• Les Colombages de Strasbourg - mp1357 16

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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    Vous pourrez voir ou revoir le début de cette promenade. 

     

     

     

     

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  • Avatar-Pens-es-29-08-2009.jpg

     

     

     

     

    Février se devient mois en cours

    Il fonce dans année qu’en labours

    Dans ses sillons froids il m’aspire

    Dans moi les envies transpirent

     

    Indices intimes que j’y quémande

    Des joies en instance de demandes

    Janvier s’en est allé dans un passé

    Ses heures sont en mémoire remisées

     

    Dans février je vais vers autres jours

    J’y emporte mes besoins d’amour

    Sans lui gris froid serait mois d’hiver

    Février je te veux mois en jachère

     

    Après tes jours que l’année soit jardin

    Dans des fleurs je veux tous ses matins

    Je veux être heureux dans ses allées

    N’oublies pas d’y convier l’humanité

     

     

     

     

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    Une échelle est devant moi
    Je gravis le premier échelon
    Et je vois
    Je vois ce qu’avant moi
    Les hommes ont fait sur les monts
    Sur le deuxième barreau il est en bois
    Je pose le pied et je regarde
    Je regarde les hommes de la ville prisonniers
    Je vois ce qu’ils n’ont pas su faire
    Après avoir vu
    Sur le troisième barreau la mer coléreuse
    Sur le quatrième barreau le vent hurleur
    Sur les cinquième barreau une fille frileuse
    Sur le sixième un jeune penseur
    J’atteins le bout de l’échelle de fer
    Et le plafond des nues
    Alors je vois ce que j’aurais pu faire
    Aider les hommes à construire
    Délivrer les citadins de la ville et la détruire
    Devant la tempête faire rentrer les bateaux au port
    Calmer le vent qui pleure de l’hiver la mort
    Couvrir la fille d’une couverture
    Des pensées du penseur essayer de faire la lecture
    Mais le septième barreau est cassé
    Et je tombe
    Sans avoir rien pu faire
    Mais étant paresseux
    Je préfère être dans la tombe…
     
    Marc, écrit à Metz le 27 mars 1971



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  • Place des Charrons 1 Metz février 2010




    Février autorise le soleil à déchirer le ciel sur la ville parfois

    En ces moments de grâce l’hiver redevient enfin plus courtois

    Bonheur lorsque beau temps contre mauvais gagne des tournois

    Les flaques de pluie deviennent alors miroirs provisoires toutefois

    Un février lorrain n’est jamais fin d’une saison vécue en froids émois

    Ses heures soleil sont déclaration d’un printemps réclamant des droits

    En pays de l’Est février ami incertain du beau temps impose à tous sa loi



     

      Place des Charrons 2 Metz février 2010




    Place des Charrons 3 Metz février 2010
     



    Photos prises devant le Centre des Affaires de Metz : la place des Charrons en Outre-Seille et son parvis vers le parking Coislin.








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    Juste quelques mots sur une photo

    Des mots pour traduire des émotions

    Sur une photo en harmonie avec ces mots

    Un quinzkû s’écrit toujours avec le cœur



                       Photo prise par Bernard à Longeville-lès-Saint-Avold / Moselle




    Survivre 16 12 2009


    Le quinzkû est une variante de l’haïku et du senryû japonais.

    C’est un petit texte poétique écrit avec le cœur.

    Un quinzkû ne doit pas dépasser quinze syllabes.

    Il est toujours écrit sur trois lignes.

    Chaque ligne se lit en cinq syllabes.

    Il décrit des émotions heureuses ou malheureuses.

    Un quinzkû ne s’écrit pas en vers. 








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