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Après avoir vu les quais, je m’en suis retourné dans ces rues que je n’avais pas assez photographiées… J’étais alors frustré. Voici la fin de cette promenade à laquelle je n’accorde toujours que vingt-sept dernières photos.
Habituellement, ces rues sont envahies par les voitures. J’ai eu la chance de découvrir cette belle ville un lendemain de 14 juillet vidé de cette bruyante présence. J’ai aimé cette opportunité car je suis habitué à vivre dans un centre ville entièrement piétonnier ici à Metz.
Lever la tête, partout, dans toutes les villes, c’est y voir de très belles « choses ». Besançon est aussi une ville à visiter la tête en l’air.
Je me suis retrouvé, pas par hasard mais quelques pas plus tard… sur la place de la Révolution car la concernant j’étais aussi en déficit de photos.
Revenu ensuite place Pasteur, j’ai alors aperçu de loin le splendide Petit Hôtel de Chassignet (XVIe siècle). Il nous indiquait que nous étions sur la bonne route pour rejoindre la voiture.
Repasser plusieurs fois par les mêmes rues et places dans une ville que je découvre me donne le sentiment d’être « familiarisé » avec elle et je ne la regarde alors déjà plus de la même façon. J’aime ressentir cela.
Voici le monumental portail (XVIIIe siècle) de l’Hôtel de Montmartin. Ancien hôtel particulier bisontin, annexe de l’hôpital Saint-Jacques, il héberge son administration.
Cette coupole vernissée est celle de l’église Notre Dame du Foyer construite de 1739 à 1745. Depuis 1802 elle est rattachée à l’Hôpital Saint-Jacques. Elle culmine à une hauteur de 26 mètres. Cette église porte aussi le nom de Chapelle du Refuge,
Sur le parvis des Droits de l’Homme, devant la mairie, la statue de Victor Hugo né à Besançon en 1802 et décédé à Paris en 1885. Personne ne peut ignorer qu’il a été une personnalité politique de première importante et un intellectuel engagé en plus d’être l’un des plus importants écrivains de langue française.
Un clic ici pour voir ou revoir : Besançon / Franche-Comté / 4...
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Juste :
pour voyager en été
pour découvrir
pour admirer
pour être dépaysé
pour faire semblant d’être en vacances…
Ce matin : Saint Germer de Fly (Oise)
Photos de Bernard de Metz
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Je pense donc j’existe
Envers et contre moi envers et contre elles
Penser à vous quand j'étais malheureux
C’était me priver de forces pour vivre
Pour être heureux pour aimer la vie
Pour être aimer par la vie
Ces pensées étaitent malvenues
Elles mettaient mon cœur en lambeaux
Ces réflexions étaient mes ennemies
Alors je dois je veux il faut
Refuser souffrances des passés dans présent
Je pense donc j’existe
Envers et contre moi envers et contre vous
Alors il faut je veux je dois
Penser que pour n'être qu'heureux
Je me suis rendu des forces
Pour vivre pour être heureux
Pour aimer la vie pour être aimer par la vie
Mes pensées sont depuis les bienvenues
Elles me mettent le cœur en habits de soirée
Ma réflexion intime est redevenue mon amie
Je laisse les passés dans le présent libérer le futur
Je pense sans souffrir donc j’existe sans vous
Envers et contre moi envers et contre vous
Heureux car désengagé libéré serein apaisé
J'écris pour mettre en ordre mes pensées
Pour raconter que je suis au-delà d'avant
J’écris donc j’existe
Envers et contre moi envers et contre elles
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Juste :
pour voyager en été
pour découvrir
pour admirer
pour être dépaysé
pour faire semblant d’être en vacances…
Ce matin : Vianden (Grand Duché du Luxembourg)
Photos de Bernard de Metz
18 commentaires -
Je suis passager de vies mises en mots
Je suis passager de vies rarement parfaites
Je suis passager de vies encore inconnues
J’aime jouer souvent avec vous à lire-vos-mots
Je commence par un votre premier dans une phrase
Je laisse ensuite mon regard passer à votre suivante
Je trouve après un point pour en accepter la fin arrivée
Je virgule ma vie dans les vôtres
Je m’invite dans vos lignes géométrie de passé
Je m‘invite dans vos lignes géométrie de présent
Je m’invite dans vos lignes géométrie d’avenir
Je majuscule pour en débuter une nouvelle
Je reviens en arrière quand je veux vous relire
Je file en avant quand je veux la suite de vos mots
Je saute les lignes blanches en frontière d’émotions
Je virgule vos vies dans la mienne
De vous découvrir en mots aussi à moi je m’intrigue
De vous découvrir en écriture mienne je m’intrigue
De vous découvrir en poésie décalquée je m’intrigue
Je replonge dans ce que vous m’offrez en lecture
Je frôle parfois vos vérités adoucies de poésie
Je vous fabrique une vie aux contours de votre réalité
Je dévie de vos souvenirs pour partir en les miens
Je virgule leurs vies dans les nôtres
Je voyage rescapé de mon passé torturé entre vos mots
Je voyage initié dans mon présent réparé entre vos mots
Je voyage invité dans mon avenir là libéré entre vos mots
Je déconstruis mes peines en mesurant les vôtres
Je souris quand je vous découvre heureux dans l’ironie
Je me trouble en vous lisant en souffrances connues de moi
J’aime quand vous me décomposez mes souvenirs entravés
Je virgule nos vies dans les leurs
Je triste mes yeux quand des mots écrivent des peines
Je triste mes yeux quand des mots réécrivent des tourments
Je triste mes yeux quand des mots ravivent des blessures
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Esprits sensibles s’abstenir puisque sur ce « site » confidentiel je vous propose de venir mesurer ma perversité sans limite lorsqu’il s’agit pour moi d’utiliser une photo. Je vous entraine sans aucune vergogne de ma part dans cette aventure... La photo originale, le plus souvent "volée" quelque part en Metz est placée en dernier !
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