L’amitié est une richesse dans notre vie.

Vie partagée alors dans des moments riches.

Riches pour chacune et chacun de la personnalité de l’autre.

L’autre est débordant de richesses multiples et porteuses d’amitié.

D’amitié en amitié j’aime vivre dans ma vie ici et au bord de mon clavier avec vous.

Vous qui êtes de l’autre côté de ma vie je vous offre ce mandala porte bonheur. 

C'est celui de juin dans des couleurs d'un printemps ici joueur avec le temps.

Il est là à l'intention de chacun(e) de vous de l'autre côté de mon clavier...

Un jour une photo

Un de mes « Vu à Metz »

Publié pour devenir un clin d’œil

Avec vous aujourd’hui je le partage

Il est l’image d’un instant de vie à Metz

Celui qui m'y donne à chaque fois des envies d'Australie

Invitation à partager une ou dix émotions…

Un continent qui médite pour sauver le monde de lui-même, pour acquérir la sagesse, pour mériter le paradis et pour passer d’une vie à une autre vie meilleure. Des hommes et des femmes en méditations, en sage retrait de nos vie et de nos préoccupations terrestres. Une pensée universelle qui coure le Monde et dispense de l’espoir pour beaucoup… Un continent qui souffre et qui pense pourtant aux autres et qui prie pour tous…

ton cœur est un palais flétri et torturé

il ne s'éprend plus de rien n'en suis pas étonné

ce soir je me suis arrêté dans ton sommeil

tu dormais mal sur ton tendre lit d'éveil

le clair de lune sonnait en toi douze coups

pour sortir de la ronde nocturne des loups

tu sortais d'un monde ou la vie n'est pas sœur

cette nuit épaisse enveloppe la cloison de ton cœur

c'est l'heure ou ce cœur meurtri prend la fuite

pour ne pas succomber à la vie qui le délite

ta voix profonde ne pleure plus le jour

seule celle de la nuit reste grise toujours

elle vit et éteint le feu de l'infortune

vaincre le sang des cieux par delà les lunes

pour sortir de cette arène à la spirale malsaine

voir cesser le combat que livrent tes veines

c'est le destin de l'homme qui à réussi à s'évader

qui est sorti de l'ombre pour vivre sa liberté

en sachant trouver le souffle d’un intime archange

laisser pousser la barbe du sultan un change

les flocons de neige sur ta tête brillent en or

tu deviens ton soleil celui qui brille encore

tu as pris le temps pour toi peut être un bonheur

pour les autres tu as cessé de verser les pleurs

le sang de la nuit coule encore la déchirure

mais tu fermes les yeux éviter cette sciure

qui t'a envoyé un temps au fond du gouffre

seul l'ange gardien déploie ses ailes à ceux qui souffrent

tu as trouvé ton monde en laissant la foi des réprouvés

se noyer dans le soleil de ton sang divin de l'amitié

à te regarder j'ai trouvé avec toi des ressemblances

pas dans la taille mais ton esprit qui est immense

dispense la force tranquille d'échanges rayonnants

dans ta littéraire amitié du temps présent

il était avec l'arbre avant d'être avec l'homme

il est l'homme il est l'arbre c'est un être en somme

mais je suis fier et mon cœur s'enorgueillit

d'avoir cet homme pour un grand ami

Merci l’ami tu mets de là-bas des mots sur mes nuits ici

Ici dans mes nuits avec égoïsme forcené je me retire

Bien de tes mots sont ceux que je peux ici écrire aussi

Avec d’autres j’avouerais que pas une nuit n’est délire

J’y suis alors en apaisants moments bétonnés d’oubli

J’aime sans aucune souffrance dans mes nuits partir

Je me sais traverser mes nuits que dans un vide infini

Il est mon ami et dire le contraire serait alors mentir…

En juin brume vaporisée

Diaphanise un jour levé

Mystérise un loin emmitouflé

Hivernise une heure matinée

Malheurise une plaine tenue éloignée

Inquitétise une montagne imaginée

Paradise un étang abandonné

Profondise une vallée redessinée

Laitanise un paysage tétanisée

Geoliérise un horizon tronqué

Automnise une matinée renouvelée

Crayonnise un panorama réinventé

Calfeutrise une clairière cotonnée

Horizonise un pré labouré

Enfernise un sous-bois écrasé

Printempsnise une heure embuée

A partir d’une de mes photos.

Avoir envie de la traduire en tableau…

La mettre alors dans d’autres couleurs.

Pour qu’elle invite dans un voyage personnel.

Une autre façon de raconter ma passion des couleurs…

La photo originale est celle que je vous présente ci-dessous.

C'est une vieille machine à coudre le cuir si je ne me trompe pas...