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Mon amie Chronique, à partir d’une photo de l’église Sainte-Ségolène de Metz, prise par elle, a écrit ce que nous appelons un rirekû (il est là important de vous rappeler que Metz se prononce « messe ») :
Quand la « Ségolène » lève les bras au ciel
A coup sûr
C’est pour demander pardon
A partir de ces mots, il nous en est venu bien d’autres.
Les voici :
De moi…
Entre deux tours « Ségolène » garde la foi
La messe n’est pas entièrement dite
La liste sociale mise à mal aux siens fait avenir
De Chronique…
Ségolène scrute le ciel
à la recherche d'une nouvelle voie
"Des votes" serait-elle devenue ?
De moi…
Plus de lessive entres ses tours ?
« Ségolène » ne sèche plus de linge ?
Pourtant la nation lave le sale en public !
De Chronique…
A force de se braquer
c'est haut les mains
que Ségolène est restée sans voix
De Moi…
Les deux tours de Ségolène sont debouts
Privées de souplesse elles ne font pas le grand écart
Impensable pour elles de copier une royale personne
De Chronique…
On a tous prié pour Ségolène
mais la vanité lui a monté au clocher
difficile d'en redescendre
De moi…
Voici les urnes célestes de Ségolène.
C’est le bureau de vote des anges !
Les anges votent contre le diable…
De Chronique…
Ségolène a du se faire une raison
Au deuxième tour
Royal fut son échec
De moi…
Une tour par tour ?
Oui, Ségolène a eu deux tours !
Ses deux tours sont plus belles que les deux tours !
De Chronique…
Ségolène du haut de ses deux tours
n'entend plus les prières de ses fidèles !
se détournerait-elle "dieux" ?
Tous ces mots sont des ricochets provoqués par notre imagination. Ils peuvent, avec votre aide, n’avoir jamais de fin…
Si vous souhaitez savoir ce qu’est un rirekû je vous invite à cliquer sur ce mot…
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Cette porte ici à Metz est
magnifiqueElle m’est familière car dans ma
rueJe la vois tous les jours de
l’annéeJe trouve très beau ce nouveau
vertJe ne l’ai jamais vu dans cet état
làCette porte en image je l’ai
restauréeDans la réalité elle est très
différenteVoici comment est cette porte
verte
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L’exposition d’inauguration « Chefs d’œuvre» :
800 œuvres.
700 prêtées par le Centre Pompidou de Paris.
Une centaine d’autres par de grands musées internationaux.
Certaines le sont pas les musées natiionaux et locaux :
ceux de Metz, ceux du Département.
Cette exposition interroge sur la notion de chef-d’œuvre :
qu’est-ce qu’un chef-d’œuvre ?
Qui décide et détermine ce qui est un chef d’œuvre ?
Un chef-d’œuvre est-il éternel ?
L’exposition « Chefs-d’œuvre » est prévue jusqu’au 25 octobre 2010 :
dans son intégralité.
En voici une toute petite partie…
Un clic sur "CPM" pour poursuivre la découverte du Centre Pompidou-Metz…
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Sur l’eau je connais un pays en vacances de nos villes.
C’est une cité lacustre bucolique pittoresque secrète.
Elle est frangée de pontons prolongeant des cabanons.
Son ciel sert de toile cirée vernie à ses surfaces d’eau.
La vie y est invitée entre des palissades multicolores.
Dans ce pays l’eau sage des étangs crée de la magie.
Des voisins fiers de leur cabanon n’y rejettent personne.
Sur ses berges de vieilles masures meurent doucement
L’état délabré des pontons disent de longues absences.
Des façades écaillées et des clôtures éclatées le confirment.
Sur les passages plus étroits ne passent que des remorques.
Colorées on les trouve remisées dans des garages de verdure.
Les pontons sont des repères de pêcheurs jamais bruyants.
Les étangs d’Outre-Moselle abritent des milliers de bonheurs.
Le long de la Moselle des hommes fabriquent leurs rêves...
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Un jour une photo
Un de mes « Vu à Metz »
Publié pour devenir un clin d’œil
Avec vous aujourd’hui je le partage
Il est l’image d’un instant de vie à Metz
Invitation à partager une ou dix émotions…
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Parée de sa sauvage beauté
Sur la plage elle rêvait d’intimité
Avec le garçon qui a enflammé son cœur
Mais qui ne savait lui donner ce bonheur
Beau svelte dans l’écume éclaboussé
Pendant un court instant il l’a admiré
Et de sa démarche alourdie par l’amour
Il s’en est allé loin d’elle sans détour
Fier et hautain il la délaisse
Elle ne lui en veut pas il est aimé
Aimé bien petit mot pour montrer
Qu’un garçon par elle est adoré
Ecrit à Nice durant l’été 1968
L’été de mes quatorze ans
Retrouvé à Metz par hasard en mars 2009
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