J’aime me servir de pinceaux

J’aime me servir d’un logiciel magique

J’aime me servir de mon clavier

Aujourd’hui

Je vous invite dans ces couleurs dédicacées à la liberté légitimité fraternité

Je vous invite dans ce mandala pour la demander universelle
Je vous invite dans cette prière pour les peuples opprimés privés de leurs espoirs d'un mieux

Je vous invite dans cette liberté d'en rêver

Je t'invite toi qui passe à regarder ce mandala avec ton cœur

La recherche du bonheur est la recherche de nous-mêmes.

Le bonheur est différent pour chacun de nous.

Il est différent comme les vocations.

Identique et uniforme, il serait sa propre négation...

Jean Prieur.

D’autres mots mis sur une photo, en suite sage ou pas, pour être lus les uns à la suite des autres ou les uns sous les autres...

Des mots inspirés par une proposition d'Eva qui sur cette photo nous propose d'écrire. C'est son premier jeu en écriture. Pour aller en voir les détails, je vous invite à cliquer sur cette photo d'icberg ou sur son prénom…

SANS TOI j’ai réussi à survivre puis à vivre

JE NE veux plus de toi jamais dans ma vie

POURRAIS-je réussir à totalement t’effacer de moi

PLUS les années sont passées plus je me suis délivré

VIVRE sans toi fut effrayant c’est maintenant apaisant

PHRASE vide de sens car tu as ignoré mes souffrances

SOUVENT je t’ai laissé me détruire dans ce passé avec toi

DITE ainsi cette phrase n’est pourtant plus un reproche

SANS doute qu’aucun autre mot me permet de te dire cela

SE peut-il que je sois si parfaitement étranger à nous deux

RENDRE compte de mon bonheur de vivre après toi est facile

COMPTE donc ces années au servie de mon oubli de toi

DE LA première à d’autres j’ai vécu dans la honte de ton rejet

PORTEE a été cette infamie par tes silences et ton éloignement

REELLE conclusion à mes souffrances délavées je vis après toi

DES MOTS ces mots te privent à jamais d’un droit de réponse

L’ESPOIR ne s’écrit plus avec les mêmes lettres qu’avant

EST PERMIS par ce temps passé un présent pour moi réparé

DE VIVRE n’est plus pour moi sans toi que revanche secrète

AUTRE vie est la mienne où à jamais tu es interdit de présence

CHOSE convenue pour moi tu es neutralisé dans ma mémoire

RIEN N’EST plus à même de me mettre en danger de toi

DEFINITIF refus d’une époque avec toi comme tortionnaire

DANS LA vie au-delà d’un pire il y a toujours un meilleur

VIE réparée reconquise acceptée espérée vie revanche

SAUF et tu le sauras en lisant ces mots je n’ai rien oublié

LA MORT un jour effacera à vie l’ultime souvenir de toi

En majuscules, une phrase de mon amie Violette.

En minuscule mes mots.

Ces mots règlent son compte à l'un de mes passés... 

Le Temple Neuf de Metz est magnifié par le contraste entre la lumineuse pierre jaune de Jaumont environnante et la couleur grise du grès des Vosges utilisé pour sa construction, dans le style roman rhénan. Style si apprécié par l’Empereur Guillaume II et qu’aura parfaitement satisfait l’architecte allemand retenu : Conrad Wahn. Il mena à bien cette construction entre le 29 novembre 1901 et le 14 mai 1904, dans le jardin des amours, planté de saules, au bout de l’île du Petit Saulcy, sur la Moselle.

Le 14 mai 1904, l’Empereur Guillaume II, accompagné par l’Impératrice et par la Princesse Victoria-Louise de Prusse, en présence des plus hautes autorités du Reichsland d’Alsace-Lorraine est venu inaugurer le Temple Neuf.

Cette nouvelle construction était alors totalement contestée par la population de Metz. En effet, elle était alors ressentie par les messins, ils subissaient l’annexion allemande depuis 1870, comme un affront inexcusable à l’harmonie de la place du XXIIIe siècle (place de la Comédie) jusque là entièrement dédiée à l’architecture classique et française avec la pierre de Jaumont comme unique matériau de construction...

De style néo-roman rhénan avec une tour-lanterne octogonale et ses deux clochers sur sa façade (vraisemblablement inspirés de la cathédrale romane de Spire en Allemagne), construit en grès des Vosges de couleur grise, le Temple Neuf, le soir prend une dimension spectaculaire grâce à des illuminations exceptionnelles. Elles le rendent « magique » posé au milieu de la Moselle dans un cadre grandiose, historique et pittoresque.

Son orgue, meilleur instrument néoclassique de la ville est régulièrement utilisé, autant pour les concours du Conservatoire National de Région que pour de nombreux récitals donnés par des organistes réputés. Réalisé par Ernest Mühleisen, possède cinquante-deux jeux sur trois claviers et pédalier en traction entièrement mécanique,.

Voulu par l’Empereur Guillaume II pour accentuer la germanisation de Metz, souhaité pour ses officiers en garnison à Metz, alors appelée par la population « l’église des allemands », aujourd’hui, ce surprenant édifice, admiré par tous, est le temple de la communauté protestante réformée du centre de Metz.