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Voici la place de la République dans sa nouvelle configuration. Elle a été inaugurée le 20 novembre 2010.

 

Elle est toujours la plus grande place de Metz.

Elle est définitivement la plus prestigieuse.

Elle redevient le cœur de Metz.

 

Entièrement piétonne, elle est dorénavant une magnifique zone de passage et de détente entre le cœur historique et commercial de Metz et les autres quartiers du centre ville. 

 

Sa rivière donne une idée de ses nouvelles dimensions car elle s’étire sur 180 mètres.

Au dessus de celle-ci une « plage » a été aménagée afin d’inviter les passants au « farniente »… De surprenants transats y sont disposés.

 

Le centre de cette nouvelle place hébergera les plus importantes manifestations organisées à Metz.

 

La place se prolonge par l’esplanade de la République qui permet de rejoindre la Moselle et le plan d’eau. Sous ses jardins à la française se trouve un parking dont la capacité a été portée à 2 200 places en 2008 afin de permettre cet aménagement, pour nous ici extraordinaire, de la place.

 

Les nouveaux aménagements de tous les trottoirs et accès routiers qui la desservent sont intégrés dans la nouvelle organisation de la République. Ce choix la rend plus vaste, plus conviviale, plus belle.

 

 

J’ai fait le choix d’emprunter sur le site de la ville de Metz une photo qui vous permet de mesurer l’ampleur des travaux et d’imaginer le retentissement de cette transformation dans notre quotidien. Vous la trouverez à la fin de cet article.

 

 

 

 

 

Du coin de la rue Serpenoise, de gauche à droite la caserne Ney et l’Arsenal.

 

 

 

 

 

La rivière devant l’Arsenal, prestigieuse salle de concert.

 

 

 

 

 

Voici les aménagements des trottoirs. Le cœur de la place se trouve à droite.

 

 

 

 

 

Le même trottoir mais avec le cœur de place sur ma gauche.

 

 

 

 

 

Les bus passent le long de place. Elle est au centre des différentes lignes.

 

 

 

 

 

Les Galeries Lafayette et le Palais de Justice, à sa gauche les jardins à la française.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Un des carrousels de Metz, les enfants sont leurs « clients » permanents…

 

 

 

 

 

Au droite, l’esplanade par laquelle il est facile et agréable de rejoindre la Moselle.

 

 

 

 

 

Le cœur de place avec au fond la caserne Ney.

 

 

 

 

 

Aucun système de réservation n’est prévu pour ces grands transats...

 

 

 

 

 

Au dessus de la rivière la statue du Maréchal Ney tourne le dos à l’esplanade.

 

 

 

 

 

Derrière ces façades le centre historique. Au fond l’échafaudage de la cathédrale.

 

 

 

 

 

Voici la « plage » au dessus de la rivière.

 

 

 

 

 

L’allée très arborée entre les Galeries Lafayette et l’Arsenal.

 

 

 

 

 

Elle se prolonge pour rejoindre l’Arsenal et passer près de la caserne Ney.

 

 

 

 

 

Ces jardins agrément cette allée et donnent l’accès au cœur de la place.

 

 

 

 

 

L’un des endroits de la place avec un caractère ludique pour petits et grands.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Au fond, la Banque de France, à droite la caserne Ney, à gauche le cœur de place.

 

 

 

 

 

La promenade entre la « plage » et la rivière.

 

 

   

 

La rivière fait 180 mètres de long. Au fond, le Palais de justice derrière l’allée arborée.

 

 

 

 

 

Le coin de l’Arsenal et au fond l’Ecole des Beaux-arts sur l’esplanade.

 

 

 

 

Le magnifique carrosse violet de Xavier Veilhan, installé pour une durée de deux ans.

 

 

 

 

 

Au fond, le Virgin Megastore avec son dôme et l’entrée de la rue Serpenoise.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

A droite, la Banque de France, au fond l’entrée de la rue Serpenoise.

 

 

 

 

 

Voici comment ont été traitées les voies de circulation des automobiles.

 

 

 

 

 

Pour découvrir le précédent article sur Metz : 

L'avenue Foch de Metz / 2...

 

   

 

  

  

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Marcher en se laissant aller à l’aventure.

Regarder et laisser son regard flâner.

Voir pour n’avoir qu’à photographier.

Aimer être intrigué, amusé, déconcerté.

Offrir en partage sa ville ou son village.

C’est chose facile et agréable partout.

 

Le clocher de l’église Saint-Martin.

Il donne à Metz des allures de Kourou.

Pas de lancement de fusée prévu…

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

  

 

 

 

 

   

 

Dimanche jours en heures maison

Maison avant en visite de famille d’amis

Amis avant en bout de semaines laborieuses

Laborieuse savant devenues chômées aujourd’hui

 

Aujourd’hui est toujours plus fragile qu’avant

Avant nous savions voir au-delà d’un mauvais jour

Jour passé présent à venir toujours sombre

Sombre mois prochains pour trop nombreux

 

Nombreux sont les dangers à affronter vite

Vite est déjà pour beaucoup leur quotidien

Quotidien en sacrifices et en renoncements

Renoncements imposés par nouvelle précarité

 

Précarité insidieuse révoltante humiliante

Humiliante situation vécue dans le secret

Secret pour taire être basculé en pauvreté

Pauvreté pire en dimanche jour maison

 

Maison vide sauf de détresse et d’angoisses

Angoisses pour siens pour soi pour autres

Autres aussi victimes cachent leur misère

Misère honteuse en milieu ou bout de vie

 

Vie mise à mal mise à sac mise au pilori

Pilori misère pauvreté désespérance honte

Honte en heures maison pour chanceux

Chanceux ne sont plus ceux démunis de tout

 

Tout pour eux se passe hors de leur vie d’avant

Avant est dans le bagage de leur mémoire

Mémoire naufragée dans une solitude sordide

Sordide avenir qu'en jours et nuits en rues

Dans mes écrits je me veux être le plus souvent

Vendeur clandestin messager de mots chaleureux

Heureux moi qui aime partager avec toi l’autre

Autrement lu et apprécié c’est pour moi bonheur

Heurts solitaires dans mon écriture appliquée

Quémandage jamais convenu d’espérer être lu

Lumière d’esprit inconnu arrive en commentaires

Taire ces mots jamais n’est question point encore

Corps caché derrière mots paravent de mon âme

Amères heures d’apnée dans un sentiment intime

Mener seul cet ouvrage pour l’offrir en lecture

Turpitudes redoutées contre mon aveu partagé

Géométrie complexe de sentiments en mot-à-mot

Mobilité permise alors entre guerre et paix en moi

moirer le cœur d’autres que soi est aussi bel office

Ce fil en servitude de fil d’Ariane dans mon écrit

Critères pour limiter le bruit de mes confidences

Cession de pensées pas toutes concédées à vous

Voudrai-je moi cesser de vous écrire un texte urgent

Gent personne devine-moi dans ce besoin à jamais

Mais je sais ami n’avoir à t’espérer qu’en ta lecture

Turbulent triste heureux encavé mais toujours sincère

Rebelle aux mots fermés et mots silence reste ce texte

Terroir sans contrefaçon aucune des plongées en moi

 

 

 

 

 

Et si tu étais ses yeux

Et si cela n’était plus un vœu

Et si être ses yeux te rendait heureux

Et si dans tes mots tu n’étais plus malheureux

 

Et si tu étais elle

Et si elle était encore réelle

Et si tu vivais la vie de ta belle

Et si cela était une promesse d’éternel

 

Et si l’ami

Et si dans ta vie

Et si ta peine n’était qu’un devis

Et si c’était avant que vous soyez réunis

 

Et cela n’est que ma compassion

Et cela n’est que ta survie dans sa disparition

Et cela n’est pour toi qu’un présent dans ton aversion

Et cela l’ami me remplir pour ton amour sans fin d’admiration

 

Et ces mots sont pour toi Sumadrad ami d’un sud éloigné

Et ces sont pour toi isolé dans un amour éternel magnifié

Et ces mots pour te dire combien ton poème m’a touché

Et ces mots l’ami pour t’offrir de l’Est amitié et solidarité

 

Voici un lien vers le sublime poème de Sumadrad

C’est lui qui m’a inspiré ces mots…

 

Visions