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Dis, la foi : pourquoi n’habites-tu pas toutes les femmes et les hommes de bonne volonté, alors que ceux qui te possèdent se sentent plus sereins, plus rassurés, plus résistants, plus courageux et se savent sur le chemin vers un Dieu : pourquoi ?
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Nous sommes devant leurs images
Nous sommes témoins d’un naufrage
S’en va un chef contesté dans les rues
A le mettre en fuite un peuple est parvenu
En France de loin nous sommes solidaires
Une nation met fin à un insupportable arbitraire
Nous sommes au bord de leur révolution du jasmin
Dans ses villes les serviteurs du régime sont clandestins
Enfin un évènement salutaire pour un pays entier se déroule
Les profiteurs d’un pouvoir détesté sont mis à mal par les foules
Une nation se bat pour réintégrer liberté dignité légitimité et avenir
Courage et bonne chance Tunisie dans ce futur que tu viens d’obtenir
Photo : Source / Internet.
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Le long de l’avenue Foch moi je vois toujours aller les passants.
Peu souvent ils me font le plaisir de lever les yeux sur ma façade.
Pourtant, j’offre depuis le début du siècle dernier beau spectacle.
Sans doute ne suis-je plus aussi nouveau qu’en une autre époque.
Je m’y tiens fier en compagnie des immeubles parfaitement alignés.
Ma façade en pierre de Jaumont me donne des couleurs d’ailleurs.
Je crains toujours d’apeurer les petits enfants avec mes chimères.
Heureusement ceux d’aujourd’hui ne regardent jamais plus en l’air.
Ils ne voient la vie et la ville et les hommes que par écran interposé.
Lorsque quelqu’un admire ma façade j’en jaunis de bonheur et plaisir.
Je ne suis que l’un des immeubles de la prestigieuse avenue de Metz.
L’été les grands arbres me cachent toujours à la vue des passants.
L’hiver presque personne ne prend le temps de nous regarder jamais.
Au printemps les regards ne se portent qu’à hauteur des belles fleurs.
L’automne dépose lui un tapis de feuilles jaunes et rouges devant moi.
Le long de l’avenue Foch souvent je m’ennuie de n’être pas admiré…
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Cet homme est à Metz celui qui m’inonde de photos
Comme si je n’avais pas assez à faire avec des mots
Je dénonce ici publiquement son trafic de couleurs
Car cet homme et sans vergogne n’est qu’un voleur
C’est à cause de lui que tant de Metz je vous montre
En plus en ville lorsqu’il y fait beau je le rencontre
Toujours il photographie les mêmes choses que moi
Il m’amuse parfois quand dans mes photos je le vois
Je le sais n’être jamais avec moi lorsqu’il fait très gris
Car sans soleil sur aucune vitrine jamais je l’ai surpris
Cet homme est un voleur de photos sans scrupule
Qu’il fasse les même photos que moi reste ridicule
Ce photographe amateur je vous le montre passionné
Pour qu’aucun de vous n’ignore plus là son identité
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Samedis janvier
Ville ciel gris
Parapluies grands ouverts
Janvier met en souffrance de froid
Jours passés qu’en quête de chaleur
Volutes au dessus boissons chaudes
Vie qu’en fond de vêtements
Déplacements chauffés
Glaciales heures journée
Journées clarté laiteuse
Samedis janvier qu'en envies de moins froid
Samedis juillet
Ville soleil jaune
Parasols grands ouverts
Juillet met en souffrance de chaud
Jours passés qu’en quête de fraîcheur
Givre autour boissons fraiches
Vie qu’en surface de vêtements
Déplacements climatisés
Etouffantes heures journée
Journées clarté lumineuse
Samedis juillet qu'en envie de moins chaud
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J’accepte avec plaisir tes vœux d’une bonne sexualité.
Tu m’en vois ravi car par elle j’ai vécu dans nuits exaltées.
Je me promène dans des jours où elle reste encore l’invitée.
Puissent tes vœux la rendre présente dans mois annoncés.
J’accepte avec vrai plaisir tes vœux de taquinerie mâtinés.
Puisse cette amie savoir aussi faire de toi partenaire amusé.
Il en est dans ton âge si plus que pour moi belle nécessité.
Dans secret de mes souvenirs je t’y souhaite plaisirs d’initié.
J’ai répondu ainsi à des vœux originaux reçus cette année.
Ils m’ont été dans un très chaleureux commentaire déposé.
Faits d’un agréable homme talentueux en mots souvent rimés.
Ces vœux sont aussi un article dans une écriture passionnée.
Je vous invite à aller le découvrir par un lien qu’ici j’ai caché…
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