montrer plus de la ville.
Ces bouts de Metz sont un kaléidoscope de ses beautés.
Metz, « Ville où il fait beau et bon vivre !» : j’aime le montrer.
Cette série est inépuisable car Metz est une ville photogénique.
Ces photos n’ont qu’un but, celui de vous apprendre à la regarder.
Il est possible que je tente de vous donnez envie de venir la découvrir…
Pour découvrir ou revoir, par un clic ici :
Vingt de mes "autour" du Centre Pompidou-Metz / 91
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