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Alors qu’en Asie, le mandala est un support sacré pour adresser une prière à Dieu, en occident c’est considéré comme un porte-bonheur porteur d'un message surtout de paix. C’est aussi un message de réconfort, c’est encore le vœu d’un mieux, d’un meilleur pour celles et ceux qui sont dans la peine, dans la tristesse, dans la peur.
Je vous offre ce mandala de juillet avec amitié. Il est pour chacune et chacun de vous. Inscrit autour d’un cercle symbolisant les terres entourées d’un océan ou d’une mer, ces lieux pour nous de vacances. Ils me font rêver encore plus cette année car dans nos villes, dans nos campagnes et nos montagnes l’été n’est pas tous les jours au rendez-vous. J’ai envie d’ici, de l’Est d’émotions océanes introuvables dans cette Lorraine pourtant si belle.
Ci-dessous, voici l’une des nombreuses étapes de la création de ce nouveau mandala, celui de ce juillet qui je nous le souhaite finira par nous mettre dans un très bel été partout en France.
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Formidable : la météo prévoyait une journée exécrable : il a fait beau, très beau, mais avant et après l’arrivée, pas à ce moment là tant attendu par plus de 50 000 personnes. J’ai passé deux heures dans la folie d’une arrivée d’étape du Tour de France. J’y suis arrivé en passant derrière le Centre Pompidou-Metz pour arriver au parc de la Seille où j’ai découvert les incroyables installations pour la presse, pour les invités, les personnalités et les équipes techniques qui encadrent et assistent les coureurs.
Modeste, je n’ai eu immédiatement que la prétention de faire des photos de ce qui se passe autour du Tour pendant les deux heures qui précèdent l’arrivée des meilleurs de l’étape, des plus rapides de la même étape, c’est mieux mieux lorsque ce sont les mêmes… des chanceux aussi. Je me suis donc glissé de force entre les milliers de spectateurs qui m’avaient devancé sur le site de cette arrivée. Je peux vous dire que c’était du sport que d’arriver à avancer à pied.
J’ai dépassé l’un des immenses écrans de télévision et j’ai eu le temps de faire cette photo de l’arrière de ce dispositif impressionnant. J’étais poussé par une foule dense loin de la ligne d’arrivée. Bien entendu, je n’ai pas vu le moindre centimètre de barrière de libre pour y prendre appui et y faire des photos. !
Non, je n’ai pas pris en photo la totalité de la caravane publicitaire car vous auriez eu plus de 130 photos : c’est le nombre des différentes sociétés et entreprises qui la composent cette année. J’ai préféré faire des photos de ces personnes qui comme moi étaient là pour être là, pour participer à cet évènement, pour pourvoir en parler aux autres, pour y faire des photos, pour y ramasser ce qui était jeté des véhicules et accessoirement pour y attendre le peloton.
J’avais réussi à me poser dans une position instable à flanc de butte, celle de la voie SNCF. J’étais en hauteur, j’avais planté mes talons dans l’herbe glissante, j’avais vérifié que des policiers, des vigiles, des agents de sécurité de la ville étaient à proximité pour me porter secours si je devais basculer dans le vide et j’ai pu faire ces photos en attendant le peloton.
Je sais maintenant comment nous sont fournies ces images exceptionnelles des grands événements sportifs. Sympa ce grutier-caméraman de m’offrir le spectacle de son installation dans les airs juste devant moi. Pendant qu’il était en totale sécurité dans sa nacelle, je risquais ma vie immobile au maximum près de la crête de la butte de la voie ferrée. Je me retenais à mon appareil numérique…
Mes voisins d’instabilité étaient allemands : remarquez de quelle façon le mari assurait la sécurité de sa femme au moment de l’arrivée des premiers. Cette photo donne une petite idée de la hauteur de laquelle j’ai réussi à faire ces photos. Je pense à vous rassurer : j’ai survécu puisque je suis en train d’écrire ces commentaires sous ces photos, il était temps que je vous le précise.
Moins de cinq minutes après l’arrivée des premiers coureurs, le temps a instantanément changé. Il a fait très sombre, la pluie s’est mise à tomber, des milliers de personnes ont été mouillées en courant, les femmes et les enfants en avant.
J’ai calmement sorti mon parapluie de mon sac à dos pour rejoindre prestement le Centre Pompidou-Metz et y trouver refuge sous son immense toit blanc. Comme je n’étais qu’à moins de dix minutes à pied de notre domicile, dès que la pluie s’est calmée, je suis rentré.
A cinquante mètre de notre appartement, le soleil était revenu. Le ciel noir lourd de pluie s’en allait vers l’est. Derrière moi, sous un engin de chantier, au dessus de la voie de chemin de fer, le toit du Centre Pompidou-Metz brillait à nouveau au soleil.
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Vendredi c’est entre jeudi et samedi
Dimdi ce n’est pas entre samedi et lundi
Vendredi ce n’est pas entre mardi et mercredi
Dimdi c’est toujours notre dimanche
Samedi ne se dit pas samedanche
Lundi ne se dit pas lundanche
Avec mardanche interdit de faire des vers
Des mots je sais faire usages divers
Mais sans oser les mettre à l’envers
Vendredi veille le samedi
Dimanche est l’ami du samedi
Lundi dit à demain au mardi
Mardi convoque le mercredi
Mercredi saute dans le jeudi
Jeudi appelle le vendredi
Je n’ai aucun jour préféré
Ceux qui ne sont pas travaillés
J'aime m'y savoir en liberté
J’ai des semaines préférées
Elles sont en été...
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L'exposition TUTTI QUANTI, jusqu'au 23 septembre 2012 à l'Abbaye des Prémontrés de Pont-à-Mousson, permet à deux artistes de présenter leurs œuvres. GARY est peintre et crée des totems. Gé PELLINI, comme GARY originaire de Nancy, est un sculpteur de renommée internationale.
Gé PELLINI dit de son travail : « mes sculptures représentent souvent l'animal et plus particulièrement les bêtes à cornes. Ces êtres me fascinent et, qu'ils soient taureaux, rhinocéros, ou autres cornus, ils m'incitent à la création... ».
Ses sculptures, petites ou monumentales, sont réalisées dans des matériaux aussi divers que la pierre, le bronze, le marbre, l'aluminium ou les résines.
Pour l’exposition TUTTI QUANTI plusieurs de ses sculptures ont été mises en peinture par GARY. Elles sont exposées dans le cloitre de l’abbaye, éclatantes de couleurs.
Exposition ouverte tous les jours de 10h à 18h, sauf le mardi.
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Merci Chronique d’avoir fait ces très belles photos dimanche dernier.
Elles me permettent de partager des informations très importantes pour Metz.
Je les ai complétées pour qu’aucune bonde de Metz ne rate l’évènement...
Je sais, je suis formidable ! Impossible de me refaire, c’est bien trop « en moi.
En moi : cette gentillesse envers les blondes que j'adore...
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