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Un jour une photo
Un de mes « Vu à Metz ».
Publié pour devenir un clin d’œil.
Avec vous aujourd’hui je le partage.
Il est l’image d’un instant de vie à Metz.
Invitation à partager une ou dix émotions.
Un cycliste solitaire affronte le plat avec détermination .
Aucun chantier de Metz ne lui construira un col du Galibier...
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Baiser prélude d’une conversation entre amoureux
Amoureux complices dans intemporel langage
Langage intime sensuel érotique suggéré à l’autre
L’autre dans sensations exquises partage ce dialogue
Dialogue sans mots pour n’y servir que le bonheur
Bonheur de converser avec l’amour dans un baiser
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Au cœur d’un réveillon tout en bonheur
Entre des compagnons en gourmandises
Ceci nous avons dégusté en douceur
Exceptionnelles fêtes avec friandises
Nous sommes chanceux dans nos vies
Nous y dégustons desserts somptueux
Merveilleux partage de nos belles envies
Conclusion de nos moments ici heureux
En certitude de votre odieuse frustration
Je vous en conjure pardon accordez-moi
Saveurs racontées par moi avec passion
Nous seuls étions accablès d’exquis émois
Mille saveurs dans ces délicieux desserts glacés
Nos repas de fêtes y trouvent parfois conclusion
Fin d’une soirée parfaitement mise en beauté
FRESSON Metz s'est invité dans nos émotions
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J’ai encore trafiqué quatre photos !
Mais que m’arrive t-il ?
Pourquoi m’en prendre à tant de mes photos ?
Me faut-il envisager de consulter un photologue…
En attendant, voici le résultat de quelques manipulations.
Dire qu’au départ je n’avais photographié que le ciel de Metz…
Parfois, j’ai peur de devenir photopathe…
Impossible pourtant de m’arrêter !
En fin d’article vous trouverez mes victimes.
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Ces mots sont écrits sous la forme d’un tanka.
Cette écriture trouve son inspiration au Japon.
Mise en scène pour des émotions partagées.
Mots offerts à qui aime les lire avec le cœur.
Mots traduction d’une pensée ou réflexion.
Au départ de Metz mots pour des ailleurs.
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La lutte contre le racisme doit être un réflexe quotidien. Notre vigilance ne doit jamais baisser. Il faut commencer par donner l’exemple et faire attention aux mots qu’on utilise. Les mots sont dangereux.
Certains sont employés pour blesser et humilier, pour nourrir la méfiance et même la haine. D’autres sont détournés de leur sens profond et alimentent des intentions de hiérarchie et de discrimination.
D’autres sont beaux et heureux. Il faut renoncer aux idées toutes faites, à certains dictons et proverbes qui vont dans le sens de la généralisation et par conséquent du racisme.
Il faudra arriver à éliminer de ton vocabulaire des expressions porteuses d’idées fausses et pernicieuses. La lutte contre le racisme commence avec le travail sur le langage…
Le racisme expliqué à ma fille.
Tahar Ben Jelloun.
Editions du Seuil.
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