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J’écris depuis des mois entre les lettres A et N d’un clavier
Je fabrique ces mots pour me mettre avec vous en amitié
Contraint dans le temps je fais parfois à la vitesse épervier
Temps alors volé à vie amour amis dans heures dédiées
Ami en écriture je suppose l’être pour beaucoup devenu
Emotions partagées bien moins virtuelles que supposées
Mots réfléchis choisis envoyés vers l’autre jamais entrevu
Prisonnier involontaire je le suis dans des destins croisés
Comptable attendri bouleversé blessé par la souffrance
Je devine entre des mots des vides remplis de malheurs
Lecteur je suis de vies parfois en cours de délivrance
Mon moi me met dans vos maux alors le cœur en labeur
J’aime ces écritures belles même dans des mots déchirés
Habillé de solitude je suis en voyage dans d’autres vies
J’aime ces heures troubles invité dans vos vies chavirées
C’est en apnée dans votre douleur que la mienne je dévie
J’écris depuis des mois entre les lettres N et E d’un clavier
J’usine des phrases pour me mettre avec vous en solidarité
Quand mon temps je trouve je fais à la vitesse du caravanier
Temps alors consacré à toi à lui à vous à eux en seule amitié
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Décider simplement d’aller sur le port touristique de Metz
Y admirer les embarcations et les yachts sagement au mouillage
Se promener sur un quai qui se donne des airs de « Croisette »
Oublier le centre ville bruyant pourtant à moins de trois cent mètres
Suivre la berge tout doucement sans se presser pour rejoindre le canal
S’extasier devant la hauteur des anciens vieux remparts de Metz
Plonger son regard dans les reflets qui redessinent le paysage
Se noyer de plaisir sous la fraîcheur d’un océan de verdure
Se rafraîchir l’esprit avec le bruit de l’eau dans les écluses
Faire un signe aux kayakistes qui remontent vers le plan d’eau
Se sentir quelques minutes sur quelques centaines de mètres en vacances
Tout cela Metz nous l’offre tout le long du plan d’eau et bien au-delà
Plaisir de vivre le temps de cette promenade dans une parenthèse de bonheur
A Metz il est possible de s’offrir un moment de vacances dès qu’on le souhaite
Découvrir le précédent article sur Metz :
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Mandalas porte-bonheur pour la France
LIBERTE
EGALITE
FRATERNITE
BLEU
BLANC
ROUGE
pour chaque citoyen
pour ceux qui vivent sur son territoire
pour les 14 juillet à venir…
Mandalas inspirés par la photo originale en troisième position.
Les couleurs de la France au fronton de la gare de Metz.
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A Metz, dorénavant, dans un rez-de-chaussée, il y a d'autres trésors.
Ils sont des chefs-d’œuvre exposés au travers d'un parcours surprenant.
Oui, Il faut y lever les yeux pour apercevoir l’immense miroir.
Il fabrique une perspective insolite autant que fabuleuse.
Il donne une dimension exceptionnelle au lieu.
Dans ce rez-de-chaussée là, il y a des chefs-d’œuvre.
Ils sont présentés dans dix-sept salles.
D’immenses œuvres y montent à l’assaut du haut plafond.
Cet endroit d’exception est la grande nef du Centre Pompidou-Metz.
Un clic sur "CPM" pour poursuivre la découverte du Centre Pompidou-Metz…
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Depuis des mois
pour des années
la Mute est confinée…
C’est la tour de la Mute
cachée par l’échafaudage
on lui redonne sa beauté…
De toute la ville elle est visible
même de très loin elle se remarque
l’immense structure est impressionnante…
Impossible de ne pas la voir dans le ciel de Metz
bien que provisoire elle semble s’accrocher au paysage
de partout la tour de la Mute en travaux attire les regards…
Plus d’une centaine de mètres de hauteur en font un phare
par tous les temps et tous les ciels elle se dresse au cœur de Metz
la nuit parfois la laisse disparaître au bout d’un regard rapide et inattentif…
La tour de la Mute pour des années est déguisée en bigoudène sous son immense coiffe.
Découvrir le précédent article sur Metz :
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De par notre contrée d’en FranceD’autres fleurs en bouquet mises
Bouquet de photos ici en instance
D’un hiver soufflant froides bises
Un jardin images en Moselle d’étéDéposé ici pour proposer rêverie
Une rêverie pendant terres gelées
Durant mois sans fleur dans nos vies
Vous passants dans ces couleursCes fleurs vous lancent promesse
D’oublier que l’hiver est leur malheur
Un autre été leur donnera caresses
Rouge vite remplacé par blanc cotonBleu toujours en hiver froide couleur
Jaune rarement radieux en ciel flocons
Orange disparu de nos jardins torpeur
Parme en absence convenue par saisonVert triste captif d’un temps pour lui odieux
L’hiver renie couleurs il en a des raisons
A chacun de s’inventer intermède gracieux
Rêverie dans couleurs d’un été épuiséInvitation à retrouver heureux souvenirs
Propos initié par mélancolie inventoriée
Aux portes d’un hiver promis à son avenir
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