Je viens, depuis quinze jours, avec beaucoup de plaisir, de partager tout mon temps libre avec « Chronique » notre amie en visite…

 

Si je vais rajouter à nos bons souvenirs tout ce que nous avons partagé, je vais surtout me souvenir que lorsqu’un où une amie séjourne en notre compagnie, je me prive de beaucoup de ce que nous partageons lorsque je me donne le temps nécessaire pour être :

 

présent sur vos blogs…

présent pour répondre à ces nombeux et amicaux commentaires que vous me laissez...

présent aussi pour répondre à vos courriers sur ma messagerie…

présent pour accueillir les blogs qui souhaitent nous rejoindre…

 

Chronique nous quitte aujourd’hui, au terme d’une petite quinzaine de journées, de soirées, de matinées partagées avec elle et notre travail à chacun. Oui, tout cela a été conjugué avec nos obligations professionnelles et en manquant toujours de temps pour tout faire...

 

Je vais tacher, très vite de répondre à vos commentaires, le plus vite possible pour pouvoir retrouver le chemin de vos talents en même temps que celui de vos blogs et surtout de votre amitié.

 

Je vais aussi très vite me trouver du temps pour reconstituer mon « stock » d’articles « prêts d’avance », afin de passer du temps en votre compagnie, car cela me manque…

 

Ce dont vous devez être certaines et certains, c’est que ce temps dissipé de celui que j’accorde à mon blog et aux vôtres, depuis deux semaines, a été un temps rempli d’amitié et de complicité et de rires et de détente… Je devine que vous pourriez être nombreuses et nombreux à m’écrire que « j’ai bien fait, de vous oublier ».

 

J’ai quand même trouvé le temps de publier tous les jours et surtout celui de lire tous vos commentaires, parfois même celui d’y répondre, parfois seulement… J’ai partagé mon temps OB avec « Chronique » qui elle aussi à mis en « sourdine » son blog, sans, comme moi, réussir à l’oublier et à le déserter totalement.

 

Bonne route Chronique, à bientôt, bon retour en Normandie…

 

 

 

 

Cette photo est aussi un lien. Il vous donnera, si vous deviez le souhaiter,  accès au très beau site de l’office du tourisme de METZ Cathédrale. Il est installé dans un prestigieux bâtiment qui jouxte la Cathédrale et l’Hôtel de Ville sur la place d’Armes. Je vous en souhaite une très belle visite.

 

 

 

 

  

 

 

 

 

 

Nos arbres sont les dentelières de nos ciels d'ici

Je les aime artistes dans une saison dite mauvaise

A partir d’une photo d’un de ces témoins silencieux

Un tableau pour rêver d’autres horizons entre-nous

 

 

   

 

Ving autres photos sans explications autres que ce qu’elles peuvent vous inspirer.

Elles vous montrent simplement :

 

ce qui ici nous surprend toujours au coin d’une rue ou d’une place…

ce que nous redécouvrons à chacune de nos sorties en ville…

ce qui fait le charme de Metz dans l’ensemble de ses coins et recoins…

ce qui me met dans une vie ici dans des milliers de couleurs…

 

Juste vous inviter une fois encore et une fois avant d’autres à "sentir " ce qui fait que de Metz j'aime dire :

 

Metz, ville où il fait bon et beau vivre ! 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   

 

 

 

 

 

 

 

 

Les enfants du moniteur d’auto-école se croient tout permis.

Le frère du boulanger déteste être roulé dans la farine.

La femme du facteur est hôtesse de l’air sur les long-courriers.

La femme de l’horloger n’arrive jamais à l’heure dite.

La sœur de la coiffeuse coupe les cheveux en quatre.

La femme du couvreur déteste les tuiles.

Le fils du dentiste a les dents longues.

La femme du carrossier a une sacrée carrosserie.

Le père du carreleur a peur de rester sur le carreau.

La femme du bagagiste se fait la malle. 

          

Marc de Metz. 

 

 

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La poste centrale de Metz, ou hôtel des postes été construite en face de la gare de Metz pour des raisons d'efficacité et pour satisfaire les exigences militaires impériales puisque la rapidité d'acheminement du courrier est capitale, surtout en cas de conflit.

 

Cet imposant édifice, d’inspiration médiévale, occupe à proximité immédiate de la gare un îlot de cent mètres de côté sur lequel il occupe 20 000 mètre carrés de locaux. Il dispose d’une grande cour de service. Son chantier a débuté en 1907. L’inauguration eu lieu le 1^er mai 1911.

 

Ce volumineux ensemble a été dessiné de façon à mettre en valeur chacun de ses angles par une tour différente.

 

Son style, le même que celui de sa voisine la gare, est néoroman mais volontairement plus sobre puisque son décor réside principalement dans un traitement homogène des matériaux.

 

Il est basé essentiellement sur des reliefs dans la pierre, avec quelques motifs fantastiques ou symboliques sur des chapiteaux. Jusqu’en 1919, un aigle impérial trônait sur sa façade.

Il a été effacé après que la Moselle et l’Alsace furent libérées de l’annexion allemande (1870 à 1918).

 

Il l’est surtout, son style, basé dans celui des ouvertures. La variété de celles-ci est le résultat de la volonté de ses architectes allemands Jürgen Kröger, Ludwig Bettcher et Gustav Petrich de différencier les trois niveaux :

 

-        grandes baies dans les salles d’accueil du public

-        fenêtres pour les services internes

-        lucarnes en gradins pour les escaliers

-        fenêtres rondes aux paliers.

 

Ces fenêtres en plein cintre sont en grès rose des Vosges, les colonnes elles sont en granit gris.

 

Cette poste est née, tout comme l'ensemble du quartier de la gare qui est maintenant appelé "Quartier Impérial" de la seule volonté de l'empereur Guillaume II d’Allemagne.

 

Pour lui : Metz serait la vitrine de la puissance allemande. Metz serait structurée militairement pour l’ancrer définitivement dans l’empire. Tout a alors été mis en œuvre pour germaniser Metz…