Pour aller voir le Doubs et ses quais, nous avons emprunté la très commerçante rue des Granges. Parallèle à la Grande rue, elle communique avec elle par une multitude de rues perpendiculaires.

 

 

 

C'est en limitant encore ce quatrième article à vingt-sept autres photos, que je vous propose de continuer, en ma compagnie, cette première promenade dans la partie la plus ancienne de Besançon.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Place de la Révolution, sur la façade du Musée des Beaux-Arts et d’Archéologie, un pendule-horloge égrène le temps qui reste avant la date du 11 décembre 2011. C’est le jour prévu pour l’inauguration de la ligne LGV Rhin-Rhône qui desservira Besançon.

 

 

 

 

 

 

La grande fontaine de la place de la Révolution que les bisontins appellent encore la place du Marché. Je ne me suis pas interdit de lui trouver la même couleur que celle de la pierre de Jaumont de Metz...  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Si là encore je devais m’être laissé aller, ce sont des centaines de photos que j’aurais prises de cette place de la révolution. Mais, nous voulions aller au bord du Doubs, alors je me suis à nouveau raisonné en ne faisant que ces quelques photos de ce coin si pittoresque.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vu du pont Battant, celui reconstruit en 1953, voici le Doubs. Je lui trouve avoir la même couleur que celle de la Moselle à Metz. La photo suivante est celle faite simplement en me retournant.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sur la rive gauche du Doubs, quai Vauban, un ensemble architectural monumental composé de maisons à arcades. Il a été construit de 1692 à 1695. La ville historique est derrière ces immeubles.

 

 

 

 

 

Sur la rive droite, la statue de l’inventeur Claude François Jouffroy d'Abbans. Il a construit et fait naviguer sur le Doubs, pour la première fois « Le Palmipède » un bateau à vapeur. Il est debout face au Doubs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’église sainte-Madeleine a été construite sur une période de vingt ans : de 1746 à 1766. Ses deux tours ont été érigées en 1828. Elles forment un bel ensemble avec son imposante façade classique.

 

 

 

 

 

Vu du quai de Strasbourg, le quai Vauban et le dessous du pont Battant qui semble être un lieu de détente apprécié au bord de l’eau douce du Doubs.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Sous le pont Battant.

 

 

 

 

 

Sur le pont Battant.

 

 

 

 

 

Les premières façades du quartier Battant autour de l’église Sainte-Madeleine.

 

 

 

 

 

 

 

 

D’autres façades très typiques.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

La place Pasteur sur laquelle donne l'immeuble où est né Tristan Bernard en 1866, romancier et auteur dramatique français décédé à Paris en 1947. Personnage célèbre pour ses mots d’esprit, il lui est attribué l’invention du jeu des petits chevaux. Le vrai nom de cet homme de lettres est Paul Bernard.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un clic ici pour voir ou revoir : Besançon / Franche-Comté / 3...

 

A très vite pour la fin de cette découverte de Besançon…

 

 

 

 

 

 

 

   

Juste :

pour voyager en été

pour découvrir

pour admirer

pour être dépaysé

pour faire semblant d’être en vacances…

Ce matin : Balazuc (Ardèche) 

 

Photos de Bernard de Metz

 

 

 

     

  

 

 

Juste quelques mots sur une photo

Des mots pour traduire des émotions

Sur une photo en harmonie avec ces mots

Un quinzkû s’écrit toujours avec le cœur

Ciel d'automne en Ardèche / Photo de Bernard...

Le quinzkû est une variante de l’haïku et du senryû japonais.

C’est un petit texte poétique écrit avec le cœur.

Un quinzkû ne doit pas dépasser quinze syllabes.

Il est toujours écrit sur trois lignes.

Chaque ligne se lit en cinq syllabes.

Il décrit des émotions heureuses ou malheureuses.

Un quinzkû ne s’écrit pas en vers.

 

 

Je dédie ce cinquième quinzkû à mon amie Domajj.

Domajj est l'inspiratrice de cette forme d’écriture poétique.

Mon amie m’a écrit un beau poème qu'en quinze syllabes.

J’ai alors baptisé cette forme de poésie un « quinzkû »…

 

   

 

 

A partir d’une de mes photos.

Avoir envie de la traduire en tableau…

La mettre alors dans d’autres couleurs.

Pour qu’elle invite dans un voyage personnel.

Une autre façon de raconter ma passion des couleurs…

La photo originale est celle que je vous présente ci-dessous.

Une vieille poignée de porte élégante des ses couleurs paufinées...

 

 

    

   

     

 

 

 

 

 

 

 

 

   

Juste :

pour voyager en été

pour découvrir

pour admirer

pour être dépaysé

pour faire semblant d’être en vacances…

Ce matin : petite régate à Etretat (Seine-Maritime) 

 

Photos de Bernard de Metz

 

 

   

    

  

 

 

 

 

 

 

A Metz

De vielles affichettes

Se la jouent en œuvre d’art

L’œil expert du passant

Se réjouit en silence de rêverie

La vie de la ville s’expose

Rue galerie clandestine

Quand l’art urbain est dans l’œil

Les pieds risquent le pire

Prudence

Parfois à Metz

Les chiens crottent la ville