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Je me suis retrouvé dans ses rues et ruelles pittoresques.
Je m’y suis promené entre les étals des videurs de grenier.
Je m’y suis retrouvé aventureux et curieux de leurs trésors
Je m’y suis promené entre les passionnés de ces brocantes.
J’y ai vécu avec Bernadette et sa famille une belle rencontre.
Je l’ai photographiée assise un ouvrage à broder sur les genoux.
Je l’ai photographiée à son insu de plus loin sourire aux lèvres.
Je me suis ensuite introduit dans l’église pour la photographier.
Je me suis retrouvé attendu dans le jardin de Brunon de Gorze.
J’y ai bu un excellent café et photographié les fleurs de son jardin.
Je me suis retrouvé en sa compagnie autour de l’étang de la Folie.
Puis ravi d’avoir vu la brocante du muguet je suis rentré à Metz
Derrière moi j’ai laissé Gorze avec la promesse d’y revenir vite.
C’était juste un autre beau dimanche dans un pays mosellan.
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28 commentaires -
Un jour une photo
Un de mes « Vu à Metz ».
Publié pour devenir un clin d’œil.
Avec vous aujourd’hui je le partage.
Il est l’image d’un instant de vie à Metz.
Invitation à partager une ou dix émotions.
Je n'ai jamais aimé être mené à la baguette par personne.
J'ai toujours aimé la cuisine vietnamienne dès mon enfance.
Il manque sur cette photo un élément indispensable : lequel ?
12 commentaires -
J’ai lu qu’il faudrait lui tenir rigueur de rien
Que personne à sa place n’avait jamais fait mieux
J’ai lu encore qu’il faut lui laisser faire son bien
Qu’en cela personne n’avait été aussi talentueux
J’ai lu qu’il est lassant pour certains de le savoir fautif
Que sa personne ne devait plus être incriminée toujours
J’ai lu qu’il n’est pas responsable du marasme collectif
Qu’en cela c’est de l’idiotie de l’en accabler sans recours
J’ai lu cela et j’accorde la légitimité de le croire et prétendre
Que personne à l’inverse n’ose m’empêcher de dire contraire
Je ne vois jamais la France depuis lui réussir à se détendre
Qu’en ce constat personne n’ait prétention de me distraire
Ses réformes induisent colère et désapprobation
Que personne n’ose m’affirmer qu’il n’est pas responsable
Je sais ma société lui devoir moult navrantes décisions
Sa politique nous basculent tous dans un lamentable
J’ai lu qu’il n’est responsable de rien lui le cacique
J’ai lu qu’il fallait respecter sa personne et ses choix
J’ai lu mais cela ne change en rien mes droits civiques
Par eux je vais moi sanctionner celui qui n’était pas roi
20 commentaires -
Is vuos pvueoz lrie ccei, vuos aevz asusi un dôrle de cvereau. Puveoz-vuos lrie ccei cmome seleuemnt 56 porsnenes sur cnet en snot cpalabes ?
Je n'en cyoaris pas mes yuex que je sios cabaple de cerndrompe ce que je liasis et de lrie asusi vtie qh’uabutilelmenet snas me fitiguaer et snas hiséter.
Le povuoir phoémanénl du crveeau huamin est sarpunrent.
Soeln une rcheerche fiate à l'Unievristé de Cmabridge, il n'y a acunue iromtpance dnas l'odrre dnas luqeel les lerttes snot pélecas.
La suele cohse idinspanseble c’set que la priremère et la derènire letrte du mot siot cachune à la bnone palce. La raoisn est que le ceverau hmauin ne lit pas les mtos par letrte mias ptuôlt cmome un tuot, galobelment.
Étanonnt n'set-ce pas?
Et moi qui ai tujoours psneé que svaoir élpeer éatit ipomratnt !
Vuos en pesenz qoui ?
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Nous les côtoyons tous les jours
Nous les utilisons en permanence
Elles sont présentes partout toujours
Nous les occupons par intermittence
Ce sont les chaises et sièges de nos vies ici
Facile de ne pas les manquer ils sont partout
Je vous invite à les découvrir dans leur poésie
Celle que je leur trouve quand ils sont vides de nous…
Pour voir ou revoir : Chaises et sièges d’ici / 6…
26 commentaires -
Peine dans une solitude conversée en bleu nuit
Cœur écritoire pour dissiper de toi mon ennui
Mes heures tardives sont naufragées de ton amour
De toi absente je me sais être en perpétuel débours
Dans l’encrier de mes erreurs je plonge une plume
Pour ne pas pleurer une inutile cigarette je fume
Dans vie sans toi dans mes angoisses je suis perdu
Mes nuits sont toujours vides de toi jamais revenue
Des mots jamais écrits par orgueil me torturent
Je rêve d’un encrier magique pour servir mon écriture
J’y tremperai une plume et je tracerai des lettres
Messagères de cet amour que je peux te promettre
La nuit solitaire je suis écrivain sans aucun espoir
Misérable lecteur d’un chapitre taché de désespoir
Je suis coupable de ne pas avoir partagé tes rêves
Ignorant que je me condamnais à une peine sans trêve
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