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Pour donner à cet article un petit air « professionnel du tourisme », je vous glisse immédiatement sous ce nom, celui de « Gite du Vieux Prè » un lien vers le site de cette auberge où vient de séjourner une sacrée équipe. Elles se trouvent, l’équipe et l’auberge, ici en Lorraine. L’auberge est dans les contreforts des Vosges à Pierre-Percée au bord d’un lac de 305 hectares, la sacrée équipe vit en Moselle à et autour de Metz.
Bernard rentre d’un week-end entre Koh-Lanta et Pékin Express. Lui, victime involontaire d’un vertige vertigineux, n’a assuré courageusement que ce reportage photographique sans jamais une seconde avoir rompu le contact avec le sol de la splendide forêt de l’Aventure Parc au dessus du lac de Pierre-Percée en Meurthe et Moselle, à environ 130 kilomètres de Metz.
Avec sang-froid, Bernard a photographié les extraordinaires aventures aériennes de ses petites et petits camarades de week-end. Il a su capter une surprenante panoplie de leurs émotions, de leurs joies, de leurs peurs, de leurs parfois terreurs et aussi de leur fierté de l‘avoir fait…
Il est rentré à Metz fier de faire partie de ce groupe capable de se dépasser dans les arbres à des hauteurs considérables au travers de grands exploits jamais improvisés car toujours sous la surveillance de professionnels de l'accrobranches.
Ce balcon au dessus du lac scintillant à lui aussi son utilité… Si vous suivez le câble, celui qui part vers le fond de la photo à droite, vous aurez une idée déjà précise des 800 mètres de dénivelé que propose la tyrolienne de l'Aventure Parc.
Si j’ai bien compris les explications rapportées par Bernard, le câble du dessus est celui qui permet de glisser vers le bas sur 800 mètres. Il est bien connu que là où l'on va grâce à un câble détendu au dessus d'un vide il faut pouvoir en revenir… C’est le câble du dessous qui est celui du retour : c’est évident !
Il est temps que vous découvriez l’utilité de ce sublime balcon au dessus du lac Pierre-Percée. J’imagine qu’en deux photos, justement celles-ci, vous aurez compris qu’il est possible, facile presque naturel de s’y jeter dans le vide au bout d’un élastique, pas du genre chouchou de gamine effrontée ou pas, mais du genre élastique de survie. Il est à convenir que le paysage est époustouflant de beauté...
Pendant ce temps la joyeuse ou sérieuse équipe de funambules poursuivait sa lente et appliquée progression d’arbre en arbre au dessus de l’objectif du numérique de Bernard.
Sécurisée, sanglée, crochetée en permanence à des câbles de sécurité, solidaire elle se dépassait dans des efforts sans cesse renouvelés pour atteindre son but : survivre…
Il a de vrais airs de lac canadien ce « Pierre-Percé »alors qu’il n’est que lorrain et ne se situe qu'à une altitude de 387 mètres. Les gens du pays lui trouvent une forme en feuille d'érable.
Il est aux confins du département de la Meurthe et Moselle vers les Vosges. Je vous en laisse admirer la beauté, celle captée par Bernard au travers de ces quelques photos-cartes-postales.
C’est de là-haut que plongent dans le vide les sauteurs à l’élastique. A côté, les amateurs de tyrolienne débutent une traversée au dessus des flots pas déchaînés de cette immense étendue d’eau sur laquelle résonne parfois des hurlements d’effroi (je plaisante…).
Je dois vous rassurer : ces courageuses et courageux glisseurs sur câble sont tous de retour à Metz. C’est en tout cas ce que m’a affirmé Bernard en me montrant ses/ces photos. Il aurait été navrant qu’une chute déchire quelques secondes la merveilleuse surface plane de l’eau sage du lac.
Il est d’ailleurs recommandé à tous les visiteurs de Pierre-Percée de tout mettre en œuvre pour ne jamais attenter à l’harmonie, à la sérénité, à l’intégrité de ce site grandiose. J’ai lu ces recommandations sur le site de ce parc et même qu’il y est interdit d’y crier.
Voici l’une des trois « annexes » du Gite du Vieux Prè… Bernard est revenu absolument ravi de leur nuit sous une yourte. Le gite en propose trois à la location. Elles sont dorénavant installées à proximité de l'auberge mais très loin de la Mongolie.
Leurs occupants bénéficient depuis de ces commodités très commodes que sont les sanitaires, l’eau chaude pour la douche, les toilettes et la table d’hôtes au demeurant excellente comme l’aura été l’accueil du patron.
A la vue de ces photos, je trouve très commode ces petites commodes typiquement mongoles, ravissantes dans leurs belles couleurs. Je peux regretter n’être pas allé partager ces fabuleuses aventures, mais j’étais retenu à Metz pour aider des amis à déménager (bonjour Mireille du Sablon).
Pendant que Bernard avec ses copines et copains se la faisaient façon tribu mongole dans un campement de yourtes, moi je faisais le sherpa dans les escaliers de deux appartements du quartier du Sablon (bonjour Mireille du Sablon…). Je n’y ai pas vu le moindre bout de tyrolienne, personne n’a sauté à l’élastique depuis le balcon du nouvel appartement et nous n’avons pas eu de yaourts pendant la pause repas au demeurant délicieuse et revigorante...
Photos : Bernard de Metz.
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J’ai transporté la sueur au front
J’ai porté des dizaines de cartons
J’ai rempli d’objets un grand fourgon
J’ai été déménageur sans contrefaçon
J’ai fait passer des vies à une autre adresse
J’ai mis de côté mes nombreuses faiblesses
J’ai descendu des affaires avec belle hardiesse
J’ai après monté ces mêmes affaires sans allégresse
J’ai passé une longue journée dans les choses de leur vie
J’ai eu l’opportunité d’apprécier la disponibilité de leurs amis
J’ai eu des moments de doute quand la fatigue devenait ennemie
J’ai eu une journée que n’a pas aimé mon corps mais elle m’a ravi
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Depuis l’arrivée de Chronique, nous avons visité plusieurs expositions découvertes au fil de nos pérégrinations dans Metz : là c'était Michel Franck à la cathédrale de Metz avec des tableaux surprenants car très contemporains dans ce cadre séculier.
Pendant ce mois de juin, j'ai été peu présent sur ce blog. Je n'ai jamais trouvé le temps de répondre à vos commentaires. Je n'ai réussi qu'à trouver du temps pour publier des articles dont beaucoup étaient prêts d'avance.
Le plus souvent, j'ai travaillé et les fins d'après-midi et les week-ends, il a été naturel et agréable que je consacre du temps à notre amie en visite. Ce matin Chronique rentre en Normandie alors il va m'être possible de reprendre nos échanges et surtout de passer vous voir sur vos blogs, très vite.
Voici un petit aperçu de presque tout ce que nous avons fait et vu pendant ces quatre semaines qui viennent de passer à toute vitesse...
Nous avons beaucoup marché dans le centre-ville et nous nous sommes offert (souvent) quelques agréables et salutaires moments de repos grâce aux nombreuses terrasses de Metz. Celles de la place Saint-Jacques sont parmi nos préférées.
Il nous est aussi arrivé (souvent) de céder à une envie-besoin de frites croustillantes, et d’un délicieux sunday vanille déclenchée par la proximité de l’un de ces établissements de Metz dont nous deux apprécions la rapidité du service lorsqu'on a faim et soif…
Hors de question, impossible, impensable de ne pas aimer passer du temps dans les différentes expositions du Centre Pompidou-Metz. Nous aimons Chronique et moi y aller tous les deux et encore plus en compagnie de Mireille du Sablon où d'autres personnes.
Un jour, dans les Hauts de Sainte-Croix la porte de l’église des Trinitaires était ouverte, l’artiste exposant, Brice Nicolas était présent. Nous sommes rentrés pour découvrir ses tableaux. Ce fut un autre très beau moment dans cette exposition proposée dans cette église désaffecté. Elle sert de lieu d’exposition dans son cadre exceptionnel car elle est dans un état datant de quelques longues longues dizaines d’années. J’aime cet endroit unique à Metz.
Chronique comme moi adore passer de longs moments à proximité de la nouvelle fontaine de la place de la République. C’est là que nous avons vu quelques amusantes scènes car cette fontaine attire petits et grands et nous y avons fait beaucoup de photos qu'il me sera possible de vous montrer, les miennes, bientôt.
Chronique a souhaité se promener dans d'autres rues dans d'autres quartiers de Metz. Nous n’en manquons pas. Nous avons passé deux après midi dans celui de Queuleu.
Il est résidentiel et offre un magnifique aperçu de l’architecture allemande. C’est pendant l’annexion de Metz (1871-1918) qu’il a été l’objet d’une urbanisation visant à en faire un quartier capable de satisfaire ceux en besoin d’air pur et de verdure.
Oui, nous avons finalement passé beaucoup de temps autour de la nouvelle fontaine de la place de la République : le spectacle y est permanent, changeant, amusant et surtout très insolite en plein centre ville.
La visite du quartier de Queuleu implique de prendre de l’altitude puisque qu’il a été construit sur une colline qui était plantée depuis des siècles de vignes. Certaines de ses rues sont très rudes et j’ai fait passer Chronique par la plus pentue de toutes : la rue Baudoche.
De temps en temps, bravant « l’interdiction » de Chronique de la prendre en photo, j’ai réussi à lui tirer (de force) « le portrait ». Là sur la place de la République au milieu des jeux installés pour amuser les petits et aussi les grands (document-photo exceptionnel), elle est venue me photographier : j’ai fait alors de même de l'autre côté de ce tube d'eau…
Toujours dans le souci de « prouver » à Chronique que Metz ce n’était pas que les rues de son centre-ville historique, je l’ai emmenée découvrir d’autres rues très résidentielles du quartier Nouvelle Ville. Il se trouve à proximité du canal de la Moselle et du quartier Impérial. Son urbanisation date elle aussi de l’époque de l’annexion par les allemands de Metz. Nous y avons fait des dizaines de photo chacun...
Nous venions cet après-midi là de quitter le parc de la Seille, pour monter dans Queuleu. Cette partie de ce quartier domine le Centre Pompidou-Metz dont le toit se détachait alors parfaitement sous un ciel menaçant.
Nous sommes rentrés de cette première promenade trempés par des trombes d’eau malgré mon parapluie. Ce qui a été détestable sur le moment est déjà l’un de nos « bons » souvenirs…
Chaque promenade est le prétexte à faire des dizaines de photos, parfois des centaines. Les heures passent alors très vite. Nous avons institué un jeu : celui qui nous permet à chaque retour de comparer les photos que nous venons de faire : Chronique s’accorde toujours le temps nécessaire pour faire ses photos pendant que je fais les miennes en la surveillant pour ne pas qu’elle se perde… Je taquine !
A l’Arsenal, nous avons découvert une suite à l’exposition « L’art dans les jardins » avec là d’autres œuvres de l’artiste Cyrille André. Cet été il est exposé dans trois sites différents.
Nous partageons Chronique et moi le goût des expositions « ouvertes », celles que l’on peut découvrir en se promenant dans Metz. Elles sont à chaque fois pour nous deux de très beaux moments passés en compagnie des oeuvres d’un artiste.
De nos longues promenades, nous ne rentrons qu’au moment où l’ombre envahit Metz, après des heures passées à la photographier. La lumière permet alors de faire des photos différentes comme là sur la place Saint-Louis qui est très très très souvent sur notre itinéraire de retour.
Un autre document exceptionnel, lui aussi « volé » comme tous ceux qui « montrent » Chronique-photographe-de-Metz. La gestuelle est professionnelle de plus en plus. Le cadrage l’est aussi, le résultat l’est aussi au bout de quelques milliers de photos et sans aucun doute avant d'autres milliers de photos à venir lors d'un prochain séjour lorrain.
Nous avons aussi longé à nouveau la Moselle, ses quais, ses berges, ses promenades et cela aussi c’est fait au rythme des photos que nous avons faites sans aucune modération…
Chronique adore de plus en plus se promener dans Metz car elle sait maintenant s’y situer et comprendre comment « fonctionne » la ville.Heureusement que depuis le 1er juillet ce n'est pas un phototest qui est devenu obligatoire car nous le ferions exploser à chaque fois...
Nos bus sont porteurs de maximes, de citations et Chronique les a adorés. J’ai du redouter de surveillance pour ne pas qu’elle s’approche parfois trop près d’eux.
Je vous rassure, les bus et Chronique vont bien. Comme ils circulent dans tout Metz j’ai du attendre souvent que la photo parfaite soit considérée avoir été faite. C'est méchant un bus qui repart avant que la mise au point d'une photo soit faite…
Tout ralentit nos promenades, car nous aimons tout photographier. Heureusement que le numérique permet cette liberté car autrement nous devrions choisir chaque photo.
Cette longue fontaine est difficile à photographier mais nous avons appris à aimer les défis et nous nous défions souvent à coup de photos. Ce jeu rend chaque promenade très ludique et plus particulièrement le "après-retour"…
Bien entendu, nous ne sommes pas toujours au même endroit à faire les mêmes photos et il m’arrive de chercher Chronique avant que je ne la retrouve, comme cette fois-là, au pied du temple protestant du quartier de Queuleu qu’elle était en train de découvrir : lors de ses premiers séjours je ne la quittais jamais des yeux pour ne pas qu’elle se perde. Metz a un tiers de la superficie de Paris…
L’eau est très présente dans le centre-ville de Metz et lorsqu’il fait très chaud, c’est au bord du canal de Jouy que nous aimons passer un moment. C’est là que se trouvent quelques péniches-habitation dont celle-ci. C'est un gîte très confortable et dépaysant pour les touristes.
Dans l’une des rues du quartier de Queuleu, la seconde fois que nous y sommes allés après que nous nous y soyons retrouvés trempés par des pluies torrentielles lors de notre première visite. Je savais que nous pouvions y passer des heures à y faire des photos et c’est bien ce que nous avons fait sous un ciel bien plus clément…
Au bord de la Moselle, le long des remparts, c’est aussi une autre de nos promenades lorsque le soleil est au rendez-vous. Il nous donne alors envie de passer du temps au bord de l’eau avant de rentrer dans les rues du centre-ville. Chronique me précède souvent lorsque, sans qu’elle ne le sache, je teste ainsi sa connaissance de Metz en la laissant partir en avant.
Il est rare que nous décidions de ce que nous allons faire. Nous préférons partir le plus souvent sans itinéraire établi d’avance et nous aimons improviser en fonction du temps qu’il fait et aussi du temps que nous avons devant nous. Chronique est dorénavant capable d’avoir envie de revoir un endroit et même de deviner qu’il y a encore des rues, des places, des parcs, plus loin ou à proximité…
La « ville » est là en permanence à côté de ce canal de Jouy. Lorsque nous venons d’y passer des heures sous le soleil pour y faire des photos, le canal et le plan d’eau nous attire toujours. Nous savons que nous y trouverons de l’ombre, du calme et une douceur toute bucolique. Nous y faisons toujours d’autres photos.
Pendant que beaucoup font le métier de touristes, nous deux faisons celui de photographes-amateurs-passionnés. Il nous arrive très souvent de nous attarder longuement sur ces sites très touristiques. L’ambiance y est estivale et nous aimons la partager ici en plein centre-ville.
Les animations de rues sont à Metz permanentes et lorsque nous sommes à l’endroit où se donne en spectacle un groupe médiéval de musiciens et de danseuses allemands, là encore nous nous attardons avec plaisir et nous faisons d’autres photos.
Tout est pour nous propice à nous émerveiller, à nous faire faire des photos, à prendre le temps d’apprécier et cela prend du temps…
Autour de Metz il y a un département composé de 730 communes et il nous arrive aussi de partir à leur découverte. Cette fois-là, j’ai été découvrir un village ici très réputé en compagnie de Chronique.
J’ai du passer une bonne centaine de fois près de Marsal sans jamais avoir eu le temps d’en voir plus que son panneau routier… Nous y avons passé un très agréable moment. Je le partagerai bientôt avec vous grâce à quelques photos.
J’étais déjà allé à Vic-sur-Seille, mais sans jamais avoir pris le temps de me promener dans le reste du village, ne l'ayant fait que les rues autour de la place centrale.
Avec Chronique nous nous y sommes promenés ravis de photographier quelques très très belles trouvailles architecturales. Là encore d’autres photos qu’il me faudra bien réussir à vous montrer d’ici quelques semaines.
Impossible de me souvenir de ce qui peut avoir tant fait rire Chronique dans une rue de Vic-sur-Seille. Il est vrai que ce sont des centaines de scènes identiques que j’ai déjà partagées avec elle depuis que je la connais et que nous passons des centaines d’heures à nous promener tous les deux…
Dans la cour du Musée du sel de Marsal il y a ce miroir. Il me permet de partager un autre document photographie exceptionnel : Chronique et moi sommes sur la même photo…
Elle est seule sur la photo suivante prise elle aussi à Marsal. D’autres photos me permettront d’ici bientôt de vous faire partager plus de cette visite d’un beau village mosellan à une cinquantaine de kilomètres de Metz.
Le Centre Pompidou-Metz est là tout près de notre domicile et nous y passons du temps car Chronique et moi ne nous lassons ni de son architecture ni de ce qu’il présente dans ses expositions. Nous sommes aussi passionnés par le quartier qui sort de terre autout de lui…
Comme des milliers d’autres personnes, je détiens le pass d’accès. Il me permet toute l'année d’être accompagné par un(e) invité(e) à chacune de mes visites.
Nous sommes de plus en plus téméraires tous les deux pour aller prendre des photos. Partout nous sortons des sentiers battus et c’est cette audace qui nous permet de nous séparer quelques minutes et de nous retrouver ensuite en ayant fait chacun de notre côté des photos…
Nous nous promenions le long de la Seille, lorsque nous avons pu photographier une scène totalement inattendue. Il y avait des dizaines de militaires en train de jouer à qui était le plus fort, le plus habile, le plus sportif.
J’ai affirmé à Chronique que j’avais organisé cette autre animation estivale pour la surprendre tout en lui rappelant le passé très militaire de Metz. Je me rappelle qu’il ne faisait pas chaud et que nous n’avons pas un instant envié ces jeunes gens en kaki qui étaient tous trempés.
Il y a aussi eu les journées portes-ouvertes des installations du nouveau Centre Hospitalier Régional de Metz-Thionville, l'Hôpital de Mercy. Ce fut l’occasion de découvrir une partie de cet immense et surprenant nouveau centre hospitalier. Il recevra ses premiers patients cet automne.
Tous les hôpitaux de Metz quittent le centre-ville. Ils sont réunis sur deux sites, chacun à la sortie de Metz. Celui de Mercy doit son nom au château de Mercy que nous découvrons nous les gens de Metz de près pour la première fois. Il a été propriété de l’armée durant des décennies et interdit aux civils.
Bien entendu nous sommes revenus de cette incroyable visite avec des dizaines de photos. Elles feront l’objet d’articles très vite.
C’est de ce parking, près de notre domicile que nous sommes partis pour chacune de virées autour de Metz.
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A Metz, en bas de la rue de la Tête d’Or sur la place Saint-Louis il y a ces trois petites têtes au dessus d'une arcade. Elles sont gallo-romaines et encastrées dans le mur d’un immeuble du Moyen-âge.
Il serait si simple que le nom de cette rue vienne de la présence de la petite tête centrale couleur or. Il n’en est rien... Son nom lui vient de l’hostellerie de la Tête d’or établie dans cette rue dès le 14e siècle. En plus les trois têtes sont recouvertes d’une couleur or. Hors, la rue ne s’appelle pas rue des Têtes d’or…
C’est peut-être en 1809, lorsque la rue a été considérablement élargie à proximité de la place Saint-Louis que ces trois têtes ont été encastrées.
Elles le sont peut-être depuis 1749 lorsque cette portion de la rue a été percée pour créer un accès direct sur la place Saint-Louis qui elle date du 13e siècle.
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Nous les côtoyons tous les jours
Nous les utilisons en permanence
Elles sont présentes partout toujours
Nous les occupons par intermittence
Ces sièges ne sont pas ceux de l'Est
J'ai fait ces photos à Toulon
Ce sont les bancs chaises et sièges de leurs vies
Très facile de ne pas les manquer ils sont partout
Je vous invite à les découvrir dans leur poésie ensoleillée
Celle que je leur trouve quand ils sont ici ou ailleurs vides de nous...
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Je ne me réconcilie plus jamais :
après que j’ai accepté une rupture en amitié !
Je ne reviens plus jamais en arrière :
cela me protège et surtout protège les autres.
J’ai découvert les rencontres virtuelles sur nos blogs.
J’ai découvert qu’elles peuvent vouloir devenir amicales.
J’ai découvert qu’elles peuvent vouloir devenir amitié.
J’ai accepté de prolonger des mots écrits par des mots parlés.
J’ai accepté de prolonger des mots parlés par des rencontres.
Je suis heureux que certaines aient débouché sur des années d’amitié.
Je suis soulagé délivré et rassuré que d’autres n’aient pas survécues.
J’ai découvert que ces fausses amitiés peuvent déraper déranger envahir exiger.
J’ai découvert qu’elles peuvent passer de l’amitié à la haine en quelques mots.
J’ai découvert qu’elles engendrent de la méchanceté de la violence de la haine.
Je retiens celles qui me font aimer nous rencontrer sans rien exiger de l’autre.
Je retiens celles qui me font aimer être complices dans le respect de chacun.
Je retiens celles qui me font être heureux de nous connaître de nous apprécier.
Je retiens celles qui savent ne pas envahir ma vie de trop de présence imposée.
Elles sont rares et précieuses et j’aime y être bienvenu impliqué apprécié.
Elles sont rares et j’aime les vivre sans devoir me déconstruire.
Elles sont rares et c’est bien cela qui me les rend magiques...
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