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Je suis un rêveur, j’ai besoin de rêver… alors je rêve !
Parfois je m’amuse à concrétiser l’un de mes rêves.
Voici celui d’une exposition de mandalas sur les plages d’Etretat.
Un rêveur c’est un utopiste, j’ai besoin d’être utopiste…
Il suffirait que Frédérique Mitterrand découvre ce projet.
Qu'il en apprenne l'existence et qu'il lui plaise…
Je vous l’ai dit : je suis utopiste…
Je vous l’ai dit : j’ai besoin de rêver…
En attendant, je peux vous faire partager ce rêve.
Celui d’une exposition sur les plages normandes.
D’une exposition pendant quelques semaines dans un été.
Je renonce à lui donner un nom : ce n’est qu’un rêve !
Si vous deviez connaître Frédérique Mitterrand...
Vous voyez bien que je rêve !
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L’amitié est une richesse dans notre vie.
Vie partagée alors dans des moments riches.
Riches pour chacune et chacun de la personnalité de l’autre.
L’autre est débordant de richesses multiples et porteuses d’amitié.
D’amitié en amitié j’aime vivre dans ma vie ici et au bord de mon clavier avec vous.
Vous qui êtes de l’autre côté de ma vie je vous offre ce mandala porte bonheur.
C'est celui de février dans des couleurs à l'intention de chacun(e) de vous...
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Juste quelques mots sur une photo
Des mots pour traduire des émotions
Sur une photo en harmonie avec ces mots
Un quinzkû s’écrit toujours avec le cœur
Photo prise par Bernard à Metz...
Le quinzkû est une variante de l’haïku et du senryû japonais.C’est un petit texte poétique écrit avec le cœur.
Un quinzkû ne doit pas dépasser quinze syllabes.
Il est toujours écrit sur trois lignes.
Chaque ligne se lit en cinq syllabes.
Il décrit des émotions heureuses ou malheureuses.
Un quinzkû ne s’écrit pas en vers.
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2011 est une année avec ces quatre dates :
01/01/11
11/01/11
01/11/11
11/11/11
Amusez-vous à prendre deux chiffres.
Je parle de ceux de votre année de naissance.
Ce sont les deux derniers que vous devez prendre en compte.
Ajoutez à ce nombre celui de l’âge que vous aurez cette année au 31 décembre.
Vous pouvez utiliser vos doigts : le résultat doit être juste...
Je vous laisse le plaisir de le découvrir.
Si vous deviez ne pas trouver 111, je vous invite à me le faire savoir !
J’ai remarqué autre chose sur trois de ces quatre dates : et vous ?
Source : Mireille du Sablon à Metz...
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« C’est ici que tous les jours le soleil embrasse le temps… », voici ce que peuvent lire les élèves de l’école primaire Gaston Hoffmann de Metz, rue de l’Abreuvoir, lorsqu’ils jouent dans sa cour de récréation prestigieuse. Elle abrite ce qu’il reste de l’Hôtel de la Monnaie de Metz, construit en 1435. En 1654, ravagé par un incendie, il a été reconstruit.
A la croisée des routes commerciales qui traversaient l’Europe, dès le XIIe siècle, Metz, grande et riche cité du Moyen-âge, eut le droit de frapper sa Monnaie. Ce n’est qu’en 1662 que Metz renonça à ce privilège au bénéfice du roi de France.
Si ce qui subsiste de cet hôtel est dans la cour de récréation de cette école primaire de Metz, c’est qu’en 1904 les allemands construisirent sur ce site une Ecole de la Monnaie. Elle comportait deux écoles, celles des garçons et celles des filles. L’une est devenue l’école primaire rue de l’Abreuvoir, l’autre est l’école maternelle « Saint-Maximin » de la rue haute Seille.
La pire des époques de ce bâtiment a été suivie, au début du siècle dernier (1904), il était alors devenu complètement insalubre et dangereux, d’une démolition au cours de laquelle n’a été préservée que la partie qui se trouve dans la cour de récréation. Les vestiges du bâtiment original, en particulier l'escalier dans sa tourelle polygonale et la balustrade sont classés Monuments Historiques.
Les trois premières photos de cette visite, montrent l’aspect du bâtiment depuis sa reconstruction entre 1909 et 1911, vu de la rue de la Monnaie. L’école primaire est une école bilingue. Les cours y sont donnés, aux 200 élèves, en français et en allemand, depuis 2003. L’école maternelle est elle aussi bilingue.
Découvrir le précédent article sur Metz :
Metz : place du Marché de la Chèvre...
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Je suis chat de ville des gouttières du musée
Parfois par une expo alléché je me glisse dans les salles
Alors je peux y admirer de la très belle peinture
Je n’aime pas que l’on m’y dérange
J’aime être seul lorsque je suis heureux
C’est passionnant de regarder ces tableaux
Le silence est toujours propice à mes émotions
Je n’aime pas que l’on m’y distraie
Je n’ai jamais rencontré de chats aussi majestueux
Sans doute qu’ils sont eux chats des champs
Ils sont exceptionnels ces cousins tous très beaux
Je n’aime pas que l’on m’en chasse
Je sais bien que je ne dois jamais trop m’attarder
Mais ces drôles de chats merveilleux me fascinent
Je reste encore je crois même qu’ils me regardent
Les hommes n’aiment pas me savoir dans le musée
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