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Ces notes musiquent des terres froissées par la sécheresse.
Elles y ricochent entre baobabs et falaises du pays Dogon.
Dans l’obscurité des savanes elles parlent aux ancêtres.
Des risées courant sur de grands fleuves sont ses partitions.
Ces notes chantent la tradition d’un peuple fier vêtu d’ébène.
Elles palabrent en pays des déserts et en ceux des jungles.
Ces notes musiquent le continent berceau de notre humanité.
Vues sur un mur à Metz elles sont là passeport pour l’Afrique.
Le bonheur ne dépend pas que du voyage mais de son rêve.
J’aime être le passager des miens pour aller dans des très loin.
Mon billet d’avion est le plus souvent qu’une photo prise à Metz.
Ces notes musiquent mes promenades qu’en rues messines.
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Esprits sensibles s’abstenir puisque sur ce « site » confidentiel je vous propose de venir mesurer ma perversité sans limite lorsqu’il s’agit pour moi d’utiliser une photo. Je vous entraine sans aucune vergogne de ma part dans cette aventure... La photo originale, le plus souvent "volée" quelque part en Metz est là placée en dernier !
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Ma ville ne se cache de personne, bien au contraire elle aime être découverte…
Il faut juste savoir la regarder avec un regard allant au-delà de l’évidence.
L’évidence est perceptible, visible, peut être vue facilement partout…
Ces détails de Metz eux aussi sont là autour de nous et partout.
Chacun contribue à donner à Metz une ambiance unique, la sienne !
J’aime ressentir ceci :
Metz, ville où il fait bon et beau vivre !
Au travers de cette série en vingt photos, c’est ce que je montre.
C’est ce que je partage de ce Metz au bout de mon regard…
Pour découvrir ou revoir : Vingt de mes "autour" du Centre Pompidou-Metz / 24...
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Janvier en Metz depuis jadis dans un hiver lorrain est à la moitié des mauvais mois
Période lendemain dans nos cœurs, de souvenirs festifs d’illuminations et de cadeauxHeures de début d’année trop souvent débordantes de nos voeux d’espoir ou de désarroiMatins réveillés dans une nuit trop noire avant que le froid de nos corps se fasse bourreau
Routes et autres chemins d’en ville, travestis de neige et verglas alors nous espèrentRuissellent nos parapluies protecteurs des pleurs d’un ciel en instance de soleilNos façades engourdies flirtent avec des froids venus d’outre ville que rien ne tempèreVagabondages courageux dans nos jours d’hiver à la recherche de glacées merveilles
Janvier en Metz nous basculent d’un décembre achevé en fêtes à des jours trop sagesVie diurne rapidement acquittée pour vite dans des chez-nous pouvoir nous retrouverSoirée partagée avec famille et amis venus d’évidence que pour n’être que de passageHeures courtes d’après journées font nos soirée trop étriquées pour tardivement y traîner
Moments de vies urbaines tassés dans le fond de lourds manteaux par le givre vernissésHivers d’antan inscrits dans nos mémoires comme moins que celui en cours frigorifiésPas prudemment mesurés pour apprivoiser les trottoirs piégés de glace par le froid visséRencontres très abrégées au virage des rues désertées par une vie sociale alors mortifiée
Photo prise par Bernard / La Moselle vers le Pont des Grilles...
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D’autres mots mis sur une photo
En suite sage ou pas
Pour être lus les uns à la suite des autres
Ou
Les uns sous les autres
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Dis, la guerre : pourquoi continues-tu à sévir alors qu’au delà de toutes les vies que tu as ravagées, de tous les destins que tu as brisés, de toutes ces populations et peuples que tu as assassinés, de tous ces pays que tu as détruits, de toutes ces économies que tu as bouleversées ou anéanties, la paix l’emporte sur toi, mais sans ces millions de morts que tu sacrifies depuis que l’humanité existe : pourquoi ?
Au fait la guerre, je te déteste !
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