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Dans un dernier lundi de novembre.
Nous sommes ici aussi sous la neige.
En Lorraine elle est épaisse et blanche.
Elle aime autant qu’avant redessiner la ville.
Metz est là dans un jour blanc froid et silencieux.
Les marchés de Noël sont eux aussi sous la neige.
D’autres photos à aller faire sur des chemins de gadoue…
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Le grand sapin flirte avec le beffroi de la gare.
La grande crèche est sous la protection de la Grande Poste.
Le petit train pour les petits anime le marché de Noël.
Les voitures du grand train regorgent elles de cadeaux.
La forêt enneigée ajoute sa magie pour le plaisir de tous.
L’ensemble est féérique dans les nuits d’hiver de Metz.
Au loin de l’autre côté des immeubles d’autres marchés de Noël.
Celui de la gare dans le quartier Impérial de Metz attend l’arrivée du divin enfant…
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Ma poule, avait beau être plate comme une limande, souffler comme un phoque pendant l’amour, rire comme une baleine après, elle avait du chien à revendre.Cela me flattait et me rendait chaud lapin.
Au lit c’était une vraie panthère lorsqu’elle l’avait décidé.Elle était aussi têtue comme une mule et bien que cela n’aurait jamais du casser trois pattes à un canard, si j’avais même pas dix minutes de retard, elle me traitait comme un chien.
Pour ça c’était une sacrée souris qui détestait faire le pied de grue, qui avait un appétit d’oiseau mais pas pour la bagatelle.Elle savait aussi lire en moi comme dans un livre ouvert alors qu’elle était myope comme une taupe et j’adorais ses yeux de caille.
Pour me faire craquer, lorsqu’il n’y avait pas un chat, elle me chauffait avec ses yeux de biche.Son regard me rendait muet comme une carpe lorsqu’elle me tirait les vers du nez pour savoir pourquoi je n’étais pas par exemple frais comme un gardon.
J’ai souvent essayer de noyer le poisson pour ne pas lui donner le bourdon et pour ne pas qu’elle verse des larmes de crocodile.
J’acceptais tout d’elle car à ses côtés j’étais fier comme un coq, aussi fort qu’un bœuf, aussi rusé qu’un renard.
Elle me rendait chèvre, je me sentais alors aussi mal qu’un crapaud mort d’amour.
J’avais parfois envie de gueuler comme un putois alors que je ne filait devant elle que doux comme un agneau.Si j’avais été malin comme un singe,pour cesser d’être pris pour un pigeon, je me serais inventé une fièvre de cheval avant de filer comme un lièvre
Je pouvais planter cette bécasse pour aller retrouver mon pote avec qui j’étais copain comme cochon avant de la rencontrer.
Un matin, alors que je dormais à ses côtés comme une carpe, j’avais pas eu besoin après l’amour de compter les moutons, elle m’a réveillé et m’a dit : c’est fini !
Là j’ai compris qu’elle avait revu son ex, ce requin aux dents longues qui était stupide comme un âne car il l’avait plaqué pour une dinde avec une langue de serpent. Ce type est un vrai rat ! Moi, je me cherche une autre souris depuis alors je ressors en boite pour y faire le paon et me trouver une poulette.
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Pendant des semaines ses rues et avenues sont éclairées.
Ainsi personne ne peut ignorer que la ville va vers Noël.
Je crois même que ses ados blasés les aiment aussi.
Je sais que ses enfants choisissent leurs préférées.
Je n’ignore pas que ses grands les détaillent aussi.
Cascade ou fleuves de lumières ses illuminations.
Milliers de lumières dans ses traditions de Noël.
Dans ses nuits de novembre la magie ici opère.
Oui autour des marchés de Noël elle est belle.
Je parle de Metz où les fêtes sont joyeuses.
Noël ici se prépare en soirées scintillantes.
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La synagogue de Metz, inscrite à l’inventaire des monuments historiques se dresse face à l’un des bras de la Moselle. Ce bâtiment large de 20 mètres et profond de 40 a été inauguré le 30 août 1850. En 1925, de grands travaux de rénovation furent entrepris. Durant la période nazie, lorsque Metz était annexée à l’Allemagne pendant la seconde guerre mondiale, la synagogue a été dégradée mais préservée de la destruction.
La symbolique de cet édifice apparait clairement dans arcs visibles sur sa façade. Ils sont en fait au nombre de 22, ils en font tout le tour : l’alphabet hébraïque a 22 lettres.
Cette synagogue a été bâtie sur les ruines de la première qui peut être datée du XIème siècle. Quelques ruines sont encore visibles proches d’elle.
Installée dans un quartier très tranquille, bénéficiant d’une protection de mise, elle possède un centre hébraïque important, un centre biblique et sa maison de retraite est réputée à Metz.
Il n’est pas facile de prendre des photos de la synagogue. Les angles de vue sont restreints car la sécurité de l’ensemble des installations n’autorise que des photos de sa façade prises de la rue et de la petite placette face à elle.
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Les marchés de Noël de Metz sont installés pour quelques semaines. Ils le sont autour de la Boutique de Noël de Metz. Cette boutique féérique est ouverte toute l’année. Je sais, pour en connaître la fréquentation, qu’elle attire beaucoup de visiteurs…
A Metz, au n° 9 de la rue des Clercs, il est possible de passer quelques heures « en Noël » même durant les semaines les plus brulantes de l’été. J’avoue que c’est alors insolite car toujours magique et je m’amuse beaucoup en faisant découvrir cet endroit, en dehors de la période de Noël, à celles et ceux qui découvrent Metz…
C’est pendant la période des marchés de Noël, que la boutique vit elle aussi dans l’esprit des fêtes. Il est alors bien plus « normal » d’y trouver crèches, sapins, étoiles, guirlandes, horloges, manèges, figurines, magnifiques Pères Noël… Les arts de la table, celle des fêtes, ici si importantes dans la tradition familiale, y sont à l’honneur.
Vous pourrez y découvrir d'époustouflants coucous de la Forêt Noire fabriqués à la main. Ils sont, l’une des exclusivités de cette boutique et issus d’une tradition familiale qui depuis plus d’un siècle est transmise de génération en génération.
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