•  

     

     

     

    L’été est dans l’Est saison passée en extérieur

    Moins d’heures peuvent m’être autorisées avec vous

    Je vais à nouveau pendant ces mois vivre plus dehors

    Il m’est necessaire alors d’en aborder le sujet avec vous

    Oui je me prépare à trouver du temps qui me fait défaut

     

     

    Pour

     

    Réussir à vous répondre en publiant aussi mes mots

    Réagir aux chaleureux commentaires réceptionnés

    Ne pas être absent trop dans ce très beau contexte

     

    Pour

     

    Lire beaucoup de vos écrits reçus en abondance

    Ecrits quelques heures involontairement délaissés

    Avant de les découvrir dans personnelles émotions

     

    Pour

     

    Trouver des heures pour vous répondre appliqué

    Moments bonheur solitaire inventoriés en amitié

    J’aime être au bord de mon clavier très occupé

     

    Pour

     

    Limiter retard dans réponses à vos commentaires

    Effacer l’absence dans des mots parfois remisés

    Assurer à nos blogs belles relations élémentaires

     

    Pour

     

    Faire vite pour ne pas risquer de vous peiner

    Vaincre coup de fatigue en solitude dans mes mots

    Etre raisonnable aussi pour ne pas être dépassé

     

    Pour

     

    Me faire pardonner de ne pas être présent toujours

    Me mettre en temps pressé pour effacer mon retard

    Me souvenir que chaque commentaire est lien affectif

     

    Pour

     

    Assumer de délaisser mon clavier pour vivre l’été

    Ne pas regretter joie dans mes affaires en amitié ici

    M’accepter surtout de ne jamais n’être que perfectible

     

    Pourquoi

     

    Parfois il m’est impossible d’être en votre compagnie

    Quand de vous je suis éloigné dans et par ma vie d’ici

    Nécessaire alors de vous le confier avec ces mots là

     

    Pourquoi

     

    Par amitié pour vous après vos visites et commentaires

    Car j’aime partager des mots lorsqu’ils nous rapprochent

    Ils me permettent de dire mon amitié au-delà du virtuel

     

     

     

     

     

     

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  • Juste quelques premières photos de cette autre superbe journée d'été. Il résiste ici aux assauts de l'automne... Quelques photos qui vous racontent un peu notre découverte de Vianden au Grand Duché du Luxembourg. Ce magnifique pays est un des voisins de notre département. Nous, Cathy et Laurent, Bernard et moi, y avons passé ce dimanche, de début septembre, quelques heures au centre de l’Europe et au coeur de son histoire dans un exceptionnel château… D’autres photos, mais d’ici plus tard…




































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  • Le journal d'un chien…

     

    J’ai une semaine :

     

    Cela fait aujourd'hui une semaine que je suis né

    Quel bonheur d'être arrivé dans ce monde!

     

    J’ai un mois :

     

    Ma maman s'occupe très bien de moi. C'est une maman exemplaire.

     

    J’ai deux mois :

     

    Aujourd'hui j'ai été séparé de maman. Elle était très inquiète et m'a dit adieu du regard. En espérant que ma nouvelle "famille humaine" s'occupera aussi bien de moi qu'elle l'a fait.

     

    J’ai quatre mois :

     

    J'ai grandi vite, tout m'attire et m'intéresse. Il y a plusieurs enfants à la maison, ils sont pour moi comme des "petits frères". Nous sommes très polissons, ils me tirent la queue, et je les mords pour jouer.

     

    J’ai cinq mois :

     

    Aujourd'hui, ils m'ont disputé. Ma maîtresse m'a grondé parce que j'ai fait "pipi" à l'intérieur de la maison, mais ils ne m'ont jamais dit où je devais le faire. En plus je dors dans la réserve... et je ne me plaignais pas !

     

    J’ai douze mois :

     

    Aujourd'hui j'ai eu un an. Je suis un chien adulte. Mes maîtres disent que j'ai grandi plus qu'ils ne le pensaient. Qu'est-ce qu'ils doivent être fiers de moi !

     

    J’ai treize mois :

     

    Aujourd'hui, je me suis senti très mal. Mon "petit frère" m'a pris ma balle. Moi je ne lui prends jamais ses jouets. Alors je lui ai reprise. Mais mes mâchoires sont devenues fortes et je l'ai blessé sans le vouloir. Après la peur, ils m'ont enchaîné, je ne peux presque plus voir le soleil. Ils disent qu'ils vont me surveiller, que je suis un ingrat. Je ne comprends rien à ce qui se passe.

     

    J’ai quinze mois :

     

    Plus rien n'est pareil...

    Je vis sur le balcon.

    Je me sens très seul, ma famille ne m'aime plus.

    Ils oublient parfois que j'ai faim et soif.

    Quand il pleut, je n'ai pas de toit pour m'abriter.

     

     

    J’ai seize mois :

     

    Aujourd'hui, ils m'ont fait descendre du balcon. J'étais sûr que ma famille m'avait pardonné et j'étais si content que je sautais de joie. Ma queue bougeait dans tous les sens. En plus, ils m'emmènent avec eux pour une promenade. Nous avons pris la direction de la route et d'un coup, ils se sont arrêtés.

     

    Ils ont ouvert la porte et je suis descendu tout content, croyant que nous allions passer la journée à la campagne. Je ne comprends pas pourquoi ils ont fermé la porte et sont partis. "Ecoutez, attendez, vous... vous m'oubliez ! ».

     

    J'ai couru derrière la voiture de toutes mes forces. Mon angoisse grandissait quand je me rendais compte que j'allais m'évanouir et qu'ils ne s'arrêtaient pas : ils m'avaient oublié.

     

    J’ai dix-sept mois :

     

    J'ai essayé en vain de retrouver le chemin pour rentrer à la maison.

    Je me sens et je suis perdu.

    Sur mon chemin, il y a des gens de cœur qui me regardent avec tristesse et me donnent un peu à manger.

    Je les remercie du regard et du fond du cœur.

    J'aimerais qu'ils m'adoptent et je leur serais loyal comme personne.

    Mais ils disent juste "pauvre petit chien", il a dû se perdre…

     

    J’ai dix-huit mois :

     

    L'autre jour, je suis passé devant une école et j'ai vu plein d'enfants et de jeunes comme mes "petits frères". Je me suis approché et un groupe, en riant, m'a lancé une pluie de pierres pour "voir qui visait le mieux". Une des pierres m'a abîmé l'œil et depuis je ne vois plus de celui-ci...

     

    J’ai dix-neuf mois :

     

    Vous ne le croirez pas, mais les gens avaient plus pitié de moi quand j'étais plus joli.

    Maintenant je suis très maigre, mon aspect à changé.

    J'ai perdu mon œil et les gens me font partir à coup de balais quand j'essaie de me coucher dans un petit coin d'ombre.

     

    J’ai vingt mois :

     

    Je ne peux presque pas bouger. Aujourd'hui, en essayant de traverser la rue où circulent les voitures, je me suis fait renverser. Je pensais être dans un endroit sûr appelé fossé, mais je n'oublierai jamais le regard de satisfaction du conducteur qui a même fait un écart pour essayer de m'écraser. Si au moins il m'avait tué ! Mais il m'a éclaté la hanche. La douleur est terrible, mes pattes arrière ne réagissent plus et je me suis difficilement installé sur un peu d'herbe au bord de la route.

     

    J’ai vingt et un mois :

     

    Cela fait dix jours que je passe sous le soleil, la pluie, sans manger.

    Je ne peux pas bouger.

    La douleur est insupportable.

    Je me sens très mal, je suis dans un lieu humide et on dirait même que mon poil tombe.

    Des gens passent, ils ne me voient même pas, d'autres disent "ne t'approche pas".

    Je suis presque inconscient, mais une force étrange m'a fait ouvrir les yeux...

    La douceur de sa voix m'a fait réagir.

    Elle disait "Pauvre petit chien, dans quel état ils t'ont laissé"...

    Avec elle il y avait un monsieur en blouse blanche, il m'a touché et a dit "je regrette madame, mais ce chien ne peut plus être soigné, il vaut mieux arrêter ses souffrances".

    La gentille dame s'est mise à pleurer et a approuvé.

     

    Comme je le pouvais, j'ai bougé la queue et je l'ai regardé, la remerciant de m'aider à trouver enfin le repos.

    Je n'ai senti que la piqûre de la seringue et je me suis endormi pour toujours en me demandant pourquoi j'étais né si personne ne me voulait ?

     

    Après moi :

     

    La solution n'est pas de jeter un chien à la rue, mais de l'éduquer. Ne transforme pas en problème une compagnie fidèle. Aide à faire prendre conscience et à mettre fin au problème des chiens abandonnés.

     

    Si tu effaces ce message et ne l'envoie pas à celles et ceux qui te lisent sur ton blog, c’est que tu n'a pas de cœur et que tu n'en as vraiment rien à faire de nous les animaux sacrifiés.

     

    Propose ce texte terrible à autant de personnes que tu peux !

    Cela ne te coûte rien !

    Si tu publies des blagues, ça ne te coûte rien non plus de publier mon journal qui ressemble à tant d’autres tristes et sordides journaux de chiens et d’autres animaux domestiques !

     

    Nous les animaux nous te seront reconnaissants et ton Cœur lui sera tranquille !


     

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  • Vieille entrée d'immeuble 1 Marc de Metz 2011

     

       

     

     

    A partir d’une de mes photos.

    Avoir envie de la traduire en tableau…

    La mettre alors dans d’autres couleurs.

    Pour qu’elle invite dans un voyage personnel.

    Une autre façon de raconter ma passion des couleurs…

    La photo originale est celle que je vous présente ci-dessous.

    C'est la vieille entrée d'un immeuble très ancien d'Outre-Seille...

     

     

        

        Vieille entrée d'immeuble 2 Marc de Metz 2011

         

     

     

     



     

     

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    Dunes de sables en ondulations soyeuses

    Ciel haut en traîne de poussières dorées

    Désert avide que de la liberté des hommes

    Peuple séculiers en instance de modernité

     

    Fragiles palissades délavées par le sable

    Tamanrasset léthargique cité ocrée de vie

    Redevance en pluie jamais assez acquittée

    Destin ralenti par les excès de son désert

     

    Femmes parées de suffisance d’être belles

    Enfants teint soleil poussiéreux dans leur jeux

    Hommes fiers de leur vie passée hors tentes

    Peuples noble séculier en instance d’avenir

     

    Vie trop précieuse eau rare que gouttelettes

    Chameaux lourds en caravanes vers ailleurs

    Heures étoilées pour unique temps de route

    Voyage ralenti par les excès de leur désert

     

    Soirées chantées par les femmes entre-elles

    Hommes en proximité traditionnelle à l’écoute

    Enfants endormis dans des rêves douceur

    Peuple fier otage volontaire de sa tradition

    Photo Internet.

     

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    D’autres mots mis en suite sage ou pas pour êtrelus  les uns à la suite des autres ou les uns sous les autres…














    Photo Internet.

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