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La grande roue de Metz n’y est installée que pour les fêtes de Noël et de fin d’année. Celle-ci mesure 60 mètres de haut. Voici en quelques photos un moment de bonheur pour moi…
Cette énorme et gracieuse structure démontable me semblait devoir rassurer mes deux invitées pour leur permettre d’avoir les yeux grands ouverts au dessus des toits de Metz.
Nous n’avons que peu attendu avant de pouvoir nous installer (presque tous joyeusement) dans l’une de ces ravissantes nacelles bleue grâce à laquelle nous devions accéder au ciel de Metz, en toute sécurité.
Comme je me dois vous épargner, vous supposant très sensibles, je ne vais vous dire que cela : j’ai été le seul de la cabine à avoir admiré le Centre Pompidou-Metz, la patinoire du marché de Noël de la place de la République. Mes deux invitées malheureusement terrifiées ne se sont résolues à ouvrir (un peu) les yeux qu'après les deux premier tours, presque pendant le troisième...
Me voulant rassurant, c’est leur en parlant doucement que je leur commentais ce que moi seul voyais comme par exemple l’installation des fontaines symphoniques qui sont la nouvelle attraction de ce Noël 2012 à Metz. Comme il m’était alors pénible de les savoir en prise à une envie de vomir car persuadées que la nacelle faisait des loopings…
A aucun moment je ne leur en ai voulu de refuser d’admirer le Centre-Pompidou-Metz, de saturer notre belle cabine, aux vitres teintées en bleu, de leur terreur et même de m’interdire de cligner des yeux pour ne faire se balancer notre habitacle suintant alors d’une peur indicible (la leur) mélangée à un fou-rire presque silencieux (le mien)…
Je sais même avoir regretté de ne pas leur avoir offert un tour sur ce manège au lieu de me tromper en imaginant qu’elles seraient ravies d’un voyage à 60 mètres de hauteur en compagnie d’un ami attentif, à l’écoute de leur peur du vide et désireux de les aider à la vaincre.
Il y a eu un miracle.
Il s’est passé une chose extraordinaire.
Il s’est passé une chose incroyable.
Il s’est passé un truc énorme.
Cela est arrivé pendant le cinquième tour.
Mireille du Sablon s’est mise debout.
Mireille du Sablon a fait des photos.
Mireille du sablon à dit (souriante) :
- C’est quand même formidable et si beau !
- Je n’en reviens pas d'être là !
Et il y a eu un second Miracle.
Chronique alors a ouvert les yeux.
Chronique a alors fait quelques photos.
C’était si beau que je suis prêt à jurer que toutes les cloches de toutes les églises de Metz ont sonné à la volée et que des milliers de klaxons se sont fait entendre…
Mireille du Sablon et Chronique ne veulent qu’une chose c’est remonter dans la grande roue de Metz. Comme quoi avec Marc de Metz les moments les plus terrifiants rendent heureuses !
Et que personne n’imagine que je puisse être éclaté de rire à la seule allusion à ce merveilleux et sublime moment dans le ciel de Noël à Metz !
Dans un prochain article je vous montrerai les fontaines symphoniques car en compagnie de fières filles ayant survécues le même jour à la fin programmée de l’humanité et à cinq tours sur la grande roue je les ai admirées, comme elles deux.
J’ai hésité, j’ai vraiment hésité à leur proposer d’y remonter là après la nuit tombée. Je vous rassure je ne l’ai pas fait. Sans aucun doute une faiblesse de ma part…
C’est une des photos de Chronique.
C’est vrai qu’elle devait être barbouillée.
En voici la preuve avec ce rare cliché d’elle de cette virée.
Et que personne n’ose dire que j’ai bidouillé cette photo !
Ce serait ne pas mentir que d’oser l’affirmer ici…
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A Noël les nuits de Metz ont un maquillage de Noël dans toute la ville ...
Cette idée d’une photo par jour du Noël de Metz, m’est inspirée par l’origine du traditionnel calendrier de l’Avent. Il est né en Allemagne au XIXe siècle. Certaines familles protestantes, pour canaliser leur impatience avant Noël distribuaient alors, aux enfants, une image pieuse chaque matin entre le 1er et le 24 décembre.
C’est en 1920 qu’a été commercialisé le premier calendrier de l’Avent avec des petites portes ou fenêtres à ouvrir. En 1958 apparaissent les premières surprises en chocolat.
C'est le quatrième et dernier dimanche de l'Avent.
Noël c’est dans 2 jours…
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J’aimerai avoir une baguette magique pour coincer Metz dans un été permanent et pour aller en décembre au bord du plan d’eau sans un immense parapluie. Je ne peux le faire qu’en photos et je vous invite à me suivre pour quitter quelques instants le mauvais temps, le froid et surtout la pluie.
Si le décembre de Metz était comme son juillet, dans quelques minutes c’est ainsi que je découvrirais la cathédrale depuis le port de plaisance.
Si le Lorraine naviguait en décembre, c’est une croisière sur la Moselle qui serait à notre programme de la journée pour trouver de la fraîcheur entre ses rives.
Si l’île du Saulcy, en face de l’embarcadère des pédalos, n’avait pas elle aussi perdu sa végétation j’y retournerai y faire des photos des bateaux qui font escales à Metz pendant les beaux jours.
Comme nos jours là sont pluvieux, je ne peux, dans l’impatience du retour du printemps, que regarder ces photos qui datent de l’été dernier. Pour les faire, j’ai du quitter le port de plaisance pour passer en face sur l’île sur laquelle se trouve le principal campus universitaire de Metz, celui de l’île du Saulcy.
Si encore dans l’hiver messin il faisait ici des froids sibériens, il serait possible de patiner sur les huit hectares du plan d’eau… et bien ce n’est jamais le cas et ne nous reste que la patinoire de Metz, elle est toute proche du plan d’eau, pour glisser sur de la glace artificielle et ce toute l’année.
Je mets quiconque au défi, à proximité de Noël, de pouvoir rapporter d’une promenade le long du plan d’eau des photos de touristes en villégiature sur leur bateau… Ce spectacle n’existe ici qu’entre avril et octobre.
Par contre pendant l’hiver, comme en toute saison, il est possible de profiter de la table de l’Auberge du Mini Golf. L’été c’est sur cette terrasse que les clients aiment manger ou diner. Le point de vue sur le port de plaisance n’est pas son seul atout, son cadre et la qualité de sa table sont très prisés ici.
Oui, c’est seulement dans quatre mois que le plan d’eau sera à nouveau ce havre de paix au cœur de Metz dans un écrin de verdure qui enchante ici petits et grands, jeunes et moins jeunes, sportifs et simples promeneurs. L’eau ni sera plus grise et sombre mais dans des gammes de bleus et de verts : ce sera alors l’été…
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E
En décembre ce sont des millions de passants qui admirent ces lumières...
Cette idée d’une photo par jour du Noël de Metz, m’est inspirée par l’origine du traditionnel calendrier de l’Avent. Il est né en Allemagne au XIXe siècle. Certaines familles protestantes, pour canaliser leur impatience avant Noël distribuaient alors, aux enfants, une image pieuse chaque matin entre le 1er et le 24 décembre.
C’est en 1920 qu’a été commercialisé le premier calendrier de l’Avent avec des petites portes ou fenêtres à ouvrir. En 1958 apparaissent les premières surprises en chocolat.
Noël c’est dans 3 jours…
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Metz ne n’a pas été construite en un jour, en une semaine, en un siècle mais en 3 000 ans. Le quartier de l’Amphithéâtre sort depuis moins de trois ans d’une terre en friche depuis des années. Cinquante hectares sont en cours d’aménagement pour devenir des rues, des places, des avenues nouvelles le long d’immeubles très contemporains. Voici les premiers de ces immeubles. Ils sont tout proche du Centre Pompidou-Metz.
Une légende urbaine affirme que tous les appartements de cet immeuble auraient été vendus sur plan. J’y crois car avoir vue sur le Parvis des Droits de l’Homme et le Centre Pompidou-Metz sera un privilège pour qui aura disposé des moyens de se l’offrir. Vous ne trouverez pas sur l’une de ses boîtes à lettres ce nom : Marc de Metz...
D’un côté de la nouvelle Avenue François Mitterrand (c’est le seul président de la Ve République a être allé bout de deux septennats…) des immeubles de bureaux et de logements résidentiels et de l’autre la Halle Michelin (Nicolas Michelin c’est l’architecte de ce bâtiment). Cet immeuble est amarré à l’un des côté du Parvis de Droits de l’Homme qui fait face au Centre Pompidou-Metz. Il mesure 180 mètres de long et fait 12,5 mètres de large. Il est prévu pour héberger le siège d’une grande banque, un hôtel trois étoiles, des cellules commerciales dont des restaurants.
Comme moi, le beffroi de la gare semble s’intéresser à l’avancement de ces travaux considérables qui ne lui feront pas d’ombre car ils se situent derrière la gare de Metz.
Même ces vieux bâtiments bien solides devraient être très convoités maintenant qu’ils sont dans le quartier hyper branché de l’Amphithéâtre au lieu de l’être comme depuis un siècle dans celui du Sablon, quartier résidentiel en même temps que populaire et très prisé ici à Metz.
C’est la passerelle qui relie le Parvis des Droits de l’Homme directement à la gare de Metz et je trouve très ingénieux d’avoir créé sous elle un parking à vélos et motos. Vous pouvez ne pas le savoir mais notre maire, Monsieur Dominique Gros se déplace en vélo et enfin le vélo trouve dans la ville sa place…
Donc, vous l’aurez compris, le quartier de l’Amphithéâtre est un quartier contemporain, moderne, audacieux qu'en devenir autour du Centre Pompidou-Metz. Il ne bouleversera pas les autres quartiers de Metz, ni le quartier Impérial, ni le centre ville historique, ni les berges de la Moselle. Il ne fera que compléter le patrimoine de Metz.
Voici que trois photos du quartier Impérial, celui autour de la Gare de Metz.
Indiscrétion : les 300 mètres de sa façade sont uniques en France.
Voici que trois photos de la place de Chambre au pied de la cathédrale Saint-Etienne.
Indiscrétion : le bâtiment aux airs de palais n'est que le dos du marché couvert.
Voici que trois photos des berges de la Moselle juste derrière la place de Chambre.
Indiscrétion : c'est l'un de mes cent endroits préférés dans le centre ville.
Voici que trois photos de la place des Charrons dans le quartier d’Outre-Seille.
Indiscrétion : c’est là qu’il y a là une boîte à lettres avec : Marc de Metz…
Voici que trois photos du quartier autour de l’Hôpital Sainte-Blandine.
Indiscrétion : le parc derrière les arcades est celui d'une résidence de retraite.
Voici que trois photos du centre ville tout près de la cathédrale de Metz
Indiscrétion : le palais royal du roi du royaume d'Austrasie était dans cette rue.
Voici que trois photos du quartier des Îles avec l’Opéra-Théâtre de Metz.
Indiscrétion : il est le plus ancien théâtre en activité de France (milieu du XVIIIe).
Voici que trois photos de bâtiments du centre ville commercial et historique.
Indiscrétion : il y en a des centaines d'autres et aucun ne m'appartient...
J’aime que Metz soit très fière de ses quartiers anciens sans se refuser le luxe de s’offrir un quartier neuf très moderne autour du Centre Pompidou-Metz. J’aime l’idée que ce nouveau quartier de l’Amphithéâtre soit appelé à devenir le quartier branché de la ville. J'aime l'idée que celles et ceux qui pourraient ne pas l’aimer puissent continuer à vivre dans le Metz d’aujourd’hui.
Le Centre Pompidou Metz n’a pas trois ans, la cathédrale Saint-Etienne a huit siècles, le quartier Impérial a cent ans et celui que nous habitons date du XIIIe siècle. Notre immeuble date du milieu du XVIIIe et Metz ne me connais que depuis 43 ans…
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Chaque année le divin enfant passe son premier réveillon dans une crèche...
Cette idée d’une photo par jour du Noël de Metz, m’est inspirée par l’origine du traditionnel calendrier de l’Avent. Il est né en Allemagne au XIXe siècle. Certaines familles protestantes, pour canaliser leur impatience avant Noël distribuaient alors, aux enfants, une image pieuse chaque matin entre le 1er et le 24 décembre.
C’est en 1920 qu’a été commercialisé le premier calendrier de l’Avent avec des petites portes ou fenêtres à ouvrir. En 1958 apparaissent les premières surprises en chocolat.
Noël c’est dans 4 jours…
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