Ce n’est ce jour qu’une invitation.

Celle ce m’accompagner dans ma passion.

J’aime la couleur et j’aime les formes géométriques.

J’espère aussi réussir à leur donner une dimension poétique.

Voici sept de mes mandalas imaginés dans un temps déjà passé.

Découvrir d'autres mandalas contemporains :

Mandalas contemporains / 3...

 

Pleurs sur l’échiquier dévasté de notre idylle

Pleutre je suis depuis un lendemain sans toi

Je te rêve jouet dans mes plaisirs en chantier

Confondu je crie mon amour pour toi perdue

Survivre en cases noires dans ma vie ravagée

Artisan sans devenir dans bonheur décombres

Solitude diaphane en évanescence désespérée

Je me veux digne de ton pardon et venir à toi

Amour en cruelle instance de caresses sur toi

Main désespérément vidée de ton corps adoré

Creusée en berceau pour accueillir ton amour

Détresse de mon cœur avide d’envie de t’aimer

Tu m’ignores dans désespérance d’être oublié

Homme démuni dans mes nuits sans sommeil

Main naufragée dans l’oubli impossible de toi

Pitié pardonne moi mes errances reviens moi

En cette vie sans toi je me sais être clandestin

J’ai peur des nuits à venir privé de tes souffles

Respiration d’après la jouissance de ton corps

Je pleure sur l’échiquier encombré de ton vide

J’ai eu envie d’écrire ce poème après avoir découvert une invitation à participer à un « défi ». Si vous deviez vouloir en savoir plus, je ne peux que vous y inviter vous qui aimez écrire et qui aimez les jeux d’écriture à en avoir qu'envie. je vous propose de découvrir
Les parchemins de Bigorphéa
  simplement en cliquant sur ce nom…

Si vous deviez avoir envie de lire :
Echec et pleurs / Elle
je vous invite à cliquez simplement sur ce tableau...

Pour montrer d’autres beautés de la cathédrale.

Architecture religieuse du Moyen-âge fascinante.

La lanterne du Bon Dieu est le phare de Metz.

La foi des croyants lui a fait traverser les siècles.

Je vous invite à la découvrir dans d’autres photos.

L’âme de la cathédrale est ici au cœur de notre cité.

Ces photos n’offrent que sa beauté à chacun de vous.

Point ne me semble encore utile de rajouter mes mots.

Il me suffit de vous proposer de regarder simplement.

J’aime sur des mots écrits ailleurs être en contemplation

D’esprits en refus d’oubli elles me content la perversion

Dans ma vie elles me provoquent intimes délectations

Toujours elles ne me projettent qu’en rieuses diversions

J’aime le faux pouvoir de ces mots en inutile composition

Les découvrir me met moi dans une agréable dormition

J’aime être clandestin au dessus de ces mots en addition

Bonheur de les décider mettre des avants en soustraction

J’avoue là mon forfait de lecture dont je m’accorde permission

Trop précieux d’avoir un regard sur passés qu’en dissolution

La vie m’amuse lorsque je me découvre loin de ces émotions

Etranger à leur présent commun je ris de leurs tergiversations

Aucun mot trouvé ailleurs n’est pour moi nouvelle punition

Libérateurs et dépoussiéreurs ils sont porteurs d’une narration

Celle d’une histoire en présent enfin privée de complications

Merci la vie de ne me les offrir que pour parfaire ma protection

Mes mots ne sont écrits que pour exprimer mienne affirmation

Je me sais n’être moi heureux que dans le rejet de la perfection

A d’autres de s’y prétendre vivre heureux en belles intentions

Je parle de ceux dans la fête là permanente de leur libération

Merci à vous là-bas de me mettre encore vos mots à disposition

Sachez qu’aucun ne me fait jamais regretter votre disparition

Merci de m’avoir imposé une salutaire et précieuse séparation

M’avoir mis en récréation de vos vies mérite mes salutations

Nous avons des jours de mars remplis de soleil

Mais ils ne sont encore ici que des jours courts

Alors trop tôt ils remplissent notre ville d’ombre

Pourtant aux cimaises le soleil brille amicalement

Les gens de Metz aiment les premiers soleils

Les rues retrouvent alors la foule promeneuse

Elle passe par les rues commerçantes ombrées

Les places plus vastes sont elles encore au soleil

Ce sont des jours ici qui nous sortent de l’hiver

Prudents ils ne nous jettent pas encore en été

A Metz la lumière de mars n’est pas celle de juillet

Les ombres sont alors diffuses et envahissantes

Ambiance d'ici quand hiver au sol et été en ciel

Venez en promenade commencée vers la gare

Puis dans traversée du grand plateau piétonnier

Ici Il couvre tout le centre historique de la ville

L’Est :

ce que j’y vois

ce que j’y découvre

ce que Bernard y photographie

ce qui fait que je trouve l’Est beau

ce que j’aime en partager avec vous

ce que je fais en photos mais sans mots

Cet Est singulier est partout autour de Metz...

Photos : Bernard.